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Le Printemps Français n’échangera pas le mariage pour une union civile

Communiqué du Printemps français :

"La tentative d'offrir au gouvernement une porte de sortie à la crise
qu'il a lui même provoqué en proposant une union civile à la place du
mariage unisexe est une idée funeste.

La création par le législateur d'un nouveau régime conjugal lui laissera
les mains libres pour y adjoindre tous les avantages du mariage et du
Pacs à la fois. L'histoire du Pacs est l'illustration flagrante
. Non
seulement il n'a en rien constitué un obstacle au mariage unisexe, mais
il a été aligné en tout point ou presque sur le mariage, tout en
conservant son caractère précaire et arbitraire. Il en sera de même pour
l'union civile, comme pour toute mesure d'inspiration ultra-libérale,
portant en elle la marque d'une société qui ne reconnait aucune autre
loi que ses désirs et son propre ego
.
Le Printemps Français dénonce toutes les formes de récupération du
gigantesque mouvement de protestation qui s'est levé depuis six mois.
Il s'opposera aux tentatives minoritaires d'orienter la lutte contre
la loi Taubira vers une capitulation masquée.
Pour le Printemps Français, "on ne lâche rien" n'est pas un simple
slogan. C'est un programme d'action, jusqu'au retrait de la loi !"

Que les maires ne démissionnent pas

Lu sur La Table Ronde :

"[…] Une vraie et authentique dissidence, c’est le refus de collaborer contre la loi naturelle dans le cadre de ses responsabilités, durablement.
Les exemples du siècle dernier ne manquent pas. Gardons-nous d’en
arriver trop vite aux extrémités : si conflit il y a (comptons sur
certains lobbies pour en provoquer), les procédures de sanctions seront
longues et compliquées. De plus, le maire a justement la particularité
d’être investi d’un double statut : officier d’état-civil, certes, mais
aussi élu du peuple. S’il ne dispose pas de l’immunité accordée aux
parlementaires, il reste quand même moins soumis aux pressions
gouvernementales qu’un simple fonctionnaire. La démission est certes
envisageable, mais uniquement en dernier recours. […]

Il semble au contraire que cette fronde est absolument nécessaire et féconde, au moins pour quatre raisons :

  1. Chaque procès, chaque conflit, chaque refus d’un maire de parodier un mariage offre l’opportunité d’une contre-attaque.
    Sans doute le débat ne reprendra-t-il pas toujours une ampleur
    nationale, mais peut permettre de discuter avec un proche, un collègue,
    le personnel de la mairie, des gens peu concernés auparavant. Peut-être
    ne seront-ils pas acquis à la cause. Mais au moins, ils n’oublieront pas
    qu’il y a une cause.
  2. Ne pas s’habituer au mal s’il est légalisé. C’est une chose
    de tolérer un mal en connaissant et en dénonçant sa malice, c’en est une
    autre (beaucoup plus grave) que de présenter une vérité abâtardie comme
    un progrès dans le vrai (par action ou par omission). Ces escarmouches
    montrent qu’il n’y a pas de résignation possible, et empêchent de banaliser une injustice grave.
  3. Il s’agit d’un témoignage. Peut-être d’autres maires sont
    opposés à la falsification du mariage (ou bien sont hésitants), mais se
    sentent seuls et vulnérables. Ils doivent être raffermis  par le courage
    de leurs pairs et le soutien du peuple. Du côté des militants, il
    s’agit d’actions concrètes à mener pour poursuivre leur engagement sur
    le long terme.
  4. Enfin, c’est une manière de maintenir la pression sur le
    gouvernement (qui n’a pas que les maires sur le dos) ainsi que sur les
    partis d’opposition : comment souhaiter que la droite abroge une loi si
    on s’en désintéresse pendant des années ? Ce n’est déjà pas gagné
    d’avance… De deux choses l’une : soit « on ne lâche rien » reste
    au stade de slogan de manif, soit l’apostrophe se concrétise par une
    résistance forte, sur tous les fronts, sans céder le terrain aussi
    facilement. […]

Réforme de la Curie : il est totalement prématuré d’avancer quelque hypothèse

Le 13 avril a été annoncée la
constitution d'un groupe de huit Cardinaux chargés de conseiller le
Pape et de travailler à un projet de réforme de la constitution
apostolique Pastor Bonus réglant le fonctionnement de la Curie
Romaine. Hier sur L'Osservatore Romano, Mgr.Angelo Becciu, Substitut
de la Secrétairerie d'Etat, a tenu à préciser ce qui suit:

On
a beaucoup entendu de chose à propos d'une réforme de la Curie, de
rééquilibrage de pouvoirs, de coordinateurs et d'un super ministère
de l'économie.

