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Démographie

«Ce n’est donc pas faute de désir d’enfant que les naissances baissent !»

«Ce n’est donc pas faute de désir d’enfant que les naissances baissent !»
Selon le dernier bilan de l’Insee, 663 000 bébés sont nés l’an dernier, soit 2,2 % de moins qu’en 2023. L’indicateur conjoncturel de fécondité recule, lui, à 1,62 enfant par femme. Il n’a jamais été aussi bas depuis la fin de la Première Guerre mondiale.

Le «réarmement démographique» de Macron ressemble à une déroute.

En parallèle, la mortalité est en hausse, car la France devient un pays de vieux qui meurent, c’est-à-dire l’arrivée des générations du baby-boom à des âges de forte mortalité.

Toutefois, en 2024, le nombre de mariages, estimé à 247.000 – dont 7000 simulacres entre personnes de même sexe – augmente légèrement (+2 %). La tendance était plutôt à la baisse.

L’UNAF déclare :

«Les bébés ne tombent pas du ciel !»

L’association invite

«les pouvoirs publics à s’emparer de cette question sous l’angle du coût de l’enfant et des difficultés de conciliation rencontrées par les jeunes parents». «Les personnes en couple et en âge de procréer (18-44 ans) déclaraient en 2023 souhaiter dans l’idéal 2,27 enfants. Ce n’est donc pas faute de désir d’enfant que les naissances baissent ! Bien sûr, de meilleures conditions d’emploi, un meilleur accès au logement et une inflation maîtrisée sont des conditions déterminantes. Mais comme le prouve la remontée durable de la fécondité à la suite des mesures favorables décidées dans les années 1990, relancer une politique familiale à part entière est indispensable».

Le prochain recensement démarre jeudi 16 janvier. Neuf millions de Français y seront soumis. Trois nouvelles questions seront posées, dont une concerne le lieu de naissance des parents. Les gauchistes s’étranglent. La Ligue des droits de l’homme dévoile la crainte :

Aujourd’hui, c’est l’extrême droite qui veut faire lire la réalité du pays au travers d’une identité liée à une origine géographique. Non pas pour lutter contre les discriminations, mais pour faire croire à un « grand remplacement » avec des territoires qui « sortiraient de la République » du fait de telles origines. On a là le seul usage certain des comptages que la question permettra.

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3 commentaires

  1. En tant qu’autochtone j’aimerais qu’on me mette dans la catégorie “hors de la république”.

  2. 1- On sait pourquoi ça baisse, cf. par exemple, l’association “Où est mon cycle ?”
    2- …..Et pourtant, les Georgia Guidestones ont bien explosé ! (ironique)

  3. Si on n’a que le gigolo pour réarmer les naissances on a du souci à se faire. Par contre ce même gigolo préfère donner des milliards à l’Ukraine pour faire tuer des jeunes que de les donner pour avoir des enfants. Sans oublier l’avortement que ce tordu a pris comme cheval de bataille et il est tellement bête qu’il s’étonne qu’il n’y ait pas de naissance. Il sait que l’avortement c’est le plus grand génocide de tous les temps, il s’en fout comme de sa première chemise.

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