Dans cet article de Libé consacré à la fameuse épreuve du bac L, on lit : "Le sujet a ému élèves et parents. Quand on a 17 ans, c’est difficile d’avoir du recul sur le sujet, estime X…, directeur adjoint du diocèse.
Mais il y avait une autre question au choix. Et il fallait relever des
arguments présents dans un texte, sans implication personnelle".
Sans querelle sur la personne, on peut constater qu’une seule phrase d’un homme qui n’ose prendre ses responsabilités de catholique peut faire un mal terrible à l’enseignement de l’Eglise et à la foi des adolescents en étant reprise à son profit par un organe de presse ennemi de l’Eglise catholique.
On lit une réponse dans les lignes qui suivent : "De toute façon, il fallait réviser, c’était au programme" répondent deux élèves. C’est justement la preuve d’un endoctrinement voulu par les responsables politiques qui fixent ces programmes, ce qui tue l’implication personnelle au profit du politiquement correct de la propagande de la culture de la mort.
En réponse à Libération, il n’y a pas que l’Alliance pour les Droits de la Vie qui a réagi, mais les AFC, et de nombreux particuliers…