Emeute dans le pas de Calais
Un quartier sensible d'Avion (Pas-de-Calais), près de Lens, a connu dans la nuit de mardi à mercredi des tensions entre jeunes et policiers, après qu'un jeune a été grièvement blessé dans un accident de scooter.
Les tensions ont débuté alors que des policiers se rendaient sur les lieux d'un accident, dans lequel un jeune a percuté un véhicule en stationnement alors qu'il roulait à vive allure.
Les policiers ont été pris à partie et la situation a commencé à dégénérer.
Une cinquantaine de voyous, organisés en petits groupes, ont dans la nuit brûlé quatre poubelles, deux véhicules de particuliers. Ils ont également mis le feu à une friterie, où une bouteille de gaz a explosé, ainsi qu'à la réserve d'un magasin Leader Price.
Il n'y a pas eu d'interpellation.
Recours devant le Conseil d’Etat contre la loi Taubira
L’Union des Familles en Europe vient de former un recours juridique contre les décrets d’application de la Loi Taubira donnant une nouvelle définition du mariage. Cette définition – inextricablement liée à la filiation – est, en effet, contraire aux traités signés par la France. Elle est donc, selon toute vraisemblance, illégale.
La loi sur le « mariage pour tou s » est contraire aux traités signés par la France et doit être déclarée inapplicable.
En adoptant une définition de mariage englobant l’union de deux personnes de même sexe, la France a violé les traités qu’elle a signés.
En effet, le 28 mai 1981, la France a ratifié le Pacte international relatif aux droits civils et politiques du 16 décembre 1966, adopté par l’assemblée générale de l’ONU. L’article 23 de ce Pacte proclame que « Le droit de se marier et de fonder une famille est reconnu à l'homme et à la femme à partir de l'âge nubile. ».
Il ne fait pas de doute que nul ne songeait à l’époque à inclure l’union homosexuelle dans le mariage, universellement défini comme l’union d’un homme et d’une femme avec ses conséquences sur la fondation d’une famille, donc l’arrivée d’enfants.
Or, tout traité en vigueur lie les parties et doit être exécuté par elles de bonne foi. Un Etat ne peut invoquer les dispositions de son droit interne pour justifier qu’il n’exécute pas ledit traité. Plus encore : l’article 55 de la Constitution française prévoit que les traités ont une valeur supérieure à la loi, même si la loi a été jugée constitutionnelle.
Dans ces conditions, l’UFE a demandé au Conseil d’Etat d’annuler les décrets, arrêtés et circulaires Taubira relatifs au « mariage pour tous », c'est-à-dire d’écarter l’application de la loi, comme c’est la jurisprudence du Conseil d’Etat en pareil cas.
Et si le Conseil d’Etat refuse ?
Dans ce cas, l’UFE portera l’affaire devant le Comité des droits de l’homme de l’ONU, pour que justice soit rendue par des juges indépendants, représentant tous les continents du monde.
Quel est le but de l’UFE avec cette action ?
Le mariage a deux aspects : le premier concerne les époux, le second les enfants nés de leur union. L’un et l’autre sont liés et c’est tout le problème. Qui dit mariage, dit filiation. Or, l’UFE n’accepte pas que la loi puisse priver un enfant d’un père ou d’une mère en entretenant la fiction qu’il aurait deux papas ou deux mamans.
