Café-Caté mensuel à Paris
Café-caté
2013-2014
par des pères de la Fraternité Saint-Vincent-Ferrier
: chaque mois, le premier mardi libre hors vacances scolaires
dans un café du Quartier latin –
Le Sorbon, 60, rue des Ecoles,
75005 Paris
Métro Cluny-Sorbonne. Programme destiné aux étudiants et aux jeunes professionnels :
-
1er Octobre 2013, Moh-Christophe Bilek et P. Louis-Marie de Blignières :
Des musulmans se convertissent au christianisme, mythe ou réalité ? - 5 novembre 2014, P. Ceslas-Marie d’Eysmond :
Irons-nous tous au Paradis ? - 3 décembre 2014, P. Augustin-Marie Aubry :
Foi chrétienne et résistance. - 7 janvier 2014, P. Réginald-Marie Rivoire :
Face à la loi Taubira, vraie et fausse objection de conscience. - 4 février 2014, P. Ceslas-Marie d’Eysmond :
Démon et satanisme, I. - 4 mars 2014, P. Augustin-Marie Aubry :
Points non-négociables et conscience chrétienne. - 2 avril 2014, P. Ceslas-Marie d’Eysmond :
Démon et satanisme, II. - 6 mai 2014, P. Louis-Marie de Blignières :
Un itinéraire au travers de la crise de la société
et de la crise dans l’Eglise (1962-2007).
L’Eglise face au crime de l’avortement
Depuis les années 70, la libéralisation de l'avortement n'a jamais cessé
son extension, c'est la norme dans de nombreux pays. Le nombre
d'enfants avortés est estimé à environ deux milliards d'individus en 40
ans. C'est de loin la première cause de mortalité au monde. Pourtant,
de nombreuses civilisations et cultures s'y sont toujours opposées
comme c'est le cas de l'Église catholique depuis le début de l'ère
chrétienne. À une époque où les catholiques vivent dans un
environnement préjudiciable au respect de la vie naissante,
l'avortement est parfois devenu « toléré » aux yeux de certains.
L'inacceptable ne peut cependant devenir acceptable et c'est ce que
rappelle inlassablement l'Église depuis les dernières décennies.
L'histoire des saints/bienheureux mais également les interventions des
papes, particulièrement au XXe siècle, interpellent et expliquent les
raisons pour lesquelles l'élimination d'un enfant non né reste un
homicide.
Pourtant, la pensée catholique n'a pas permis d'endiguer
le fléau de l'avortement, l'opinion publique occidentale le considérant
souvent comme une avancée médicale et un confort auquel elle ne
souhaite pas renoncer malgré la popularité d'un Jean-Paul II ou d'une
mère Térésa qui ne sont toujours pas entendus sur ces sujets. La
détérioration des conditions socio-économiques ou familiales ainsi que
l'uniformisation des modes de vie et de pensée participent sous forme
de pressions convergentes au choix de l'avortement.
Outre les arguments théologiques et politiques, sont
présentées un ensemble de prières proposées par l'Église catholique,
d'une part pour redonner l'espérance qu'un jour l'avortement soit perçu
pour ce qu'il est : un manque d'amour envers son prochain, envers les
plus vulnérables que sont les enfants à naître ; d'autre part pour
venir en aide à ceux qui ont vécu l'avortement, à ceux qui se posent la
question de garder un enfant en gestation ou encore aux enfants
avortés qui doivent pouvoir accéder à la béatitude éternelle.
Christiane Taubira : « Même pas peur ! » le 5 octobre à Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes) ?
Si l’on en croit le site de cette manifestation, et si elle n’a rien d’autre à son programme, Christiane Taubira inaugurera le samedi 5 octobre, de 19 h à 20 h, le festival du livre de Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes).
Le thème en est « Même pas peur ! » Chiche !
Être catéchiste signifie donner le témoignage de la foi ; être cohérent dans sa vie
Extraits du discours du pape aux catéchistes, hier à Rome :
"la catéchèse est un pilier pour l’éducation de la foi, et
nous voulons de bons catéchistes ! Merci de ce service à l’Église et dans
l’Église. Même si parfois ça peut être difficile, si on travaille beaucoup, si
on s’engage et qu’on ne voit pas les résultats voulus, éduquer dans la foi c’est
beau ! C’est peut-être le meilleur héritage que nous pouvons donner : la foi !
Éduquer dans la foi pour qu’elle grandisse. Aider les enfants, les jeunes, les
adultes à connaître et à aimer toujours plus le Seigneur est une des plus belles
aventures éducatives, on construit l’Église ! “Être” catéchiste !
Non pas travailler comme catéchistes : cela ne va pas ! Je
travaille comme catéchiste parce que j’aime enseigner… Mais si tu n’es pas
catéchiste cela ne va pas ! Tu ne seras pas fécond, tu ne seras pas fécond !
