« Les islamistes se vengent sur nous autres chrétiens »
L'évêque copte-catholique d’Assiout, Mgr Kyrillos William Samaan, a commenté les dernières attaques islamistes sur les institutions chrétiennes.
L’évêque
a reproché aux Frères musulmans évincés du pouvoir de ne pas accepter
les propositions de réconciliation émises par le nouveau gouvernement.
« Le
problème, c’est qu’ils continuent de vouloir un État islamique. Mais la
majorité des Égyptiens sont contents de ne pas en être arrivés là. Ils
veulent un État libéral ».
Désinformation sur l’Egypte : il s’agit d’une lutte contre le terrorisme
De Marc Fromager, directeur de l'AED :
"Encore une fois, la couverture médiatique des événements au Moyen-Orient
semble totalement décalée par rapport à la réalité du terrain. Comme le
précise le Patriarche des Coptes catholiques, il ne s'agit pas en
Égypte d'une "lutte politique entre factions rivales mais d'une lutte de
tous les Égyptiens contre le terrorisme".Sont
toujours opposés en Occident l'armée égyptienne et les Frères musulmans,
mais aucune mention n'est faite du peuple égyptien. Or, ce dernier est
massivement derrière l'armée et contre la mainmise des Frères musulmans
sur le pays. Des milices civiles anti-Morsi ont même été spontanément
créées auxquelles l'armée a demandé la dissolution.Il
serait bon de rappeler que près de la moitié de la population égyptienne
est descendue dans la rue à deux reprises, d'abord pour chasser Morsi
et ensuite, le 26 juillet, pour donner les pleins pouvoirs à l'armée
pour débarrasser le pays de ce "cancer".Ce qu'il faut
bien comprendre, c'est qu'il ne s'agit pas ici de l'expression pacifique
de nuances sur la compréhension de la démocratie mais d'une véritable
lutte à mort que les Frères musulmans ont engagé avec le pays et qu'ils
ne reculeront pas.Plutôt que de faire des grandes
déclarations à l'armée égyptienne mais qui ne sont pas suivies d'effet
et qui n'ont comme unique conséquence que celle d'encourager les Frères
musulmans, l'Union européenne et les États-Unis feraient mieux de se
concentrer sur la lutte anti-terroriste dont ils se prévalent en
permanence et éviter toute ingérence visiblement contre-productive.Restent les chrétiens aujourd'hui particulièrement visés par les Frères
musulmans et que l'Occident semble avoir complètement abandonnés.La France et l'Union européenne n'ont peut-être pas à leur apporter un
soutien particulier mais pas non plus un mépris particulier comme nous
pouvons l'observer aujourd'hui.Heureusement, des
égyptiens musulmans ont également aidé à protéger des églises. Ces
véritables artisans de paix devront le moment venu être honorés comme il
se doit.Cette bataille d'Egypte dépasse enfin
largement le cadre national et aura des répercussions sur toute la
région et même au-delà. En attendant, c'est toute la population
égyptienne qui est prise en otage. Écoutons-la, ce sera sans doute la
meilleure manière de l'aider."
3 ans de prison fermes pour l’ex-maire PS d’Hénin-Beaumont Dalongeville
Le tribunal correctionnel de Béthune a condamné l'ex-maire d'Hénin-Beaumont Gérard Dalongeville à quatre ans de prison, dont trois ferme, et à 50 000 euros d'amende pour détournement de fonds publics au préjudice de la commune d'Hénin-Beaumont.
Maire de 2001 à 2009 sous l'étiquette socialiste, Gérard Dalongeville était jugé pour 18 détournements de fonds publics, 11 délits de favoritisme, 6 usages de faux et une corruption passive.
La condamnation est clémente en regard des 10 années de prison encourues.