Mgr Aillet appelle à continuer l’opposition à la loi Taubira
Dans son message du 15 août, Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron, écrit :
"Le 15 août 2012,
le Cardinal André Vingt-Trois, inquiet des menaces qui pesaient sur le
mariage et la famille, avec le projet de loi dit de « mariage pour
tous », proposait à tous les catholiques de France de porter cette
intention dans la prière universelle. Il s’agissait ni plus ni
moins, en la fête de l’Assomption de Notre-Dame, patronne principale de
notre pays, que de prier pour la France. Cette simple et
modeste prière eut des retentissements insoupçonnés, elle réveilla
l’âme profonde de notre nation et c’est une mobilisation sans précédent
qu’elle entraîna : un débat public, confisqué par un gouvernement et un
parlement démocratiquement élus, s’ouvrit ; de nombreuses personnalités
du monde des élus et de la société civile, mais aussi des grandes
confessions religieuses, dont de très nombreux évêques de France,
brisèrent la loi du silence imposé par des lobbies ultra-minoritaires
mais exerçant une pression inouïe sur les responsables politiques et la
plupart des grands media ; des foules inédites de plus d’un million de
personnes, dont de très nombreux jeunes, descendirent dans la rue pour
faire entendre leur voix, bravant à trois reprises le mépris du
gouvernement, la répression policière, le silence complice des grands
media. Et c’est pacifiquement que la force du droit se heurtait à des
instances politico-judiciaires s’arrogeant le droit d’user de la force
de manière parfaitement illégale. Le rappel à l’ordre de la France par
le Conseil de l’Europe pour mauvais traitement policier infligé aux
manifestants de la « manifpourtous », et les actions en justice contre
de tels agissements, qui éclateront au grand jour dans quelques mois,
démontrent cette illégalité.Depuis l’adoption de la loi Taubira par le Parlement le 23 avril 2013 et sa promulgation par le gouvernement le 17 mai, la mobilisation des opposants ne s’est pas relâchée,
comme en témoigne la grande manifestation nationale du 26 mai et les
multiples initiatives ici ou là tout au long de ces vacances d’été, et
cela sans récupération politique de l’opposition, d’ailleurs très
divisée, voire ambiguë sur la question. C’est la nation profonde, de
plus en plus réservée par rapport à l’action et à l’influence des partis
politiques quels qu’ils soient, qui se mobilise. Pour beaucoup, c’est
l’avènement d’une foi engagée dans la sphère sociopolitique, pour
d’autres le réveil du simple bon sens.Lorsqu’il n’était encore que l’archevêque de Buenos Aires, le Pape
François avait situé cette reconnaissance légale du mariage entre
personnes de même sexe à son vrai niveau, en disant qu’il ne s’agissait
pas seulement « d’un simple projet législatif mais d’une manœuvre du Père du mensonge
qui prétend embrouiller et tromper les enfants de Dieu », et en
demandant instamment aux carmélites de son diocèse de prier et d’offrir
des sacrifices à cette intention.Les grands media ont beaucoup caricaturé l’engagement des opposants
au « mariage pour tous » et favorisé leur diabolisation dans l’opinion
publique par des lobbies qui agitent le spectre de l’« homophobie ». On
prétend même que les situations de rejet des personnes homosexuelles
dans la société auraient augmenté du fait de cette opposition. Ce qui
est vrai, c’est que l’omniprésence de ces lobbies dans les media,
l’obsession des pouvoirs publics pour « la lutte contre l’homophobie »
et la réduction des personnes à leur orientation sexuelle dans le
discours officiel, ont fini par créer un climat d’exaspération propice à
des formes de rejet qui n’existaient plus ou presque plus. Il ne faut
pas se laisser enfermer dans ce piège. L’Eglise, quant à elle, a
toujours été claire sur le refus de toute discrimination ou
marginalisation de quiconque en raison de son orientation sexuelle,
comme l’a rappelé le Pape François aux journalistes dans l’avion qui le
ramenait de Rio à Rome, en citant le Catéchisme de l’Eglise Catholique
et en ajoutant : « Qui suis-je pour juger ? ». Il n’en maintient pas
moins fermement la position bien connue de l’Eglise sur la légalisation
des unions de personnes de même sexe : « L’Eglise s’est déjà
parfaitement exprimée sur cela […] Les jeunes savent parfaitement la
position de l’Eglise ».Nous ne saurions considérer cette nouvelle loi de la République comme un dogme intouchable et il
est bien légitime de continuer à s’y opposer avec fermeté et ténacité,
en demeurant toutefois obstinément dans une posture pacifique et non
violente. D’autant plus que d’autres lois sont en préparation
et que « la théorie du gender » fera son apparition dans les programmes
scolaires de la petite enfance, dès cette année. Dans sa lettre du 25
mars dernier aux évêques d’Argentine réunis en assemblée plénière, le
Pape François renvoyait ses frères au « Document d’Aparecida » comme
« marque référentielle », à même d’apporter « les orientations
nécessaires en ce moment de l’histoire ». Dans le rapport de cette 5ème
Conférence générale de l’Episcopat sud-américain et des Caraïbes,
intitulé « Disciples et missionnaires de Jésus-Christ pour que nos
peuples aient la vie en lui », et dont le Cardinal Bergoglio fut le
président de la commission de rédaction, les évêques écrivent sans
ambiguïtés : « Devant des lois et des dispositions gouvernementales qui
sont injustes à la lumière de la foi et de la raison, on doit favoriser l’objection de conscience ».
