La France en 2025 : la presse internationale se moque
Lu dans La Tribune :
«French rêverie»: la définition donnée par The Times
du séminaire organisé ce lundi par François Hollande sur la France en
2025 exprime bien le regard ironique que la presse étrangère semble
porter sur l'exercice.Fidèles à la tradition du british humour, les Anglais sont justement les plus moqueurs. Ainsi, selon The Times, Hollande doit certes être loué pour «avoir invité son équipe à penser grand». Mais les propositions présentées par les ministres frôlent «l'optimisme naïf», voire même parfois le délire. Il est à souhaiter au fond qu'elles soient vite mises au rebut…
The Telegraph
confère le prix de l'utopie à Cécile Duflot, pour son portrait d'un
avenir où tout le monde pourra facilement accéder à un logement social,
dans un pays pourtant connu pour sa bureaucratie. Pour le Financial Times, la «vision d'une France forte» en 2025 serait aussi «utopique» que «brumeuse». Mais le quotidien des affaires reconnaît un certain «retour à la réalité»:
une denrée rare. Le ministre Pierre Moscovici envisage ainsi
l'inévitable déclassement que subira la France parmi les économies
mondiales, en raison de l'essor des marchés émergents.La presse nord-américaine ne consacre pas autant d'attention aux
rêveries françaises. Mais, lorsqu'elle le fait, le ton est également
celui de l'ironie anglo-saxonne. The Washington Post pointe ainsi le contraste entre le «rose avenir» que se prédit la France et le présent de son «économie empêtrée et bureaucratie rampante».Du côté germanique, Die Welt traite François Hollande de «capitaine qui laisse ses ministres imaginer une France heureuse». En lisant les copies de cinq ministres rendues publiques par Le Point, les Allemands ne peuvent «s'empêcher
d'imaginer leurs auteurs en train de les écrire par une douce soirée
d'été, après avoir bu quelques bouteilles de rosé». Et de conclure: «Ainsi
donc voilà la situation de la France à la fin de l'été 2013: les uns
rêvent d'un avenir lointain quand les autres sont bloqués dans le passé».Les pays latins, bien que sceptiques, se montrent moins cassants.
Les quotidiens francophones belges et suisses s'intéressent au revers de la médaille. Selon Le Temps, «le
message adressé aux Français d'un exécutif qui travaille à la fois Ã
résoudre les problèmes immédiats et à dessiner l'avenir tranche avec le
climat de l'année dernière, à la même époque». L'Echo
insiste sur la volonté du gouvernement de s'afficher soudé, bien que ce
soit autour d'un exercice très théorique. Ainsi que le pointe Le Soir «au-delà de la communication, l'exercice est pourtant indispensable».Les quotidiens espagnols semblent même exprimer une vague forme d'admiration. «Le président François Hollande a choisi la stratégie à moyen terme comme thème d'ouverture de la nouvelle saison politique», sans pour autant oublier d'envisager les réformes à court terme qui seront annoncées dans quelques jours, souligne El Pais. El Mundo apprécie notamment l'exercice d'autocritique: même si les hommes politiques français n'ont procédé qu'à un brainstorming marqué par un excès d'optimisme, du moins ils «savent que la France est en train de perdre du pouvoir mondial et désirent reprendre le contrôle du navire»."
Et une petite taxe de plus
Le ministre de l'Ecologie Philippe Martin a annoncé la création d'une "contribution climat énergie", répondant ainsi à une revendication des écologistes pour cette mesure plus connue sous le nom de "taxe carbone".
Il faut que les Verts arrêtent de se droguer
Dans le cadre des journées d’été des Verts, à Marseille,
des militants EELV ont réclamé la
légalisation du cannabis. Selon eux, la légalisation du cannabis pourrait stopper les trafics de drogue et endiguer la violence à Marseille.
Je propose de légaliser le crime à Marseille, cela devrait régler le problème.