BC'est
effectivement quelque peu étrange. Le Pape n’a pas encore
rencontré ses conseillers que déjà les conseils pleuvent
. Après
avoir parlé avec le Saint-Père, je peux dire qu'il est totalement
prématuré d’avancer quelque hypothèse que ce soit sur la future
organisation de la Curie. Si le Pape François est à l'écoute de
tout le monde, il voudrait avant tout entendre ceux qu’il a choisis
comme conseillers. Ensuite sera mis sur pied un projet de réforme de
la Pastor bonus, qui bien sûr devra suivre toute une procédure.

Il
a aussi beaucoup été question du IOR, l’Institut pour les œuvres
de religion, certains allant même jusqu’à prévoir sa
suppression.
Le
Pape a été très surpris de se voir attribuer des phrases qu’il
n’a jamais prononcées et qui ne sont pas en accord avec sa pensée
.
L’unique évocation à ce sujet fut lors d’une homélie
improvisée, dans laquelle il a rappelé avec passion que l’essence
de l’Eglise consiste en une histoire d’amour entre Dieu et les
hommes, et que les diverses structures humaines, au nombre desquelles
le IOR, sont moins importantes. La référence a été faite sur le
ton de la plaisanterie, motivé par la présence à la messe de
quelques employés de l’institut, dans le contexte d’une
invitation sérieuse à ne jamais perdre de vue le caractère
essentiel de l’Eglise.

Peut-on
penser qu’une réorganisation structurelle des dicastères n’est
pas imminente?
Je
ne peux pas prévoir les délais. Le Pape a toutefois demandé à
tous les responsables de la Curie de poursuivre leur service, mais
sans vouloir procéder, pour le moment, à aucune confirmation des
charges. Ceci vaut plus largement pour les membres des congrégations
et des conseils pontificaux. Les confirmations ou les nominations,
qui ont lieu à l’échéance des mandats quinquennaux, sont pour le
moment suspendues jusqu’à nouvel ordre (donec aliter provideatur).

Cela indique la volonté du Saint-Père de prendre le temps
nécessaire, de prière et de réflexion, pour se former une idée
approfondie de la situation.

A
propos des Cardinaux conseillers, certains sont arrivés à soutenir
qu’un tel choix peut mettre en discussion le primat du Pape?
Ce
groupe est un organe consultatif, non décisionnel, et je ne vois
vraiment pas comment le choix du Saint-Père pourrait mettre en
discussion son primat
. En revanche, il s’agit effectivement d’une
décision de grande importance, qui veut donner un signal précis
quant aux modalités selon lesquelles le Saint-Père voudra exercer
son ministère. En effet, nous ne devons pas oublier que la première
tâche assignée au groupe des huit Cardinaux est d'assister le
Souverain Pontife dans le gouvernement de l’Eglise universelle. Je
ne voudrais pas que la curiosité pour l’organisation et les
structures de la Curie Romaine fasse passer au second plan le sens
profond du geste accompli par le Pape François.

Mais
le mot de conseiller n’est-il pas trop vague?
Au
contraire, conseiller est une action importante, qui dans l’Eglise
est définie théologiquement et trouve son expression à de nombreux
niveaux. Que l’on pense aux organismes de participation dans les
diocèses et dans les paroisses, ou aux conseils des supérieurs,
provinciaux et généraux, dans les instituts de vie consacrée. La
fonction de conseiller doit être interprétée dans un sens
théologique. Dans l'optique du monde nous devrions dire qu’un
conseil sans pouvoir délibératif est sans importance, mais cela
signifierait rendre l’Eglise équivalente à une entreprise. En
revanche, théologiquement, le fait de conseiller possède une
fonction d’une importance absolue, celle d'aider le supérieur dans
l'œuvre de discernement, c’est à dire à comprendre ce que
l’Esprit demande à l’Eglise à un moment précis de l'histoire.
Sans cette référence, on ne comprendrait rien non plus à la
signification authentique de l’action de gouvernement de l’Eglise."