Catéchiste c’est une vocation : “être catéchiste”, c’est cela la vocation, non
travailler comme catéchiste. Attention, je n’ai pas dit “faire” le catéchiste,
mais “l’être”, parce que cela engage la vie. On conduit à la rencontre avec
Jésus par les paroles et par la vie, par le témoignage. Rappelez-vous ce que
Benoît XVI nous a dit : « L’Église ne grandit pas par le prosélytisme. Elle
grandit par attraction ». Et ce qui attire, c’est le témoignage. Être catéchiste
signifie donner le témoignage de la foi ; être cohérent dans sa vie. […]1. Avant tout, repartir du Christ signifie avoir une familiarité
avec Lui, avoir cette familiarité avec Jésus : à la dernière Cène,
Jésus le recommande instamment aux disciples, quand il était en passe de vivre
le plus grand don d’amour, le sacrifice de la Croix. […]2. Le deuxième élément est ceci. Deuxièmement : repartir du Christ
signifie l’imiter dans le fait de sortir de soi et d’aller à la rencontre de
l’autre. C’est une expérience belle et un peu paradoxale. Pourquoi ? Parce
que celui qui met le Christ au centre de sa vie se décentre ! Plus tu t’unis à
Jésus et Lui devient le centre de ta vie, plus Lui te fait sortir de toi-même,
te décentre et t’ouvre aux autres. C’est le vrai dynamisme de l’amour, c’est le
mouvement de Dieu même ! Dieu est le centre, mais il est toujours don de soi,
relation, vie qui se communique… […]3. Et le troisième élément – trois ‑ se situe toujours dans cette ligne :
repartir du Christ signifie ne pas avoir peur d’aller avec Lui dans les
périphéries. Ici me vient à l’esprit l’histoire de Jonas, une figure
vraiment intéressante, particulièrement à notre époque de changements et
d’incertitude. Jonas est un homme pieux, avec une vie tranquille et ordonnée ;
cela l’amène à avoir ses schémas bien clairs, et à juger tout et tous en
fonction de ces schémas, de manière rigide. Tout est clair pour lui, la vérité
est celle-là. Il est rigide ! C’est pourquoi, quand le Seigneur l’appelle
et lui dit d’aller prêcher à Ninive, la grande ville païenne, Jonas n’y avait
pas le cœur. Aller là ! Mais j’ai toute la vérité ici ! Il n’a pas le cœur…
Ninive est au-delà de ses schémas, elle est à la périphérie de son monde. Et
alors il s’échappe, il s’en va en Espagne, il s’enfuit, et il s’embarque
sur un navire qui va par là. Allez relire le livre de Jonas ! Il est bref, mais
c’est une parabole très instructive, spécialement pour nous qui sommes dans
l’Église.Qu’est-ce qu’il nous enseigne ? Il nous enseigne à ne pas avoir peur de
sortir de nos schémas pour suivre Dieu, car Dieu va toujours au-delà. […]"
“La liste de Bergoglio”
C'est le titre d'un ouvrage qui va sortir le 3 octobre, sur le passé du pape François, lors de la dictature des généraux en Argentine :
"Nello Scavo, qui est l’auteur de cette enquête, est le
chroniqueur judiciaire du quotidien "Avvenire". Ayant retrouvé les
traces d’un grand nombre de rescapés et combiné les témoignages de
ceux-ci à la manière d’un puzzle, il a découvert que Bergoglio avait
organisé silencieusement un réseau clandestin qui parvint à sauver
plusieurs dizaines, si ce n’est des centaines, de personnes qui étaient
en danger de mort.Dans les salons de la Casa Rosada, le général
Videla élaborait ses plans sanguinaires. Mais, à quelques mètres de là,
dans une petite rue qui s’enfonce dans le quartier de Monserrat, se
trouvait l’église Saint-Ignace-de-Loyola, complétée par une résidence
pour les jésuites et une école. C’est là que le provincial des jésuites
donnait rendez-vous aux personnes recherchées, afin de leur donner ses
dernières instructions avant de les faire monter clandestinement à bord
de bateaux qui transportaient des fruits et des marchandises de Buenos
Aires jusqu’à Montevideo, en Uruguay, à une heure de navigation. Jamais
les militaires n’auraient pu imaginer que ce prêtre les défiait à une
aussi faible distance.La réussite de chacune de ces opérations
était liée au secret qui existait également entre ceux qui les
accomplissaient ou qui en bénéficiaient. Les gens qui entraient dans le
réseau de protection organisé par Bergoglio ne connaissaient pas
l’existence d’autres personnes qui se trouvaient dans la même situation
qu’eux. Des hommes et des femmes arrivaient au collège San Miguel
et en partaient, apparemment en raison de leurs études, ou pour une
retraite spirituelle, ou encore pour le discernement de leur vocation.