Les Frères Musulmans sont responsables des drames en Egypte
Le père Jean-Jacques Pérennès, directeur de l’Institut dominicain d’études orientales du Caire, fait quelques
mises au point sur la situation en Egypte :
"La destitution de Mohamed Morsi
a été le résultat d’un immense mouvement populaire de protestation qui a
mobilisé des millions d’Égyptiens, toutes classes d’âge, de confession
et de statut social confondus. Cette mobilisation a été beaucoup plus
large que celle qui avait renversé Moubarak deux ans et demi plus tôt et
conduit à penser qu’une grande majorité de musulmans égyptiens a
compris, au bout seulement d’un an, qu’il fallait en finir avec
l’islamisme politique. Ceci est une très bonne nouvelle, annonçant, nous
l’espérons, un coup de frein sinon un coût d’arrêt à l’islam politique
qui empoisonne le destin du Moyen-Orient depuis des décennies. Si cette
transition réussissait, ce serait décisif pour l’ensemble de la région
qui regarde ce pays avec moins de préjugés que l’Occident, qui, une fois
de plus, juge ce qui se passe avec un regard trop simpliste. […]La deuxième clarification est que les Frères
musulmans égyptiens sont aujourd’hui démasqués. Profitant de l’ouverture
démocratique du printemps 2011 qui leur a permis de constituer leur
parti politique, le parti Liberté et Justice, ils ont accédé au pouvoir
en tentant de rassurer tout le monde sur leurs intentions. […] Mohamed Morsi s’est comporté de manière
sectaire : non comme le président de tous les Égyptiens mais comme la
courroie de transmission de la Confrérie des Frères musulmans devenue,
sous des apparences d’une démocratie formelle, le véritable centre du
pouvoir politique. […]La troisième clarification a été
donnée ces dernières semaines, lorsque, au moment de la destitution de
Mohamed Morsi, les dirigeants de la Confrérie ont appelé leurs partisans
à « résister jusqu’au martyre ». Immense responsabilité
lorsqu’on sait les résonances de cette formule dans l’inconscient
musulman : djihad, paradis promis, etc. Le pouvoir intérimaire leur a,
pourtant, proposé de revenir dans le jeu politique où il est légitime
qu’ils aient une place, car ils ont une vraie base populaire ; des
tentatives de médiation ont été menées par l’Union européenne et les
États-Unis. Tout cela n’a servi à rien : leur logique jusqu’au-boutiste a
conduit aux drames de ces derniers jours, où ceux qui meurent sont les
militants de base et non les dirigeants de la Confrérie, dont la
responsabilité est grande dans le bain de sang qui a suivi.Enfin, comment croire aujourd’hui aux propos lénifiants tenus ces
derniers mois par les Frères musulmans pour rassurer les chrétiens
égyptiens ? Les discours de haine prononcés trop souvent dans les
mosquées et les milieux islamistes ont donné leurs fruits ces derniers
jours : des dizaines d’églises, deux monastères et un orphelinat
incendiés, des religieuses tabassées alors qu’elles ont passé leur vie Ã
servir les pauvres, et l’on peut craindre que cela ne s’arrête pas là .L’Occident
– presse et responsables politiques confondus – porte une grave
responsabilité en se contentant de condamner unilatéralement la
répression en cours, alors que tout le monde s’est tu lorsque Mohamed
Morsi s’est arrogé les pleins pouvoirs, a fait passer en force une
Constitution destinée à jeter les bases d’un État islamique au terme
d’une mascarade d’assemblée constituante que les Frères musulmans
s’étaient employés à verrouiller. On parle aujourd’hui de couper les
vivres à l’Égypte, ce qui ne ferait que la plonger un peu plus dans la
misère et dans les bras des extrémistes. […]"
La droite ferait mieux de se livrer au devoir d’inventer