Benoît XVI au Vatican

Lu sur le VIS :

"Cet après-midi, le Pape François
accueillera Benoît XVI de retour au Vatican après deux mois de
résidence à Castelgandolfo. Peu avant 17 h le Pape émérite
arrivera en hélicoptère et gagnera l'ancien monastère Mater
Ecclesiae des jardins vaticans, où il habitera désormais
avec
Mgr.Georg Gänswein, devenu Préfet de la Maison pontificale, et les
Memores Domini restées à son service. L'édifice, construit il y a
une vingtaine d'années par Jean-Paul II a abrité des cloîtrées,
successivement clarisses, carmélites, bénédictines et
visitandines. Ces derniers mois, après leur rencontre à
Castelgandolfo le 23 mars, le Pape François a plusieurs fois parlé
téléphoniquement à Benoît XVI, en particulier pour sa fête et
son anniversaire les 19 mars et 16 avril."

Jean-Marc Ayrault renonce à se rendre à Soustons

Lu ici :

"Annoncé dimanche aux côtés de plusieurs ministres à un meeting du
Mouvement des jeunes socialistes (MJS) à Soustons (Landes), M. Ayrault
ne fera finalement pas le déplacement "pour des raisons d'agenda", selon
son entourage."

Des raisons d'agenda… ou pas.

Attitude face au FN : fracture à l’UMP

A un an des élections municipales, la stratégie à adopter divise l'UMP, alors même que la base est favorable à des accords locaux FN-UMP. Lu dans Le Monde :

"François Fillon se démarque un peu plus de Nicolas Sarkozy. L'ancien premier ministre souligne qu'il existe une " différence d'approche irréconciliable " entre lui et l'ancien président sur la stratégie à adopter face au FN.

"Nicolas Sarkozy pense que le Front national est à combattre parce qu'il
affaiblit la droite. Moi, je pense que le Front national est à
combattre parce qu'il est hors des limites du pacte républicain
",
 déclare M. Fillon dans le documentaire Nicolas Sarkozy, secrets d'une présidence, qui sera diffusé le 8 mai sur France 3 et dont Le Canard enchaîné publie des extraits dans son édition du 30 avril. […]

Le député de Paris fait fausse route, rétorque le sarkozyste Guillaume Peltier. "
La seule solution pour faire baisser le FN n'est pas de porter un
jugement moral, mais d'apporter des réponses fortes et courageuses aux
électeurs tentés par ce parti
", 
fait valoir le vice-président de l'UMP et chef de file de la Droite forte. […]

“Mariage pour tous” : demande de divorce

Lettre ouverte au président :

"Il y a cinquante trois ans et demi, lorsque mon épouse et moi-même
nous sommes mariés, nous avons souscrit aux termes d’un contrat
parfaitement clair
, qui ne laissait place à aucune ambiguïté, et qui
était prévu pour durer jusqu’à la fin de nos jours. Aussi, aujourd’hui –
six enfants, dix-neuf petits enfants et quatre arrière petits enfants
plus tard – sommes-nous surpris d’apprendre que, sans nous consulter,
les termes du contrat ont été complètement modifiés, et ses objectifs
totalement dénaturés
. Nous avons donc décidé, mon épouse et moi-même,
d’un commun accord, d’entamer une procédure de divorce, le mariage civil
ayant perdu pour nous toute signification. Notre mariage religieux, qui
conserve, lui, tout son sens pour l’éternité, suffira à assurer notre
bonheur et celui de notre famille.

En tant qu’ancien membre de l’enseignement public, professeur de
philosophie, puis pendant trente ans chef d’établissement, commandeur
des Palmes Académiques, je suis personnellement très attaché aux
principes de la laïcité – la vraie -, et je déplore que par votre projet
du « mariage pour tous » un coup fatal soit porté à l’une des
institutions les plus représentatives de notre code civil, laïque et
républicain
. Le mariage civil perdant, par cette tromperie, beaucoup de
sa valeur, c’est le mariage religieux qui sera revalorisé aux yeux de
nombreux citoyens. Sans doute est-ce d’ailleurs pour cette raison que
vos partisans se sont opposés à la suppression de l’obligation du
mariage civil avant tout mariage religieux : laisser le choix serait
peut-être trop dangereux !

On peut comprendre, Monsieur le Président, que vos échecs personnels
en ce domaine vous conduisent à attacher peu d’importance et de
considération au mariage. Mais en arriver à modifier le code civil
contre l’avis d’une majorité des citoyens et à imposer au pays, comme
première dame de France, une concubine ou une maîtresse – on ne sait pas
trop quel terme choisir – n’est pas, pour moi, le fait d’un Président
normal.