Les tanneries de peau humaine sous la Révolution
De Jean Sévillia dans Le Figaro Histoire :
"[…] En 1986, les Presses universitaires France publiaient une thèse
de doctorat d’Etat soutenue, à la Sorbonne, par un chercheur de 30 ans,
Reynald Secher : le Génocide franco-français. Irréfutable par
les faits exposés – la genèse et le déroulement des guerres de Vendée –
l’ouvrage allait déclencher une violente polémique en raison de son
titre, retenu à l’instigation de Pierre Chaunu, qui avait fait partie du
jury de thèse de Secher. Le mot « génocide » étant principalement
associé à la Shoah, l’utiliser au sujet de la Vendée revenait à établir
une comparaison entre les armées de la Convention opérant dans l’Ouest
en 1793-1794 et les bourreaux nazis du peuple juif, rapprochement jugé
intolérable aux yeux de ceux pour qui la Révolution française reste un
événement sacré. Ils faisaient valoir, non sans raison, que les Vendéens
révoltés et les révolutionnaires appartenaient à un même peuple, ce qui
rend problématique, en l’occurrence, l’utilisation du mot
« génocide ». A quoi Secher rétorque, également avec raison, notamment
dans son dernier livre, Vendée, du génocide au mémoricide. Mécanique d’un crime légal contre l’humanité
(Cerf, 2011), que Hitler a tué les juifs allemands, de même que les
Khmers rouges ont massacré le tiers de leurs compatriotes cambodgiens,
et que le terme de « génocide » ne suscite alors aucune réserve.
Interminable débat… Génocide ou populicide (l’expression est de
Babeuf), il y a une certitude : 170 000 Vendéens ont été tués pendant la
Révolution.Spécialiste de la Révolution française, professeur émérite à
Paris I – Sorbonne, Jean-Clément Martin a souvent abordé, dans des
livres ou des articles, les guerres de Vendée, y attaquant à chaque fois
Reynald Secher, cherchant à décrédibiliser sa méthode de travail comme
ses conclusions, l’accusant de partialité antirévolutionnaire. A quoi
Secher réplique en incriminant les présupposés idéologiques qui
conduiraient Jean-Clément Martin, qui est membre de la Société des
études robespierristes, à relativiser le drame vendéen.De fait, la lecture du dernier ouvrage de Jean-Clément Martin, Un détail inutile ? Le dossier des peaux tannées, Vendée, 1794,
laisse un sentiment de malaise. En décembre 1793, près d’Angers, aux
Ponts-de-Cé, plusieurs milliers de prisonniers vendéens furent tués par
leurs gardiens ; sur ordre d’un officier de santé, 32 de ces corps
furent écorchés, leurs peaux étant confiées à un tanneur d’Angers. Le
fait est avéré, et Jean-Clément Martin ne le conteste pas. Cependant, la
tradition contre-révolutionnaire ou simplement critique à l’égard de la
Révolution s’étant emparée de cet épisode pour en faire un emblème des
horreurs commises en Vendée, au point, chez certains, d’interpréter
comme une entreprise d’Etat ce qui n’était peut-être qu’une initiative
particulière, Jean-Clément Martin en tire prétexte, a contrario, pour
traiter cette affaire comme un accident non significatif, la replaçant
dans la perspective plus large de l’histoire de l’écorchement, de
l’Antiquité à nos jours. Or les seules questions qui vaillent est de
savoir si, en France, vers 1780, le fait de tanner une peau humaine
était considéré comme normal, et la réponse est non, et de se demander
par quel mécanisme idéologique ou psychologique un acte aussi barbare a
pu s’accomplir.[…] Rappelons la chronologie. En 1789, la Révolution est reçue avec
espoir en Vendée. En 1790, les habitants du département achètent des
biens de l’Eglise, vendus comme biens nationaux. Mais en 1791,
l’obligation faite aux prêtres de se soumettre à la Constitution civile
du clergé (condamnée par le pape) suscite un mécontentement qui culmine,
en 1792, quand les réfractaires sont pourchassés. En 1793, la
conscription met le feu aux poudres. Les insurgés commencent par aligner
les victoires, échouant devant Nantes, mais prenant Saumur et Angers. « Détruisez la Vendée »,
lance Barère à la Convention. Pendant l’été 1793, le Comité de salut
public fait converger plusieurs armées sur la région. Franchissant la
Loire, les familles vendéennes fuient vers Le Mans et jusqu’en