D'Yves de Kerdrel dans Valeurs Actuelles :
"Plutôt que
de faire sa rentrée sur un droit d’inventaire, qui ne saurait être
pratiqué que par Sarkozy lui-même, l’opposition ferait mieux de se
livrer au devoir d’inventer.Mark Twain a écrit cette phrase très juste : « La gauche invente des idées nouvelles que la droite adopte sitôt qu’elles sont usées. » C’est ce qui vaut sans doute à notre cher et vieux pays d’avoir « la droite la plus bête du monde »,
pour reprendre la célèbre formule de Guy Mollet. La gauche a inventé ce
crime contre la croissance qui s’appelle l’ISF. La droite chiraquienne
l’a repris à son compte et l’a même durci. La gauche a inventé les 35
heures. La droite, en raison des mesures alors prises par François
Fillon, les a légitimées et en a fait un acquis social. La gauche a
inventé l’écologie politique. La droite l’a reprise à son compte pour en
faire l’insupportable principe de précaution. […]Plutôt que de laisser, pendant tout cet
été, le monopole de la parole publique à des socialistes qui n’avaient
rien à dire, rien à proposer, rien d’autre à faire que d’imaginer la
France de 2025, la droite aurait mieux fait de se distinguer par un
devoir d’inventer au lieu de s’invectiver par des petites phrases sur le
droit d’inventaire. C’est à la droite qu’il revient aujourd’hui
d’inventer les solutions pour redresser le pays que les socialistes
mettent au bord du dépôt de bilan. C’est à la droite qu’il revient de
recréer les conditions d’un ordre républicain, pour permettre un retour Ã
la sécurité, une baisse de la délinquance et un arrêt immédiat de
l’immigration. C’est encore à la droite qu’il revient de permettre Ã
chacun de travailler aussi longtemps qu’il le souhaite, de créer de la
richesse sans être spolié et d’inventer sans être bridé. […]"
L’Elysée recase Didier Lombard, en examen pour harcèlement moral
"Les syndicats CFE-CGC et Unsa de France Télécom se sont dits "abasourdis" d'apprendre la nomination à la commission "Innovation 2030" de leur ex-P-DG, Didier Lombard, toujours mis en examen pour harcèlement moral, dans une lettre adressée à François Hollande. Cette commission, que préside Anne Lauvergeon, l'ancienne présidente d'Areva, est chargée de préparer le pays, sur le plan technologique et industriel, aux nouveaux besoins des 20 prochaines années.
"Comment se peut-il que le premier patron d'une entreprise française du CAC 40 mis en examen pour harcèlement moral, sous contrôle judiciaire, et dont l'innovation la plus marquante – la mobilité forcée des personnels fonctionnaires que l'entreprise ne pouvait licencier – s'est traduite par une crise sociale sans précédent et une vague de suicides jamais connue, puisse aujourd'hui se trouver mis à l'honneur dans une telle commission", s'interrogent les deux syndicats. Un tel choix constitue "pour les personnels de France Télécom-Orange un véritable camouflet", insistent les syndicats.
Cette nomination "au sein d'un organe dépendant directement de l'Élysée et censé préparer le futur industriel de la France" leur apparaît "comme une nouvelle tache à la 'République irréprochable'", concluent-ils."
Bide Royal
La présidente de Poitou-Charentes, Ségolène Royal, devait réunir autour
d’elle ses homologues des régions socialistes. Le déjeuner et le point de presse ont été annulés en raison des défections.
Viols à Colombes : la justice en cause
Paris Match revient sur le violeur de deux femmes à Colombes. C'est aussi le ministère de la justice qui devrait être poursuivi :
"Il est arrêté une première fois en 2003, à 16 ans, pour vol à la
roulotte. Puis les années suivantes pour outrages à agent, trafics de
stupéfiants, vols, menaces à la personne, violences volontaires, etc.