N’espérant pas vous avoir convaincu, mais la conscience libérée d’un
grand poids, le respect n’interdisant pas, mais supposant au contraire
la franchise, j’ai l’honneur de vous prier, Monsieur le Président de la
République, de bien vouloir agréer l’expression de mon plus profond
respect."

“Moi, président de la République, je ne tiendrai pas mes promesses”

Lu ici :

"Une association veut "inviter" le président de la République à venir déposer lors du procès du sénateur René Teulade, l'ex-député suppléant en Corrèze de François Hollande condamné en 2011 pour avoir bénéficié d'avantages indus au détriment de la Mutuelle retraite de la fonction publique (MRFP).
Si l'article 67 de la Constitution empêche le président de la République d'être cité ou convoqué au cours d'un procès, le CIDS, partie civile dans le procès Teulade, veut contourner la loi en invitant simplement le chef de l'État à déposer. L'association, via son avocat Me Stéphane Bonifassi, s'appuie sur les déclarations tonitruantes de François Hollande, le 2 mai 2012, lors d'un débat télévisé avec Nicolas Sarkozy. Le candidat s'était alors engagé à répondre aux convocations de la justice : "Moi, président de la République, j'aurai aussi à coeur de ne pas avoir un statut pénal du chef de l'État ; je le ferai réformer, de façon à ce que si des actes antérieurs à ma prise de fonction venaient à être contestés, je puisse, dans certaines conditions, me rendre à la convocation de tel ou tel magistrat ou m'expliquer devant un certain nombre d'instances."

À part nous traiter d’homophobes, ils n’ont aucun argument à opposer

Lu ici :

"Des bougies, une citation de Gandhi sur un drap blanc posé sur le sol. Il est 21 h 55 ce mardi soir. Des dizaines de « veilleurs », jeunes pour la plupart, affluent devant la mairie de Brest. […]

22 h. Les 80 veilleurs
présents ne sont pas les seuls à avoir répondu à l'invitation lancée
sur les réseaux sociaux. Une dizaine de jeunes viennent au contact, sur
les marches de l'hôtel de ville. Parmi eux, quelques doigts tendus et
une sono qui crache une musique crypto-punk de tous les diables
.
Fébrile, l'organisateur de la veillée prend le micro et lance ses
consignes à ses troupes : « On ne doit en aucun cas répondre aux
provocations. On prend sur soi, même si c'est dur
». Il faut dire que,
la semaine précédente, lors de la première veillée, la centaine de veilleurs
présents avait essuyé crachats, injures et jets d'objets divers. Cette
fois-ci, la manifestation est encadrée par une petite dizaine de
policiers, qui s'interposent rapidement. L'organisateur reprend son
discours, quasi inaudible. « L'heure est grave (…) Nous sommes face à
un choix de civilisation (…)
». Une quarantaine de bruyants opposants
surgit et déploie une banderole « Homophobes ». Les veilleurs-résistants entonnent le Chant des partisans. Sous les huées.

22 h 16. Chant scout : « Le front penché sur la terre, j'allais seul et
soucieux, quand résonna la voix claire, d'un petit oiseau joyeux (…)
». En face : « Fuck you very very much » (de Lily Allen), suivi de
déclamations plus personnelles : « Vive la fellation », « Dieu n'existe
pas », « Jésus aussi avait deux papas », « Fachos, cathos foutez la paix
aux homos »… La foule de veilleurs
assis reste impassible et enchaîne silences, chants et méditation. Une
jeune femme, majeurs tendus, riposte avec une bruyante simulation
d'orgasme. […]

23 h : fin de ce face-à-face stérile. Sur les
marches de la mairie, Lorraine, 26 ans, consternée, confie son désarroi :
« Cette vulgarité est affligeante. À part nous traiter d'homophobes, ce
que nous ne sommes pas, ils n'ont aucun argument à opposer ». […]"

1er mai : LMPT à l’Arc de Triomphe

La police à mis 20 secondes pour arriver… tout en restant très
courtoise, elle a indiqué que "les drapeaux étaient interdits" ; à la remarque pour savoir s'il cela s'appliquait aussi aux drapeaux
français, même autour de la tombe du soldat inconnu, elle a répondu
que "oui"… Les drapeaux portés lors des prises d'armes quasi
quotidiennes sur place sont donc illégales ?