Normandie, exode appelé la Virée de Galerne, avant de refluer sous les
coups de leurs adversaires. Le 23 décembre 1793, les débris de l’Armée
catholique et royale sont anéantis à Savenay. « Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher, j’ai tout exterminé », annonce le général Westermann à la Convention.Mais ce n’est que le premier acte de la tragédie. Pendant qu’à
Nantes, Carrier multiplie les atrocités, noyant 10 000 innocents dans la
Loire, les colonnes infernales de Turreau sillonnent la Vendée, au
prétexte de prévenir un nouveau soulèvement. De décembre 1793 à juin
1794, elles massacrent la population, incendient fermes et villages,
détruisent récoltes et troupeaux. Or, au plus fort de la répression, en
1794, il n’y a plus de danger pour la République. Ni intérieur, dans la
mesure où l’armée vendéenne a déjà été écrasée, ni extérieur, puisque
les armées françaises ont accumulé les victoires entre octobre et
décembre 1793. Impossible d’expliquer donc la violence des « Bleus » par
le poids des circonstances : c’est bien pour des raisons idéologiques
que le peuple vendéen a subi l’assaut des armées de la Convention. Des
représentants en mission l’écrivirent au général Haxo : « Il faut que la Vendée soit anéantie parce qu’elle a osé douter des bienfaits de la liberté ».Fondé en 1994, le Centre vendéen de recherches historiques,
parrainé, à sa naissance, par Pierre Chaunu et François Furet, est un
institut de recherche sur les guerres de Vendée lié aux meilleures
universités. Alain Gérard, son directeur scientifique, chercheur à
l’université de Paris IV- Sorbonne, avait publié, en 1999, un
remarquable livre, "Par principe d’humanité… ", la Terreur et la Vendée (Fayard), dans lequel il analysait la guerre de Vendée en tant que point focal de la Terreur. « C’est par principe d’humanité que je purge la terre de la Liberté de ces monstres »,
affirmait Carrier à propos des Vendéens. Massacrer la population
civile, c’était répudier le monde ancien pour régénérer l’humanité. […]"
Le patriarche copte déplore le sophisme médiatique occidental
Le patriarche Tawadros II, pape de l’Église copte orthodoxe, écrit :
"Nous suivons le développement des évènements malheureux que subit l’Église Copte sur la terre de notre pays l’Égypte, et nous continuons à soutenir la police égyptienne, les Forces armées et les autres organisations du peuple égyptien visant à lutter contre les groupes violents armés, le terrorisme chez nous et à l’étranger, les attaques contre des entités étatiques et les églises paisibles, le fait de terroriser les citoyens coptes et musulmans, et ce à l’encontre de la religion, de la morale et de l’humanité.
Bien que nous appréciions leur position sincère et amicale et leur compréhension de l’heuristique, nous déplorons le fort sophisme médiatique qui prévaut au sein des pays Occidentaux et nous les invitons à lire les faits objectivement sans tenter d’établir une couverture internationale ou politique à ces groupes terroristes et sanglants et à tous ceux qui y appartiennent, car ils essaient de semer la dévastation et la destruction dans notre cher pays.
Nous invoquons l’ensemble des médias et l’engagement mondial à fournir la véritable image de ce qui se passe en toute transparence, droiture et honnêteté.Nous reconnaissons toutes les victimes tombées en martyrs et nous souhaitons la guérison à chaque blessé. Nous adhérons entièrement à l’unité nationale solide et rejetons formellement toute tentative d’entrainer le pays dans une querelle sectaire. De surcroit, nous considérons toute ingérence étrangère dans les affaires intérieures à l’Égypte comme inacceptable.
De plus, lorsque la main du mal approche et brûle, tue et détruit, la main de Dieu, plus proche, protège, renforce et construit. Nous mettons notre foi dans l’aide divine par laquelle, l’Égypte et son peuple traverseront ces jours critiques de notre Histoire vers un avenir meilleur, un avenir illuminé par la justice, la paix et la démocratie que méritent les habitants de l’authentique vallée du Nil.
Vive l’Égypte, libre et fière."
22 août : obsèques de l’abbé Chanut
Les obsèques de l'abbé Chanut seront célébrées jeudi 22 août à 10h en l'église de Milly la Forêt (91).