Et d’ajouter avec gravité : « Nous devons nous tenir à la ‘cohérence
eucharistique’, c’est-à-dire, être conscients que l’on ne peut pas
recevoir la communion sacrée et, au même moment, agir en actes et en
paroles contre les commandements, en particulier quand on soutient
l’avortement, l’euthanasie et d’autres délits graves contre la vie et la
famille. Cette responsabilité pèse de manière particulière sur les
législateurs, les gouvernants et les professionnels de santé » (n. 436).
Il ne s’agit pas de partir en guerre contre quiconque, mais d’appeler
les catholiques engagés en politique et dans les professions de santé, à
la cohérence et à la responsabilité.Aux jeunes de tous les pays, rassemblés à Rio pour la 28ème JMJ, le
Pape François a lancé : « Je suis les nouvelles du monde et je vois que
de nombreux jeunes, en tant de parties du monde, sont descendus dans la
rue pour exprimer le désir d’une civilisation plus juste et fraternelle
[…] Continuez à vaincre l’apathie, en donnant une réponse chrétienne aux
inquiétudes sociales et politiques, présentes dans diverses parties du
monde » (Veillée du samedi 27 juillet 2013). Il en va de
l’engagement politique des catholiques dans la société, de leur propre
initiative, selon les principes de la Doctrine sociale de l’Eglise et
avec l’encouragement de leurs pasteurs.La prière demeure toutefois notre première arme dans un combat qui
est celui de Dieu avant d’être le nôtre. Je vous propose donc de vous
joindre à tant d’autres initiatives de prière qui auront lieu en cette
solennité du 15 août 2013. Pour ma part, je présiderai à la
Cathédrale de Bayonne, une procession mariale le mercredi 14 août à 21h
et m’unirai ainsi à la grande « prière pour la France » qui sera
présidée au même moment par le Cardinal Paul Poupard, à l’invitation de
Mgr Henri Brincard, au Puy en Velay, devant la grande statue de
Notre-Dame de France. Je vous invite à vous y associer. La
Vierge Marie, signe dans son Assomption de la victoire définitive du
Christ sur les puissances du Mal, est notre rempart, spécialement en
France où elle nous a gratifiés de tant de visites et de messages."
Banderole aérienne “Hollande démission”
Le Rouge et le Noir tient le carnet de voyage de l'avion avec la banderole « Hollande Démission », qui fait le tour des plages de France.
De son côté, n'ayant certainement que cela à faire, la gendarmerie aérienne enquête sur le pilote.
Une cagnotte est en ligne pour financer l'opération.
Marseille : l’assassin déséquilibré était bien connu des services de police
Minute évoque le meurtre de Jérémie à Marseille :
"Le jeune homme de 22 ans a été
agressé vendredi soir en plein centre de Marseille, à seulement 50 mètres d’un grand commissariat, alors
qu’il allait chercher une amie à la
gare. Craignant peut-être que celle-ci
ne soit importunée en traversant
toute seule le quartier… Les journaux
rapportent que Jérémie a été
« poignardé à la gorge ». Pour ne pas
dire qu’il a été « égorgé », le terme
étant peut-être à leurs yeux trop
connoté historiquement ? Après
deux jours dans le coma, il est décédé
dimanche.Le « principal suspect » ou « auteur présumé », selon les déclarations,
s’appelle Ali H. C’est un SDF.