En réalité il s’agissait de personnes qui étaient recherchées parce que
"subversives". Le voyage destiné à les mettre à l’abri avait souvent
pour but le Brésil, où existait d’autre part un réseau de protection du
même genre, organisé par les jésuites locaux.Mais c’est
Bergoglio qui, seul, tirait toutes les ficelles. […] La
"liste" de Bergoglio est un ensemble d’histoires personnelles très
différentes les unes des autres, qui constituent une lecture
passionnante et dont le point commun est qu’elles se sont bien terminées
grâce à lui."
L’image des journalistes, aussi mauvaise que celle des politiques
Lu dans Le Monde, quotidien dont l'un des principaux actionnaires est Pierre Bergé :
"C'est un petit signe, mais il est révélateur : un ancien ministre
disant aux journalistes, lors d'une conférence de presse, que leur image
est aussi mauvaise que celle des politiques. La pique faisait référence
à un sondage : seuls 23 % des Français font confiance aux médias, selon
une étude menée pour le Cevipof par OpinionWay en décembre 2012. Les
"politiques", certes, ne remportent que 12 % d'adhésions. Mais les
autres institutions, hôpitaux, police ou grandes entreprises publiques,
sont loin devant. La presse écrite et les médias audiovisuels ne
seraient-ils plus dignes de confiance ?"
Vincent Lambert : prochaine réunion le 16 novembre
La famille de Vincent Lambert, le tétraplégique en état de conscience minimale dont les parents s'étaient opposés en justice à son euthanasie par privation d'alimentation, s'est réunie vendredi au CHU de Reims. Eric Kariger qui dirige le service de médecine palliative refuse toujours de laisser partir Vincent Lambert vers un autre établissement plus accueillant.
Une prochaine réunion entre les médecins et ce conseil de famille est programmée le 16 novembre avant qu'une décision ne soit prise.
D'ici là, on espère que le PCD se désolidarisera des propos honteux tenus par le Dr Kariger. Ce dernier est en effet délégué département du PCD (51). Pour combien de temps encore ?
Pour mémoire, voici ce qu'a déclaré le docteur Eric Kariger dans l'émission de Marc-Olivier Fogiel, le 26 septembre 2013 sur RTL à 18h35 :
« On avait
bien conscience que cet arrêt de l’alimentation et cette réduction de
l’hydratation allaient mener Vincent vers sa fin de vie. Mais ce qui nous avait
animé dans cette réflexion collégiale conforme à la loi Léonetti, c’est qu’il a
été considéré qu’eu égard à tous les éléments
de l’histoire de Vincent, du pronostic médical, de la souffrance familiale qu’il y avait autour, que cette
alimentation et cette hydratation était devenue déraisonnable car elle n’avait
comme seule finalité que de prolonger la
vie pour prolonger la vie ».
Il
avoue ainsi qu’il n’a pas pris sa décision en fonction de critères de la loi (arrêt
de traitement inutile, disproportionné ou qui maintient artificiellement en vie
pour un malade incurable ou en fin de vie) mais compte tenu de la souffrance
familiale et donc de… la femme de Vincent !
« Bien sûr
ça passe par les mots parce que ces malades-là même s’ils sont très pauci,
pauci sensoriels, car il n’y a pas de retour objectivable de ce qu’ils
ressentent de ce qu’ils entendent, de ce qu’ils comprennent, ce qui donne sens
dans l’accompagnement de ces malades pour l’ensemble d’une équipe médicale et
soignante c’est que jusqu’à preuve du contraire, on considère qu’il entend, on
considère qu’il comprend, on considère qu’il peut intégrer tout ou partie de ce
qu’on lui délivre."
Il
lui a parlé :
« Désolé,
je ne peux pas tenir ma promesse de vous laisser partir. Je suis obligé de vous
rebrancher ».« Décider en l’absence d’unanimité quand
on est patron, on est amené à le faire tous les jours.Ce qui est
douloureux en tant qu’homme c’est plus
lorsqu’on est remis en cause, même si on sait bien que c’est la fonction, même
si je fais la part des choses avec l’expertise et l’expérience qui est la
mienne mais c’est de se faire accuser sur des valeurs qui sont justement
contraires à ça. On est à la pour assumer. Moi, ce que j’ai reproché entre
guillemets hein aux parents et consorts LAMBERT, c’est que, moi je leur avais
dit, je ne peux pas vous empêcher de
porter plainte mais laissez-nous travailler et si vous estimez qu’on n’a
pas bien fait notre travail j’ai le devoir d’aller rendre des comptes
devant mes juges, devant mes pairs et voire devant mon Dieu puisque j’assume
parfaitement d’en avoir un euh sur mes valeurs personnelles, mais laissons-nous travailler dans cette
affaire-là et assumer nos responsabilités et on rendra des comptes le jour venu,
– ce qui n’a pas été le cas- ce qui n’a pas été le cas, là effectivement ils
ont frappé, (…)Il y a eu ce
référé mesure droit et liberté qui je n’en veux pas au juge qui entre deux
jours fériés et un week-end a pris des mesures provisoires qui a été lourde de
conséquences pour tout le monde ».