"Les obsèques de Monsieur l’Abbé Christian-Philippe Chanut auront lieu
jeudi 22 août 2013 à 10 heures en l’église-collégiale Notre-Dame de
l’Assomption de Milly-la Forêt (Essonnes). L’office sera présidé et
concélébré par Monseigneur Michel Dubost, évêque
d’Evry-Corbeil-Essonnes.Le lendemain, vendredi 23 août à 20 heures, une messe de Requiem sera
célébrée à la mémoire de l’Abbé Chanut, qui fut Grand-Aumônier de
France, selon le rite extraordinaire de la Sainte Eglise romaine, en
l’église Saint-Denis de Viry-Châtillon ( 3 Rue Horace de Choiseul, 91170
Viry-Châtillon) où Monsieur l’Abbé Chanut officiait chaque dimanche
depuis le motu proprio Summorum Pontificum.
Nombreux seront ceux qui voudront à cette occasion lui rendre un dernier hommage.Monsieur l’Abbé Christian-Philippe Chanut sera inhumé vendredi 23 août
dans l’intimité familiale, au cimetière de la Chartreuse de Bordeaux."
Accueil surprise de Manuel Valls hier soir en gare de Lyon
Vers 23h45, des opposants à la loi Taubira anti-dénaturation du mariage ont accueilli le ministre à la sortie du train aux cris de
« Hollande, démission ! », « Hollande, dictateur ! » ou « Francs-maçons,
en prison ! ».
Manifestation contre la dénaturation du mariage à Munich
Samedi 17 août, une centaine de Français ont manifesté à Munich, face à 300 contre-manifestants, séparés par une centaine de policiers. Photos ici.
Conférence à Quimiac (44) le 20 août : “Menaces sur la liberté d’expression”
Avec François Billot de Lochner, auteur de "La Répression pour tous" (Lethielleux, juin 2013). Chapelle Saint-Louis de Mesquer-Quimiac
(à l'angle de la rue de Lozepienne et de la rue du Treyo).
A 20h30.
Entrée libre.
La méthode du gouvernement pour ne pas regarder la France en face
… c'est de l'imaginer en 2025. Alors évidemment, pour ces idéologues, l'avenir est en rose.
Les experts du travail social face au handicap
Dans Un Hurluberlu dégingandé et
une demi portion, Lettre ouverte (mais pas trop) sur le handicap,
Séverine-Arneld Hibon, dont le mari est infirme moteur cérébral, raconte
quelques anecdotes sur sa vie de famille :
« Nous
avons une organisation familiale qui fonctionne assez bien ; cependant
j’ai du mal à accepter que des experts du travail social ou médical viennent me
demander de justifier nos choix de vie… Je le répète, je ne leur en veux pas de
faire leur travail, mais comment expliquer de manière quantifiable que la vie
serait infernale pour Jean-Baptiste et exténuante pour moi si je travaillais
constamment à l’extérieur ? Comment dire que la multitude de petits gestes
banals que j’effectue pour lui prend peu de temps mais demande une présence
constante ? Comment faire comprendre que si je passe une soirée ou une journée
hors de la maison, il faut que tout soit prévu pour que Jean-Baptiste ne se
retrouve pas seul face à une montagne impossible à gravir ? Il ne va pas
se faire cuire des pâtes, notre cuisine ne lui permet pas de transporter une
casserole d’eau bouillante. Et vous avez essayé de passer l’éponge de la main
dont vous vous servez le moins pendant qu’un farceur s’amuse à vous pousser le
coude ? Vous aurez alors une idée de l’énergie qu’un geste infime demande
à Jean-Baptiste. »
Si c’étaient des veilleurs, ils auraient déjà été délogés
Installés depuis jeudi sous des bâches Place de la République à Paris, plusieurs dizaines militants de l'association Droit au Logement ont interpellé le gouvernement.
Le lobby LGBT s’invente un problème en Russie
Le ministre russe des Sports Vitaly Moutko a répondu à un journaliste étranger à propos de la désinformation répandue par les mouvements LGBT sur la Russie :
"La loi en question n'empiète sur les intérêts des citoyens, y compris étrangers, que ce soient les sportifs, les organisateurs ou les supporteurs. Cela fait dix jours que vous êtes à Moscou, avez-vous des exemples de problèmes liés à cette loi? (…) Je pense que ce problème est inventé".
