La CEDH a
estimé que la Pologne avait bafoué les droits d’une jeune fille de
14 ans, devenue enceinte à la suite d’un viol. Les autorités polonaises
doivent à présent prendre sans délai des mesures visant à garantir que
les femmes aient pleinement accès à l'avortement !
Dans son arrêt, susceptible de faire l’objet d’un appel, la CEDH a
conclu qu’en ne permettant pas à la jeune fille d’accéder légalement à un avortement
et en divulguant des données personnelles la concernant, la Pologne
avait violé l’article 8 de la Convention européenne des droits de
l’homme.
La Pologne doit verser 30 000 euros à la victime et 15 000 euros à sa
mère pour dommage moral, ainsi que 16 000 euros aux deux requérantes
pour frais et dépens.
Dominique
Qu’elle vienne en République française, là, on y massacre tous les enfants à naître sans aucun scrupule !
Denis Merlin
Ce serait logique que ce soit l’enfant et non l’Etat qui paie les dommages-intérêts pour naissance et vie pénible à sa mère. On peut aussi lui conseiller le suicide tant qu’on y est.
Salauds !
C.B.
“ne permettant pas à la jeune fille d’accéder légalement à un avortement”
Traduit en clair, est-ce que cela signifie que la jeune femme a avorté clandestinement ou qu’elle a gardé l’enfant?
Si l’enfant n’est pas mort, c’est peut-être à lui (ou elle) qu’il faudrait attribuer ces sommes.
Au fait, aucune parole (à défaut de recherches et poursuites judiciaires) à propos du violeur? C’est en somme lui le grand gagnant de l’histoire, mais ça, ce n’est certainement pas idéologiquement acceptable de le faire remarquer.
Krasnouisk
Que vient faire une institution internationale dans la politique intérieure d’un pays?
Si elle le souhaite, elle peut tenter de mettre le pays a l’amende (et essayer de se faire payer….!)
Mais de la a indiquer les montants des peines que le pays est “sommé” d’appliquer, il s’agit d’une intrusion scandaleuse!
chouan 12
Cette Europe est la continuité de l’Urss, les pays sont obligés d’obéir au diktats des gnomes de Bruxelles, l’air devient irrespirable. Il est grand temps que tout se casse la figure pour construire sur des bases chrétiennes
Thibaud
Le seul espoir c’est que c’est en première instance. En première instance, par exemple, la CEDH a interdit le crucifix dans les salles de classe italiennes et ordonné à la France de supprimer le Procureur de la République et d’adopter un système accusatoire à l’anglo-saxonne, avant que la Grande Chambre ne revienne sur ces 2 décisions.
AML
Il y a quelque chose qui m’échappe : dans le cas présenté, les droits de la jeune fille seraient bafoués, et dans le cas d’adoption d’un enfant par des homos, les droits de cet enfant ne seraient pas bafoués ????
On en revient toujours à la même réflexion : l’enfant est devenu objet du désir ou du rejet des adultes dans ces deux cas. On est vraiment dans une société en déliquescence.
jeffmoveone
Cette Europe c’est l’URSS.Les memes methodes, le communisme en moins.
irène
Entièrement d’accord que cette Europe ressemble de plus en plus à l’URSS et opposée tout à fait à l’avortement, je voudrais cependant – même si ce n’est pas le coeur du sujet de cet article – faire remarquer qu’un viol n’est pas rien pour une jeune fille de 14 ans et pour connaître très bien la mentalité des “bons” catholiques polonais et le traitement réservé par eux à des jeunes filles mères par exemple, je trouve qu’on devrait choisir d’autres exemples plus éloquants pour illustrer l’opposition justifiée à toute forme d’avortement. Les catholiques polonais sont les nouveaux pharisiens du christianisme de nos jours, la miséricorde et l’amour du prochain ne s’y trouve pas facilement, malgré ce pape merveilleur que fut Jean-Paul II, enfant de cette même Pologne chauviniste et retrograde.
ChV
Les catholiques polonais, “pharisiens”, “chauvinistes”, “rétrogrades” ??!!
C’est un point de vue..!
On pourrait aussi dire…
Eglise jeune, et de toutes les générations du bambin à la grand-mère, fervents, engagés, mettant la foi au coeur de la vie de famille. Ayant à lutter contre un anti-christianisme grandissant au coeur de leur pays, et probablement importé d'”Europe”. Combien de jeunes gens à la mode, de 15 ans environ, voit-on venir prier en solitaire à la Messe… C’est beau. Voilà une façon naturelle de traverser les passages difficiles de l’adolescence. Les enfants sont sages à la Messe, et intéressés, ils sont extrêmement enthousiastes pour chanter, très empressés de répondre aux questions sur la foi que le prêtre peut poser. Ils viennent à toutes les fêtes d’obligation comme si c’était réellement une fête (par opposition à ce que l’on peut parfois voir chez nous).
Enfin, ce n’est que mon point de vue.
Jan, Pologne
A vrai dire il ne s’agissait pas d’un viol. Le garcon (17 ans) n’etait meme pas accuse d’un tel acte. Il s’agissait d’un “acte interdit” – coitus avec une fille mineure.
Lors de refus de l’avortement de la part des hopitaux questionnes par la mere de la fille, le ministre de la sante a indique une clinique qui a procede a l’avortement.
Donc deux choses:
1.- il n’y avait pas de viol
2.- le ministre de sante a indique (malgre grande oposition de l’opinion publique, mais avec le support des grands medias) un hopital.