Il a été immédiatement présenté
comme un « déséquilibré » étant
« originaire de la Drôme ». Déséquilibré,
peut-être ; originaire de la Drôme, y’a à redire… ; disons qu’il y
était né… Ali H. a été condamné à
plusieurs reprises pour vols, violations
de domicile, rébellions, dégradations,
recel… et « petits » trafics
de stupéfiants. Un palmarès que
l’on s’efforce aussi de minorer.
La théorie de l’accès de folie
d’un déséquilibré – forcément impossible à prévoir – est sans aucun
doute plus confortable pour les juges et les politiques. A l’heure où
nous mettons sous presse, Ali H. a
été arrêté mais n’est pas mis en examen,
aucun élément objectif ne l’incriminant
directement pour le moment. Il y a une autre piste. Le téléphone
de Jérémie Labrousse avait
été géolocalisé par la police dans les
quartiers Nord de Marseille… Hypothèse 1 : la racaille s’est mise en
« mode Brétigny » et a ramassé le
portable du mourant ! Hypothèse
2 : Ali H. n’est pour rien dans la
mort de Jérémie et c’est un habitant
des « quartiers Nord » qui a fait le
coup. Lequel n’est certainement
pas connu, lui non plus, des services de police…
La prétention totalitaire de l’éducation nationale
La tentation hégémonique de
Vincent Peillon sur l’éducation des enfants est issue directement de
l’idéologie révolutionnaire, laquelle désire S’Approprier l’homme, comme
l’indique le titre du dernier ouvrage de Xavier Martin, avec, comme à
l’accoutumée, moult citations des penseurs et des acteurs de la Révolution
Française :
« Oui,
l’éducation est chose trop sérieuse, elle est trop divine pour qu’on la laisse aux père et mère par la nature, quel
que soit d’ailleurs leur niveau social. Bourdon [auteur d’un plan d’éducation nationale présenté à l’Assemblée en 1789,
NDMJ] lui-même sera très net à cet égard : « l’enfant
riche » trouvera chez les siens « des leçons pratiques d’orgueil,
d’aristocratie, de despotisme ; l’enfant pauvre sera l’élève de la
superstition et des préjugés ». Et la conclusion qu’il généralise est sans
équivoque : « L’éducation domestique ne convient sous aucun rapport à un
être né pour la société » ; elle « ne saurait donner que des
esclaves ou des despotes ». Robespierre et Danton, malgré leurs
divergences, se trouvent d’accord pour estimer que la famille
« rétrécit » l’esprit des enfants. Si l’on veut bien alors considérer
d’un œil neuf l’abandon par Rousseau de ses cinq nourrissons, paradoxalement
elle est réductible à une simple délégation
de pouvoirs ; on sait d’ailleurs comment les Confessions nous la traduisent – ça aussi en dit long :
« [E]n livrant mes enfants à l’éducation publique […], je crus faire acte
de citoyen et de père » (sic). […]Cueillir
l’homme « dès le berceau » pour le modeler intégralement sans plus le
lâcher ? L’idée explicite, se confirme-t-il, en parcourt l’échine de la
décennie révolutionnaire. « Nous nous emparons de la génération qui
nait » : Rabaut Saint-Etienne s’en est flatté. Il faut, dit encore
Heurtault-Lamerville à une tribune parlementaire du Directoire, « saisir
l’enfant au berceau, s’emparer de l’homme pendant toute sa vie […] et le
conduire enfin à sa demeure dernière » ; et il enfonce le clou :
il faut « que nos institutions, pour produire tout l’effet de la Terre
entière (sic) attend de nos efforts, prennent l’homme au berceau, et ne
quittent dans la tombe que sa dépouille mortelle ». […]Intervenir dès
le berceau ? Certains –osera-t-on le dire ?- eussent voulu faire plus
vite encore. Comme ne craint pas de l’exprimer avec une force extrême le conventionnel
Michel-Edme Petit, « l’éducation (…) doit remonter plus haut ; elle
doit aller chercher l’homme dans
l’embryon de l’espèce », ce qu’il prétend affirmer là, c’est qu’elle
doit vaquer, en priorité, à conditionner psychologiquement les pères et les mères,
– les « mères surtout » précisait-il. Rabaut Saint-Etienne n’en dira
guère moins. Faisant distinction de « l’instruction publique »,
destinée au modelage de l’esprit, et de « l’éducation national »,
dont l’objet propre, plus profond, est de « former le cœur », il ne
craint pas de conférer à cette dernière un monopole originel exorbitant :
« Toute sa doctrine consiste donc à s’emparer de l’homme dès le berceau, et même avant sa naissance ; car
l’enfant qui n’est pas né, appartient déjà à la patrie ».