Mais il reste muet sur deux arrestations pour agressions sexuelles, en
2004 et 2009. En 2012, le jeune homme est incarcéré une fois encore à la
prison de la Santé pour vol de véhicule, défaut de permis, refus
d’obtempérer et ivresse.Dans la cité, personne ne se doute de sa
grande dangerosité. L’administration pénitentiaire non plus,
semble-t-il… En mai dernier, Sofiane bénéficie d’un réÂgime de
semi-liberté sous prétexte d’un stage. Libre et travailleur le jour,
écroué et détenu la nuit. Sur le papier, un sysÂtème rigoureux avec des
horaires à resÂpecter : départ à 6 heures, retour à 18 heures. En
réalité, même certaines pensions familiales sont plus strictes. Le
mercredi 7 août, des caméras de vidéoÂsurveillance filment Sofiane Ã
Colombes. Il squatte une partie de la journée devant la supérette, car
l’entreprise où il dit effectuer son stage est fermée pendant tout le
mois. La maison d’arrêt n’a pas vérifié. Comme pour son prétendu
rendez-vous ce soir-là chez un kinésithérapeute, qui lui vaut une
dérogation jusqu’à 21 heures. « Le rendez-vous n’existait pas »,
confirme une source policière. Les erreurs s’accuÂmulent. Négligences,
laxisme… Le vioÂleur rentre à la prison, repu, ivre, ses habits
ensanglantés. Il est à 23 h 55… Un retard de trois heures, signalé mais
pas réprimandé. Sofiane peut ressortir le lenÂdemain matin, et ne plus
revenir. Cette fois encore, la prison ne s’inquiète pas.Ces
tragiques manquements indignent Ghislaine, la mère de Priscillia. Nous
la rencontrons à l’hôpital Beaujon, au chevet de sa fille, toujours
entre la vie et la mort. « Quand les policiers se sont étonnés de ne pas
voir ce garçon réintéÂgrer sa cellule, dit-elle, l’administration
pénitentiaire leur a répondu que souÂvent les détenus en semi-liberté
s’absenÂtaient quelques jours sans prévenir… C’est scandaleux ! » Elle
reproche au procureur d’avoir minimisé les faits en parlant d’«
agressions ». Et crie : « Tout le monde se couvre, mais c’est leurs
fautes humaines et administratives qui ont délivré ce loup et lui ont
donné le permis de tuer ma fille. Qu’on ne me parle pas de réinsertion,
de prévention. On lui a donné toutes les chances, il ne les a jamais
saisies. Il n’aurait jamais dû être dehors. Et ceux qui en sont
responÂsables vont payer. »"
Un million de morts par famine en Corée du Nord
Le voile se lève sur l'un des derniers paradis communiste (où vient de se rendre en visite privée un sénateur UMP) :
"Des transfuges échappés de Corée du Nord ont
témoigné jeudi devant une commission de l'ONU sur la famine qui a sévi
en Corée du Nord au milieu des années 1990. Selon ces témoignages, la
lutte pour la survie qu'elle a provoqué a vite éliminé les plus faibles,
handicapés, personnes âgées et jeunes enfants. […] Les handicapés mentaux ou physiques sont
jugés comme "inutiles" pour la société, ajoute Ji, 31 ans, devant la
commission d'enquête des Nations unies, qui examine pour la première
fois officiellement les droits de l'homme sous le régime des Kim. […]Lors de la famine de 1994-1998, qui a tué
jusqu'Ã un million de personnes (pour une population de 20 millions),
les Nord-Coréens consacraient toute leur énergie à trouver de la
nourriture. […]"Il n'y avait rien sauf des feuilles de maïs
réduites en poudre, qui constipaient. Je mangeais des lézards, des
serpents, des rats et de l'herbe", dit Kim, qui a passé trois ans dans
l'orphelinat. Sur les 75 enfants pensionnaires, 24 sont morts. Attrapé
par la police lorsqu'il tente de passer la frontière avec la Chine, il
passe 20 mois dans un camp de rééducation. Dans son baraquement, deux
détenus seulement sur 24 survivront. Il est parvenu à fuir en Chine en
2000, avant de passer en Corée du Sud."