M. Moutko a rappelé que la loi interdisant la propagande gay auprès des mineurs se conformait à la convention des Nations unies sur la protection des enfants.
"Nous voulons juste protéger nos enfants, dont le psychique n'est pas encore formé, contre la propagande des drogues, de l'alcoolisme et des relations sexuelles non-traditionnelles. Cette loi ne vise personne, elle n'empiète ni sur la vie privée, ni sur les intérêts de qui que ce soit. Je n'ai qu'à répéter que les droits et les libertés de tous les invités et participants aux Jeux olympiques seront pleinement respectés".
Le pape encourage à prier le rosaire
Extrait de l'homélie du pape lors de la fête de l'Assomption :
"Le passage de l’Apocalypse présente la vision de la lutte entre la femme
et le dragon. La figure de la femme, qui représente l’Eglise, est d’un côté
glorieuse, triomphante, et de l’autre, encore en travail. Telle est, en effet,
l’Eglise : si elle est déjà associée, au ciel, à la gloire de son Seigneur, elle
vit continuellement, dans l’histoire, les épreuves et les défis que comporte le
conflit entre Dieu et le malin, l’ennemi de toujours. Et dans cette lutte, que
les disciples de Jésus doivent affronter – nous tous, nous, tous les disciples
de Jésus nous devons affronter cette lutte – Marie ne les laisse pas seuls ; la
Mère du Christ et de l’Eglise est toujours avec nous. Toujours, elle marche avec
nous, elle est avec nous. Marie aussi, en un certain sens, partage cette double
condition. Naturellement, elle est désormais, une fois pour toutes, entrée dans
la gloire du ciel. Mais cela ne signifie pas qu’elle soit loin, qu’elle soit
séparée de nous ; au contraire, Marie nous accompagne, elle lutte avec nous,
elle soutient les chrétiens dans le combat contre les forces du mal. La prière
avec Marie, en particulier le Rosaire – écoutez bien : le Rosaire. Est-ce que
vous priez le Rosaire tous les jours ? Je ne sais… [la foule crie : Oui !]
C’est sûr ? Et bien la prière avec Marie, en particulier le Rosaire a aussi
cette dimension « agonistique », c'est-à-dire de lutte, une prière qui soutient
dans la bataille contre le malin et ses complices. Le Rosaire aussi nous
soutient dans la bataille."
La paix n’est pas un compromis à tout prix
Place Saint-Pierre, le pape François a récité la prière de l’Angélus. Il
est revenu sur l’Evangile de Luc de ce dimanche où Jésus parle
notamment de division :“Pensez-vous que je sois venu apporter la paix
sur la terre? Non, vous dis-je, mais la division » (LC, 12, 51) :
"Comment
interpréter ces propos ? Cela signifie que la foi
n’est pas quelque chose de décoratif, d’ornemental. Vivre la foi n’est
pas décorer sa vie avec un peu de religion, comme si elle était un
gâteau que nous décorerions avec de la crème. Non ! La foi ce n’est pas
ça !""La foi implique au
contraire de choisir Dieu comme critère de la vie, et Dieu n’est pas le
vide, Dieu n’est pas neutre, Dieu est toujours positif, Dieu est amour
et l’amour est positif ! Après que Jésus soit venu dans le monde, nous
ne pouvons faire comme si nous ne le connaissions pas, comme c’était
quelque chose d’abstrait et de vide. Dieu a
un visage concret, il a un nom : il est miséricorde, fidélité, il est
la vie qui se donne à tous.Quand Jésus dit qu’il est venu apporter la division, cela ne veut pas
dire qu’il veut diviser les hommes entre eux, mais qu’au contraire il
est notre paix et notre réconciliation a dit encore François. Cette paix
n’est pas quelque chose de neutre, elle n’est pas un compromis à tout
prix.Suivre Jésus signifie donc renoncer au mal, renoncer à l’égoïsme et choisir le Bien, la vérité, la justice,
même quand cela nous demande des sacrifices et de renoncer à nos propres
intérêts. Et cela, nous le savons, implique de la division. Mettre le
Christ à la première place signifie parfois accepter une opposition au
sein même de la famille. Jésus est celui qui nous met face à un choix :
vivre pour soi-même ou pour les autres, se faire servir ou servir, obéir
à soi-même ou à Dieu. Dans ce sens, Jésus est « signe de contradiction
»Mais ce passage de
l’Evangile n’autorise pas du tout l’usage de la force pour diffuser la
foi. C’est justement le contraire : la vraie force du
chrétien est la force de la vérité et de l’amour, qui comporte de
renoncer à toute violence. La foi et la violence sont incompatible, mais
la foi et la force vont ensemble. Le chrétien n’est pas violent mais
fort. Cette force est celle de la douceur, celle de l’amour."
