Chaque année, de nombreux enfants naissent vivants lors d’avortements, en particulier quand ils sont pratiqués au-delà de la 20ème semaine de grossesse. Ces enfants sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures, ou tués par injection létale ou asphyxie, puis jetés avec les déchets biologiques.
L'European Centre for Law and Justice a saisi l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe de cette situation par la Pétition contre les infanticides néonataux. Le 24 avril, le Bureau de l’Assemblée a demandé à la Commission des questions juridiques et des droits de l’homme de se prononcer sur la recevabilité de la Pétition. Un premier examen a eu lieu le 19 mai lors d’une réunion à Erevan. Après de vifs débats, la Commission a décidé de reporter sa décision à la prochaine réunion du 22 juin, à Strasbourg.
Les lobbys pro-avortement sont mobilisés contre la pétition, mais ils n’ont pas d’argument. Avec quelques députés, ils sont réduits à soutenir contre toute évidence que les faits exposés dans la pétition n’existent pas et que, de toute façon, ce débat « ne devrait pas avoir lieu ». Ils veulent maintenir cachée cette réalité inhumaine.
Ne laissez-pas les lobbys de l’avortement imposer le silence !
Nous sommes à présent 200 000 à avoir signé cette pétition. Elle contient des preuves de cette réalité. Nous demandons que la lumière soit faite sur le sort de ces enfants qui survivent à leur avortement. C’est la plus grande pétition jamais adressée au Conseil de l’Europe.
Ces enfants ont besoin de vous ! Sages-femmes, infirmières, médecins : osez témoigner. Adressez-nous votre témoignage afin de le présenter au Conseil de l’Europe. Votre confidentialité peut être préservée si vous le souhaitez. [email protected]
Demandez à la Délégation parlementaire française à l’Assemblée de soutenir la pétition [email protected]
L'ECLJ s'engage à faire tout son possible pour que cette pétition aboutisse à la condamnation effective de ces infanticides.