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Un évangélisateur à la Nouvelle Orléans disait : « Ne vous faites pas d’illusions. Vos enfants ne sont malheureusement plus catéchisés par les prêtres, les églises ou des livres. Ils sont « catéchisés » par les films, la chanson et le net. En matière d’évangélisation, nous devons nous réveiller à cette réalité ou pouvons rester dans le coma. »
Mais il y a le film catholique Promesse… Dans notre deuxième mini-épisode, Mayeul et Max se réveillent dans un refuge de montagne. A moins que ce ne soit autre chose… En bas dans la crypte, Max entend du bruit. Dans une bibliothèque, Mayeul se réveille d’une insolation. Les deux garçons sont sur leur garde…
Les volontaires de Promesse sont fiers de diffuser ce nouvel épisode sur Salon Beige en exclusivité. Jean-Philippe qui édite à Toulouse, Henri qui poste depuis Senlis et Roger qui mastérise en Louisiane.
Dans la nuit de Noël, ces épisodes sont des lampes sur la montagne. Ils sont optimistes, ils transportent la beauté de la foi et ils sont ludiques en même temps. Nous voulons que leur lumière éclaire les âmes parce qu’elle réjouit et donc sera regardée (c’est du mini-film).
Tous les volontaires et bienfaiteurs de Promesse sont des héros qui vivent debout. Ils progressent à la surprise des professionnels. Ils font de grands efforts. Nous pouvons tous prendre part à cette production qui va toucher les cœurs des jeunes … Et en plus, nous nous amusons parce que nous apprenons à faire du film. Un jour, nous monterons des marches ensemble…
De la sorte, vous pourriez être parrains de l’épisode suivant ici et votre nom y serait associé ici : https://www.promessefilm.com/
Celui-là nous amènera en Louisiane où tout a commencé…
Joyeux Noël !
Daniel Rabourdin, le réalisateur
LouisBansergmann
Merci pour votre soutien à ce genre d’efforts.
J’ai eu l’occasion d’échanger avec Daniel R. alors que le film n’était encore qu’au stade de projet.
Cependant, je tiens à faire remarquer que ce film est sans doute approprié pour des américains, mais apparaît comme très décalé pour des français.
L’espèce de monastère ressemble plus à une secte qu’à autre chose en comparaison avec nos monastères français ; les scouts sont mal habillés et leur uniforme semble surtout se réduire à un foulard mal roulé ; et puis cela peut paraître idiot mais je trouve que les “scouts” – ou peut être simplement des acteurs qui n’ont jamais connu le scoutisme – n’ont pas ce rayonnement du visage qu’ont nos scouts. On dirait plutôt une bande d’ados en colo.
Le tout apparaît à des lieues du scoutisme de Baden Powell et du Père Sevin, et ce d’autant plus en France qui est un des fleurons du scoutisme et où l’on voit bien que seul le scoutisme traditionnel forge véritablement une jeunesse ancrée dans les plus hautes valeurs.
Ceci n’a pas pour but de saper un projet si audacieux, mais seulement de faire remarquer que le film semble très peu adapté à une frange française du public.