Lien entre avortement et cancer du sein
Jeanne Smits a traduit un article du Dr Joël Brind,
professeur de biologie et d’endocrinologie au Baruch College de la City
University de New York, co-fondateur et membre du Bureau du
Breast Cancer Prevention Institute. Il a participé à des études sur le lien
entre avortement et cancer du sein depuis 1992. Extrait :
"Le lien entre l’avortement et le
cancer du sein (ABC – abortion breast
cancer) a deux facettes. D’abord, il est universellement admis que le fait
d’avoir un enfant fait décroître le risque de développer un cancer du sein,
parce que la maturation des cellules du sein en cellules galactogènes les rend
moins susceptibles de devenir cancéreuses.
Deuxièmement, la grossesse fait
croître de manière
impressionnante le nombre de cellules mammaires qui peuvent devenir
cancéreuses. Une naissance vivante laisse à ces cellules
« progénitrices » le temps de se différencier pour devenir des
cellules plus mûres, plus résistantes au cancer. Et ainsi, l’avortement provoque
l’apparition de davantage d’endroits dans les seins où le cancer peut commencer
à se développer qu’avant le début de la grossesse.
Une très récente étude a
l’honneur déplaisant de rendre compte du plus fort lien ABC jamais
observé : les femmes bangladaises ayant subi un avortement y apparaissent
comme présentant un risque de cancer du sein multiplié par 20 ! Pourquoi ce risque relatif est-il
si élevé ? Cela vient du fait
que presque toutes les femmes bangladaises se marient et ont leur premier
enfant avant l’âge de 21 ans, et qu’en outre elles allaitent leurs enfants. Par
conséquent, le cancer du sein était pour ainsi dire inconnu au Bangladesh
jusqu’à une époque récente. […]"
Quand les gauchistes militaient pour la dépénalisation de la pédophilie
L'Allemagne n'a pas honte de revisiter son passé :
"Il n'y a pas que les Verts qui, au début des années 1980, ont envisagé de dépénaliser la pédophilie en Allemagne. La question a aussi taraudé le Parti libéral, le FDP, notamment la structure regroupant ses jeunes sympathisants. Tel est l'un des principaux résultats du travail mené depuis deux mois par un institut de recherches de Göttingen. Celui-ci ne livrera la version définitive de ses travaux qu'à la fin 2014, mais a décidé d'en publier un résumé dès le lundi 12 août dans la Frankfurter Allgemeine Zeitung.
Les chercheurs ont notamment révélé qu'une candidate du FDP aux élections législatives de septembre avait, à l'époque, publié un texte dénué d'ambiguïté sur le plaisir que lui apportait une fillette de 9 ans."
En France, le sujet est tabou. Pourtant, bon nombre de gauchistes avaient milité ouvertement pour cette dépénalisation, soutenus par les quotidiens Libération et Le Monde.
L’idéologie du gender serait-elle raciste ?
L’Allemagne est en passe de devenir le premier pays en Europe à introduire une troisième désignation «indéterminé» pour le sexe sur les certificats de naissance. La possibilité de choisir “blanc” (pas noir, gris, brun, jaune ni vert : blanc !), en plus des choix standard de «Masculin» ou «Féminin» sur les certificats de naissance sera disponible en Allemagne à partir du 1er novembre. La modification législative permet aux parents de retarder la détermination du sexe de leur bébé.
Avec cette nouvelle loi, des personnes peuvent opter pour rester totalement en dehors du genre binaire.(source : ce site 'transexuel')