Deux personnes homosexuelles condamnées pour pédophilie veulent sortir de prison
Voici un article paru dans le courrier de l'ouest du 21 août 2013 (cliquer sur l'image pour l'agrandir). Condamnés en avril dernier, ils ont fait une demande de mise en liberté, qui vient de leur être refusée. Ils ont osé faire appel de cette décision :
Economie : la bonne gestion de la Suisse
Lu dans Présent :
"le gouvernement fédéral suisse prévoyait désormais de dégager un
excédent budgétaire de quelque 600 millions de francs suisses
(484 millions d’euros) en 2013, alors que la dernière estimation
prévoyait un déficit de 450 millions de francs suisses. Est-ce un tour de passe-passe budgétaire qui a permis un tel retournement de situation ?Non. C’est plutôt le résultat de la sagesse et de l’efficacité. Il y
a eu, d’une part, une baisse des dépenses publiques. Le gouvernement de
Berne a baissé les dépenses de sécurité sociale, les dépenses
militaires et ses frais de fonctionnement. […]En 2012, déjà , le budget suisse avait été excédentaire de
1,2 milliard de francs. Cette bonne gestion suisse est à mettre en
regard de la mauvaise gestion française : l’Etat français aura un
déficit proche de 4 % du PIB (Produit intérieur brut) en 2013. L’équilibre ou non du budget a des conséquences directes sur
l’endettement. L’endettement de la Suisse représente environ 40 % du PIB, tandis que celui de la France avoisine les 100 %.Un mécanisme en vigueur en Suisse permet d’expliquer, en partie, ces
bons résultats financiers : le « frein à l’endettement » ; ce que les
analystes financiers anglo-saxons appellent the Swiss Debt Brake. Le mécanisme, tel que le présente le Département fédéral des finances (DFF),
obéit à une règle simple : « Sur l’ensemble d’un cycle conjoncturel, le
montant total des dépenses ne doit pas excéder celui des recettes. Le
plafond des dépenses est fixé en fonction du montant des recettes,
corrigé d’un facteur qui tient compte de la situation conjoncturelle
(facteur conjoncturel). Lorsque l’économie affiche une croissance
supérieure à la moyenne, le plafond des dépenses est inférieur aux
recettes et la Confédération enregistre un excédent. A l’inverse, cette
formule autorise un déficit en période de récession. De cette manière,
les comptes sont équilibrés sur un cycle conjoncturel complet. » […] Ce mécanisme financier a été approuvé par « votation » (référendum)
du peuple suisse en décembre 2001, à une très large majorité (84,7 %).
Il a été inscrit dans la Constitution helvétique […].La dette publique suisse avait atteint son maximum en 1998 (56 % du PIB). En dix ans, elle est passée de 53,4 % (2003) à 35 % (2012). […]
Une autre caractéristique des finances publiques suisses est que les
principaux taux d’imposition sont inscrits dans la Constitution et ne
peuvent être modifiés qu’après votation. L’article 128 fixe les impôts
directs à « un taux maximal de 11,5 % sur les revenus des personnes
physiques » et à « un taux maximal de 8,5 % sur le bénéfice net des
personnes morales ». Le taux normal de TVA est
fixé à 6,5 % par l’article 130. On voit la grande différence avec la
France où l’impôt, décidé en fait par le gouvernement, varie en fonction
des besoins immédiats de financement.Sans avoir à prendre des mesures brutales, la Suisse a réussi, en
dix ans, à rétablir l’équilibre de son budget, à réduire de plus de dix
points son endettement tout en conservant une croissance enviable :
1,4 % cette année, 2,1 % en 2014 selon les prévisions du Secrétariat
d’Etat à l’économie."
Lyon : recherche de cheftaines pour un groupe SUF
Le groupe Saint Martin de Tours (SUF – Lyon XII) recherche d'urgence 3
cheftaines pour encadrer louveteaux, jeannettes ou guides pour
la rentrée 2013-2014.
Merci de contacter M. Tanguy de Closmadeuc : [email protected] ou 06.63.32.75.45.
Najat Vallaud-Belkacem : le genre n’existe pas… sauf dans son cabinet
Suite à différents articles du Figaro dénonçant l'idéologie du genre, le ministre Najat Vallaud-Belkacem répète que cela n'existe pas. Pourtant, elle a dans son cabinet ministériel un conseiller chargé de l’identité de genre.
L'identité de genre fait même parti de ses refrains préférés, comme le montre son discours, fin juin, au Conseil de l'Europe.