Les milliards de la Défense transférés à la “paix sociale”
Lu dans les 4 Vérités :
"Le 2 août avait lieu le dernier
conseil des ministres
avant cette pause estivale,
si joliment mise en scène par le
président Hollande.
Tous les médias se sont extasiés
devant ces ministres qui devaient rester « mobilisables »
durant leurs deux semaines de
congé.
Personnellement, je ne vois pas
ce qu’il y a d’admirable à être
prêt à faire face à une actualité
brûlante. Tous les dirigeants
sont dans ce cas. C’est peut-être
une découverte pour « nos »
ministres, mais, alors, ils
devraient discuter plus souvent
avec des chefs d’entreprise. Ils
apprendraient, par exemple,
qu’il n’y a pas de trêve estivale
pour les contrôles fiscaux ou les
descentes de l’URSSAF…Cela étant, cette belle mise en
scène a, au moins, servi à une
chose : elle a détourné l’attention
du contenu même de ce
conseil des ministres.
Et ce contenu est particulièrement
emblématique de la
conception socialiste (hélas partagé
très largement au-delà du
PS) du rôle de l’État.
Au cours de la même séance, le
gouvernement a présenté deux
projets de loi importants : l’un
relatif à la loi de programmation
militaire et l’autre relatif à la loi
de programmation pour la ville
et la cohésion urbaine (ah, ces
noms ronflants…).
La loi de programmation militaire
(LPM) précédente m’avait
semblé fort inquiétante. Celle-ci
me paraît un désastre. La prétendue
« sanctuarisation » du
budget de la Défense cache mal
les dramatiques réductions d’effectifs.
Selon l’amiral Guillaud,
chef d’état-major des armées,
en deux LPM, nos forces auront
perdu 80 000 soldats !
La France renonce ainsi à être
une grande puissance militaire –
et donc une grande puissance
tout court. Cela est d’ailleurs
cohérent avec sa volonté de se
dissoudre dans l’Union européenne
et autres officines
supranationales, qui décident à
notre place la politique que
nous devons mener…Dans le même temps, une autre
loi de programmation était présentée
: elle prévoyait un énième
plan pour la ville. Concrètement, cela revient à acheter
quelques mois de « paix sociale
» en déversant les milliards
qu’on ne sait plus trouver pour
la Défense. Que ces milliards de
la « cohésion urbaine » alimentent
éventuellement les caïds et
les barbus est évidemment le
cadet des soucis de « nos » gouvernants
!
Voilà bien l’État socialiste : inefficacité
et clientélisme, financement
de l’anti-France et refus de
la défense de la France…
L’exact contraire de ce qu’il faudrait
faire ! n
Trierweiler fait sa communication au mépris de la vérité
Alors qu'elle partage la vie d'un homme qui a bafoué le droit le plus élémentaire pour un enfant (celui d'avoir un père ET une mère), Trierweiler déclare sans rire :
"chacun sait que je suis au côté de l'enfance vulnérable".
Et, deux semaines à l'avance, elle annonce qu'elle accompagnera 5000 enfants "oubliés des vacances" le 28 août à Cabourg. Elle se contente surtout d'être dans les bagages du Secours Populaire, qui organise cette opération depuis des années, sans l'aide de Mme Trierweiler.
