Les pro-avortements se divisent entre ceux qui veulent obtenir le feu vert de la justice pour éliminer l'enfant à naître et ceux qui souhaitent s'en passer. Par ailleurs, l’ensemble de l’équipe médicale de l’hôpital où la fillette se trouve, a déclaré qu’il n’y a aucune raison thérapeutique de pratiquer l’avortement sur la jeune fille. Au contraire le stade de la grossesse, qui va entrer dans son deuxième trimestre, rend l’avortement plus dangereux. La grossesse, elle, se déroule normalement. Le ministre de la santé de la province d’Entre Rio a fait savoir qu’il s’opposait à l’avortement sur la fillette, tout en soulignant que la justice devait encore se prononcer au vu notamment des évaluations psychiatriques.