Un groupe de femmes a arpenté les rues de Dublin, dimanche, pour révéler qu’elles avaient subi un avortement. Reprenant le slogan de leurs consœurs américaines, «Silent no more» («plus jamais silencieuses»), elles ont voulu crier à la face du monde la douleur qui les hante, et leurs regrets. L’une des organisatrices, Lynn Coles, a précisé :
"On nous avait dit, à toutes, quand nous avons eu une “grossesse de crise”, que l’avortement était la solution pour nous. Ce que nous disons, c’est que cela n’est pas vrai, l’avortement n’est pas bon pour les femmes. On croit que les femmes qui ont avorté devraient continuer leur vie, il ne faut rien dire si on le regrette, on doit juste se taire."
Le groupe «Silent no more» s’exprime pour éviter des avortements futurs, mais aussi pour venir en aide à celles qui souffrent d’avoir avorté, à travers l’œuvre «Rachel’s Vineyard» (la Vigne de Rachel) qui ne vise pas à juger ou à condamner ces mères, soumises souvent à une forte «pression», mais à les aider à reconnaître leur mal, et à guérir.
xango
à partir de là la question est
à qui profite l’avortement?
à qui profite le crime?
si le blog Salon Beige évoque si souvent la question, je suppose que ce n’est pas seulement par conviction idéologique!
par conséquent donnez nous la réponse