Un comité d'accueil à Cabourg le 28 août ?
Armée : faut-il s’inquiéter des tatouages ou des radicaux musulmans ?
Lu dans Minute :
"Le député socialiste Jean-Jacques Urvoas est
outré : le site internet de la Légion étrangère a
osé illustrer un article sur un soldat ayant remporté
un tournoi de boxe avec une photo de celui-ci,
sans masquer la conséquente croix celtique qu’il porte, tatouée sur le flanc. Et la croix en question, elle met
sacrément en rogne le député Urvoas. La photo serait
du coup « très contestable », eu égard à l’utilisation de
cette même croix par « des mouvements de l’extrême
droite », et d’autant plus après « le message de fermeté »
envoyé par le gouvernement à ces « groupuscules »
suite « au décès de Clément Méric ». Vous avez dit
raccourcis et amalgames ?
On pourrait d’abord se demander si Urvoas, président de la commission des lois, n’a pas franchement
mieux à faire de son temps. On pourrait aussi lui rétorquer qu’il s’agit peut-être pour ce soldat d’un symbole
religieux. Avec un peu moins de mauvaise foi (car
il faut reconnaitre que la croix en question ressemble
plus à celle qu’on voit sur des drapeaux que dans les
cimetières celtes), on pourrait aussi se dire que ce n’est
pas totalement étonnant – et pas non plus inquiétant !
– que l’on trouve d’ardents patriotes dans la Légion !Si
Jean-Jacques Urvoas veut s’inquiéter à propos de notre
armée, qu’il s’intéresse donc plutôt aux récentes déclarations
du colonel Rolez de la DPSD (renseignement
militaire). Lors des 5e rencontres parlementaires de la
sécurité nationale, ce dernier s’est inquiété publiquement
de la radicalisation de nombreux musulmans au
sein de l’armée française, dont certains se trouveraient
même dans la proximité de cellules terroristes ! Mais
ceux-là n’ont sans doute pas de croissants tatoués sur
le côté."
Les veilleurs seraient-ils devenus le nouveau cauchemar de la gauche ?
Après Libération qui titrait samedi "Au secours, ils reviennent" voilà que Marianne s'inquiète de ce que "les Veilleurs ne s'essoufflent pas"…comme si c'était une surprise !
Pour tenter de contrer l'évolution du mouvement des Veilleurs, Marianne n'hésite pas à suggérer que leurs nouveaux combats (écologiques, économiques etc.) seraient empreints d'un certain anti-flambisme et qu'ils seraient même des suppôts de Marine Le Pen parce qu'ils s'intéresseraient aux "Français de la campagne" !!!
Non mais allô, quoi !
Quel mépris pour les Français : une vraie caricature de parisianisme bobo-gaucho…
A la DILA, ça surfe sur les sites sexy
Dimanche 11 août, la DILA (Direction de l'information légale et administrative – en connaissiez-vous l'existence ?), une administration chargée de la diffusion des textes officiels, sous l'autorité du Premier Ministre, a commis une gaffe dans un tweet : un lien devait conduire à "l'arrêté du 7/8/13 portant application des art. L. 562-2 du code monétaire et financier", menait en fait vers un autre site… vendant des robes sexy, "Des tenues de soirées sexy pour faire de vous la star de la nuit", le tout agrémenté de mannequins peu vêtues pour illustrer les modèles.
On ne s'ennuie pas dans l'administration. Avec nos impôts.
Manuel Valls vs Christiane Taubira
Manuel Valls a envoyé une note, jeudi 25 juillet, au président de la République, pour torpiller la réforme de la procédure pénale portée par Christiane Taubira. Il n'en a rien dit à sa collègue, qui a découvert le courrier pendant la polémique autour des condamnés de Dreux laissés en liberté. Valls a écrit :
"J'attire votre attention sur les désaccords mis en lumière par le travail interministériel qui s'est engagé récemment autour du projet de réforme pénale présenté par le ministère de la justice".