Et également ses déclarations fracassantes dans le Figaro ce 26 septembre 2013. L’aveu
qu’il est vivant et conscient :
«Il n'est pas en mort cérébrale, il est comme vous et moi en apparence, il s'endort et se réveille, sourit et
pleure parfois, cligne les yeux au son d'un bruit, explique le Dr Éric
Kariger, chef du pôle gérontologie du CHU de Reims, médecin qui a engagé le
processus d'euthanasie. Il est capable
d'un certain nombre de réponses réflexes mais n'a pas de capacité vraiment fiable à trouver un mode de
communication.».
Génial,
il est comme nous mais il ne peut pas se défendre. Tuons-le ! Et
l’aveu ultime rapporté par le Figaro :
Pour
le Dr Kariger, c'est «le sens» qui fait la vie. « Il n'y a plus d'espérance qu'il recouvre une vie relationnelle normale. Si
les parents trouvent du sens à cette existence, qu'ils apportent les
preuves ! ».
Il
avait déjà avoué la chose lors de l’audience de référé : c’est sa
qualité de vie qui est en cause ! Allons-y
alors gaiement et tuons tous les myopathes et les tétraplégiques !
Après Maaloula, Sednaya
C’est au tour de Sednaya, un autre village chrétien situé au nord de Damas, « cœur battant du christianisme syrien » et siège de nombreux monastères et églises de différentes confessions, par ailleurs lieu de pèlerinage historique, à être en danger.
S.B. Grégoire III Laham, patriarche d’Antioche des Melkites, raconte que, hier, aux portes de Sednaya a eu lieu un affrontement armé entre des groupes armés non identifiés qui tentaient de s’infiltrer dans la ville et la population locale. Un jeune gréco-catholique a trouvé la mort. La population de Sednaya est terrorisée, se souvenant de ce qui s’est passé à Maaloula. Entre temps, hier, 4 missiles ont touché l’église catholique Saint-Georges de Yabroud, causant de graves dommages à la coupole et au centre catéchétique et pastoral.
Les Sentinelles se mobilisent face à Pierre Bergé
On m'informe que dans un grand élan de solidarité, les sentinelles (ceux qui commettent cet acte d'une rare violence consistant à rester debout sans bouger) se donnent rendez-vous à partir de 20h30
- devant le restaurant Prunier (16 av. Victor Hugo à Paris).
- devant le café Prunier (15 place de La Madeleine).
Ces lieux sont la propriété de Pierre Bergé.
5000 signataires contre la suppression de fêtes chrétiennes
Notre pétition contre la suppression de fêtes chrétiennes rencontre un réel succès. Faites la tourner. C'est par ici.
Publicité gratuite
Suite aux tentatives LGBT de museler la liberté d'expression :
Christiane Taubira accueillie à Montparnasse
La journée aura été tendue pour le ministre, accueillie à la prison de Rennes, puis au Triangle, puis à la gare de Rennes, puis à celle de Vitré. arrivée à Montparnasse, elle découvre que les militants défenseurs de la famille sont partout :
2 hommes “mariés” divorcent et se partagent des jumeaux
En Californie, deux hommes "mariés" ont
eu recours à une insémination artificielle et à une mère porteuse pour avoir des enfants. Mais les deux ont finalement annoncé leur divorce avant que les bébés ne
naissent… et ont décidé de se partager les jumeaux. A l’un la petite fille, à l’autre le petit garçon.
Les
deux hommes ont fertilisé deux ovules d’une femme tandis qu’une autre a
loué son ventre pendant neuf mois. Un acte que Pierre Bergé souhaite légaliser en France.
Chacun est le père biologique de l’un des enfants (qui ont chacun 4 parents !) et à l’heure du divorce personne ne souhaite
se faire de cadeaux.
30 septembre : accueil de ministre à Quimper
Guillaume Garot, ministre délégué à
l’Agroalimentaire, se rend lundi 30 septembre à Quimper. Voici son programme :
- 09h30 : Rencontre avec les dirigeants de Marine Harvest, en présence des élus locaux
- 11h00 : Séance de travail avec l’intersyndicale des sites agro-alimentaires du Finistère, en présence des élus locaux
- 14h30 : Réunion de travail sur le « Plan agricole et agroalimentaire Bretagne »
Accueil de François Hollande à Metz
Une centaine de militants ont accueilli François Hollande jeudi midi, donnant de la
voix, même si le président a préféré les écarter loin de lui. Reportage de France 3 Lorraine du 26/09 (à 1mn20).