Un article de l'Observatoire de l'islamisation, qui montre que l'imam de la mosquée de Joué-lès-Tour interdit aux musulmans de France de fêter d'autres fêtes que celles precrites par le coran :
"La ville de Joué-Lès-Tours, 36 000 habitants en Indre-et-Loire (37) dans la région Centre, située juste au sud de la ville de Tours, accueille une forte communauté Musulmane. L'imâm de la mosquée, Mohamed François, est un Français converti à l’Islam en 1989. Il s’inscrit en 1992 à l’IESH de Château-Chinon, une école coranique de l’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF), où il apprend l’arabe et la charia avec le cheikh algérien Abdelhamid Bouzouina, jadis emprisonné en Algérie et interdit de territoire français. L’UOIF possède une soixante d’associations directement affiliées et plus de cent cinquante associations gérant les lieux de culte en France et est proche idéologiquement des Frères Musulmans, mouvement islamiste international visant à la mise en place d’un Califat Mondial, l’instauration d’un pouvoir Politique Islamiste Totalitaire, la Charia. Mohamed François est donc un pur produit issu des écoles d’endoctrinement de l’UOIF". […]
Mohamed François, imam de la Grande Mosquée de Joué-Lès-Tours
Que diffuse l’imam Mohamed François à ses fidèles Musulmans ? Un Islam de Fraternité, de Tolérance et d’Amour ?
L’imam de la Mosquée de Joué-Lès-Tours Mohamed François demande aux Musulmans de ne pas participer aux fêtes autres que les fêtes musulmanes. Il ne s’agit plus d’écrire ensemble une Histoire commune, avec des Valeurs communes, afin de s’intégrer dans le creuset français, mais de se séparer de la communauté nationale, de rejeter les valeurs de l’Autre, le Mécréant. Mohamed François provoque une dislocation de l’Identité Nationale, car le Musulman doit obéir à ce qui est « légiféré en Islam », des Lois différentes de celles de la République qui interdisent de participer aux fêtes autres que musulmanes, et de se mélanger à « un autre peuple ».
Il y a donc le « peuple » français, et le « peuple » musulman, qui ne suivent pas les mêmes règles législatives, ne partagent pas les mêmes cultures et moeurs, pas la même identité." […]