S'il juge nécessaire "d'engager très rapidement des réformes organisationnelles indispensables à la crédibilité de notre politique de lutte contre la récidive", le ministre explique que
"la quasi-totalité des dispositions de ce texte a fait l'objet de discussions, voire d'oppositions du ministère de l'intérieur".
"Je souhaite à ce stade que nous définissions collectivement les principes directeurs de cette réforme."
Manuel Valls a reçu le projet de loi le 12 juillet. Quatre réunions interministérielles entre le 19 et le 25 ont abouti à une impasse.
Le projet de loi devait être présenté début juillet en conseil des ministres et a été repoussé sine die. Jean-Marc Ayrault et François Hollande ne savent pas comment en sortir.
Christiane Taubira fulmine :
"Je ne peux que m'étonner qu'un tel document ne m'ait pas été communiqué, d'autant qu'il comporte des propositions de réforme du droit de la peine, domaine qui ne ressort d'aucune façon aux compétences du ministre de l'intérieur."
Elle en est "d'autant plus surprise" qu'elle a téléphoné à Manuel Valls le 29 juillet et qu'il ne lui en a pas parlé, et qu'elle l'a rencontré deux jours plus tard, le 31, au comité interministériel de la coopération international et du développement.
Un monastère attaqué en Turquie
Lu sur l'Observatoire de la christianophobie :
"Le monastère assyro-chaldéen Saint-Abraham est situé
ans la ville de Midyat au sud-est de la Turquie. Dimanche 11 août
dernier, en fin d’après-midi un groupe de “touristes” musulmans – tous
les hommes : les femmes et les enfants étant restés dans les voitures
qui, curieusement, ne portaient pas de plaques d’immatriculation
turques… – se présente pour le visiter. Le personnel du monastère
exprime ses regrets mais l’heure des visites est passée. Les musulmans
prennent très mal les choses et commencent à insulter et à menacer les
chrétiens. Selon un témoin qui a parlé sous couvert d’anonymat pour
d’évidentes raisons de sécurité, les musulmans ont déclaré : « Nous
sommes du PKK [le parti indépendantiste kurde] et cette
terre nous appartient : obéissez-nous ou vous aurez à le regretter ! ».
Il s’ensuivit une bagarre générale puis l’arrivée de la police,
prévenue par le monastère, qui “gaza” non pas les assaillants mais… les
agressés ! Aucun agresseur ne fut ne serait-ce qu’interpellé par la
police. C’est la deuxième fois que le monastère est attaqué par des
Kurdes. […]"
La Californie s’enfonce dans le gender
Le gouverneur de Californie, Jerry Brown, a signé hier une loi modifiant le code de l'éducation des établissements scolaires de Californie pour… assurer le respect de l'identité sexuelle des élèves transgenres.
Ces derniers pourront utiliser les toilettes de leur choix (sic).
Encore une église menacée de destruction
L'église de Sainte-Gemmes-d'Andigné (Maine-et-Loire)
résiste à une vague de démolitions lancées par des maires – cinq ont déjà
détruites à travers la France depuis le début de l'année.
Benoît Patier, 51
ans, président de l'Association de sauvegarde de l'église
Sainte-Gemmes-d'Andigné, explique que "toute la nef devrait disparaître".
Le maire, Jean-Claude Taulnay, veut détruire cette nef bâtie il y a 148 ans en tuffeau, pierre de
taille tendre de la région, et la remplacer par un bâtiment circulaire
en béton coiffé d'un toit en zinc. Avec cet argument ressassé maintes fois : détruire et reconstruire coûte moins cher que restaurer. Ce qui est souvent faux.
"Restaurer l'église
coûterait entre 1,2 et 1,5 million d'euros". "Le projet du maire coûte 2,7
millions d'euros: garder l'église coûterait deux fois moins cher".
Conscient de la qualité de l'église,
l'Etat a réagi: une instance de classement a été entamée, gelant toute
démolition pendant un an.