Lu dans Le Monde :
"Depuis plus de quarante ans, les vieilles pierres et les photographies font bon ménage à Arles. C'est même devenu l'atout de charme des Rencontres d'Arles : chaque été, une dizaine d'édifices désaffectés – église, couvent, cloître – servent de lieux d'exposition au festival."
C.B.
“(…) Avant la révolution, il y avait huit paroisses et trente couvents, ce qui faisait plus d’une quarantaine d’églises. Pour seulement 15 000 habitants !”
Financées sans subvention à l’époque.
Mavel
Me rendant régulièrement dans cette ville, je confirme ce fait. Arles est magnifique, l’une des plus belles cités que je connaisse. Un peu paradoxalement, elle propose une offre culturelle très dense pour une ville de 50 000 habitants tout en se montrant fort marquée par la pauvreté. Je pense que le brassage de population ne favorise pas une pratique religieuse régulière au sein des paroisses. C’est aussi l’une des dernières municipalités communistes de France. Tout ceci, à mon sens, contribue à expliquer la constatation.