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“Mariage pour tous” = divorce avec le peuple

Quelques maires ont constitué un groupe qui entend apporter de l'aide à leurs confrères opposés à la loi Taubira. Ils travaillent avec des juristes. Voici leur site qui présente des moyens d'action et de la documentation. La partie argumentaire est certainement la partie la plus intéressante.

Christiane Taubira annule son déplacement à Quimper

Christiane
Taubira, ministre de la Justice, devait se rendre à Quimper, vendredi.
La venue de la garde des Sceaux est finalement annulée.

Elle redoute le comité d'accueil ?

Enfants des Terreaux : Opération “Hollande m’a tuer”

Ce
matin ont été posés dans divers endroits de Lyon des mannequins
représentant la famille assassinée par Hollande et son gouvernement.
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Les berbères avec nous

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Dans l’UE, il vaut mieux être hors zone euro

Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

"Le chômage a enregistré en mars un
nouveau record absolu dans la zone euro, touchant 19,2 millions de
personnes, soit 12,1% de la population active, selon les chiffres
communiqués par l’institut européen de statistiques Eurostat.

C’est le 23e mois consécutif de hausse du chômage dans la zone euro.

L’ironie de l’histoire est que le
chômage reste moins élevé dans l’ensemble de l’UE (10,9%), donc
nettement moins élevé dans les pays qui n’ont pas l’euro (et qui sont
pour la plupart des pays de l’Est…)
."

Opération cotons tiges devant le conseil constitutionnel

Mardi soir, devant le conseil constitutionnel, une quinzaine de personnes sont
venues déposer des cotons tiges, de façon bon enfant, afin de permettre à
nos gouvernants d'entendre les français qui s'expriment contre la loi
Taubira et ses conséquences, depuis maintenant 6 mois. Il n'a fallu attendre qu'une toute petite dizaine de minutes avant de voir arriver 7 camionnettes de CRS (pour 15 personnes), sirène hurlante.

C

La Manif pour Tous oui, l’union civile non. On ne lâche rien

La Manif pour tous, on l'aime quand elle pastiche Mélenchon :

P
On aime beaucoup moins quand Frigide milite pour l'union civile. Frigide Barjot tiendra une conférence de presse jeudi matin pour l'union civile. Point intéressant : cette conférence de presse n'est pas faite au nom de la Manif pour Tous (les autres porte-paroles doivent désapprouver cette prise de position). Frigide Barjot se présente là comme marraine d'Homovox.com et du Collectif Pour l'Humanité durable, en compagnie de Xavier Bongibault (Plus gay sans mariage).

Les Hommen au Mans

C'était le 30 avril :

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Licencié pour avoir déclaré que les actes homosexuels constituent un “péché”

Après avoir détruit la famille, le lobby LGBT veut nous priver de notre liberté de penser. L'histoire se passe en Angleterre. Pour l'instant.

Manuel Gaz fait un exercice d’équilibriste

Lu ici :

"Les CRS, les compagnies de sécurisation de la Préfecture de police et les gendarmes mobiles rassemblent plus de 30.000 hommes, dont 25.000 environ sont mobilisables à l'instant immédiatement. «Pour l'heure, nous tenons le rythme», assure un commandant de CRS. Des congés ont dû être ajournés, mais les indemnités de déplacement, «qui huilent la mécanique», selon lui, sont payées. Ce qui serait «un peu plus difficile du côté de la gendarmerie mobile, en proie à des difficultés budgétaires», confie un député du Sud-Est saisi de cette question.
Élu régional UMP de Seine-Saint-Denis et ancien syndicaliste policier, Bruno Beschizza le dit: «L'argent n'étant pas suffisamment provisionné, si les manifs continuent à ce rythme le système de déplacement de la mobile va connaître une sérieuse panne budgétaire.» Or ces policiers du maintien de l'ordre, syndiqués à plus de 90 %, sont très sourcilleux sur les garanties financières liées à l'exercice de leurs missions souvent ingrates.
Autre sujet délicat pour le ministère de l'Intérieur: les unités affectées aux manifestations sont autant d'effectifs en moins pour concourir aux plans de sécurisation des banlieues. Déserter un peu trop le terrain dans les cités peut avoir un impact négatif direct sur la délinquance du quotidien. Gérer Beauvau est pour Manuel Valls un exercice d'équilibre permanent."

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