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Depuis les années 1970, tout a été fait pour favoriser le divorce

Triste témoignage d'un père divorcé âgé de 52 ans et désormais contraint de vivre dans un studio de 16m2 :

"On parle beaucoup de ces locataires expulsés de leur logement car ils n’ont pas payé leurs loyers, mais on ne parle jamais de ces pères expulsés de chez eux et priés de trouver un nouveau logement (…)

Après avoir écumé les agences immobilières, j’ai finalement trouvé un studio de 16m2 pour 650 euros par mois. C’est un logement qui s’apparente à la chambre de bonne dans laquelle je vivais quand j’avais la vingtaine et que j’étais étudiant. Aujourd’hui, j’ai 52 ans et je travaille. C’est dur de revenir en arrière à mon âge (…)

Je suis dans l’incapacité d’emmener mes enfants en vacances car les frais seraient trop importants. À leurs yeux, j’ai l’impression d’être un criminel car c’est moi qui ai été condamné à partir de l’appartement et à payer une pension alimentaire. C’est comme si on m’avait licencié de mon rôle de père (…)

J’estime que la collectivité est d’une certaine manière responsable de ma situation, et de celle d’autres parents. Depuis les années 1970, tout a été fait pour favoriser le divorce. À tel point qu’aujourd’hui, il est bien trop facile de divorcer."

Lire cette article qui montre que le "coût" des enfants est plus élevé pour le parent qui n’en a pas la garde.

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21 commentaires

  1. vous ne pouvez pas emmener vos enfants en vacances? alors partez camper avec eux dans un beau massif, ils seront ravis!

  2. On ne le dit pas souvent, mais c’est une évidence, et qui m’a été confirmée par un professionnel de l’immobilier: le grand nombre de divorces participe à la raréfaction des logements disponibles. Une famille occupe un logement; après le divorce la même famille en occupe deux.

  3. Bon témoignage
    Il faut dénoncer cet êtat de fait
    Toujours et partout .
    Noys avons connu l’affiche
    “Chouette les parents divorce ”
    Il faudrait avoir l’habitude
    De placarder sur nos voitures
    Des slogans opposés…

  4. Effectivement. Je me souviens d’une personne jeune architecte me disant que l’on leur apprenait comme faire des lotissements afin que les gens au bout de quelques années divorces. C’était très important pour l’économie. Et comment ce faisait il. Des maisons construites avec une insonorisation peu importante , vos voisins entendait vos disputes , des maisons très chères obligeants les couples à travailler à deux. Et là se mettaient en place les co voiturages , pendant le trajet on racontait les misères. et puis le mari de l’une savait planter un clou l’autre pas. Et puis les maisons en carton, très petites bien sur. Ou l’on doit passer la tondeuse par l’intérieur de la maison pour aller du devant à l’arrière. Cela entretenait des conflits de famille et de voisinage. Mais aussi la jalousie, l’envie c’est a qui aurait la maison ressemblant le plus à un catalogue. Rancoeurs si l’argent n’était pas là pour le faire. Etc…. C’est ce qu’on leur avait avait appris et bien d’autre choses pour favoriser dans ces lotissements nouveaux les divorces.

  5. oh lala: un peu de compassion s’il vous plaît.
    La situation de ce père de famille j’en connais d’identiques et je partage tout à fait l’analyse de son monsieur divorcé et quand vous avez un certain salaire, que vous êtes obligé d’être en région parisienne pour pouvoir continuer à travailler, que vous payez une pension alimentaire, etc. c’est très très dur de joindre les deux bouts.
    Et quand vous dites partir dans un beau massif, c’est d’abord y aller (prix du train, voiture etc.) et ensuite peut être aussi un minimum de matériel pour camper…
    Dans tous les cas ce sont encore les plus faibles qui se retrouvent victimes des lois qui ont été mises en place pour favoriser l’individualisme et qui a voulu faire d’un contrat de vie (le mariage) un contrat “d’amour”, quand cela ne va plus tout à fait aussi bien qu’avant, le divorce…

  6. le signal d’alarme lancé au travers de ce triste témoignage appelle toute notre attention, car les aberrations odieuses qu’il révèle concernant l’état actuel de notre droit et de la pratique judiciaire est à la fois honteuse et de portée très large.
    Il y a notamment deux aberrations:
    -le fait que le divorce est en pratique de droit sans aucune condition à remplir. Il n’est nul besoin d’invoquer la moindre faute du conjoint ou de la conjointe, et pas non plus le moindre accord de sa part. Autrement dit, le contrat de mariage n’engage en rien les contractants. On ne trouve l’équivalent dans aucune autre sorte de contrat, car c’est la négation de la notion même de contrat. Les législateurs ont décidé cela en catimini dans la dernière réforme du divorce, au travers d’un subterfuge qui a camouflé cette suppression de fait de l’engagement des contractants.
    -une deuxième aberration est que, comme le souligne bien le témoignage, la décision du juge selon laquelle l’un des deux conjoints devra quitter le domicile conjugal -de fait, il en faudra bien un pour quitter le domicile- apparait en des termes ignominieux pour celui à qui on demande de quitter, ce qui est une pure aberration en même temps qu’absolument odieux, car le choix de celui qui quittera n’a rien à voir avec la question de savoir lequel des deux peut être en tort, si tort il y a.
    La situation actuelle est hallucinante. Merci d’avoir diffusé ce témoignage si illustratif d’une situation qu’il faut donc absolument changer.
    Je suppose que la personne qui a parlé du départ sous la tente a voulu faire de l’humour, mais ce n’est vraiment pas bien placé.

  7. « Le goût à l’effort », ce n’est pas la vertu la plus appréciée par le milieu politico-médiatique depuis des décennies…
    L’amour non plus : Quand vous dites « amour », ils comprennent « sexe » ! Quant à « famille », c’est devenu un gros mot, un mot interdit, même sous forme de dessin sur un vêtement…
    Il va falloir plus que jamais voter autrement mais cela seul ne suffira pas.

  8. à c,
    de la compassion j’en ai pour les enfants et je donne des solutions!
    on ne peut pas rester passif, après un divorce il faut aussi se remettre en cause et trouver les meilleurs solutions pour les enfants!

  9. Le changement arrive ! Plusieurs départements ont annoncé qu’ils n’auront pas la trésorerie nécessaire pour payer la totalité des allocations pour 2016 ! Les régions ne paieront pas des dizaines de milliers de gens au RSA et autres indemnités ce qui augmentera mécaniquement les violences sur les personnes, agressions, vols, hold ups, etc
    http://www.lagazettedescommunes.com/368168/inquietude-des-departements-devant-la-croissance-incontrolee-des-prestations-sociales/
    Ne pas oublier qu’à chaque immigré, il faut donner le RSA et de quoi se loger ! Et que souvent lors d’un divorce, la CAF est obligé d’aider la famille en morceaux !
    Déjà, un homme qui à été privé de RSA, à saccagé la Caisse des Allocations Familiales de Châteauroux…
    Les faits rapportés par le journal: “Le conseil départemental lui avait retiré récemment ses droits au RSA … le quadragénaire est allé chercher dans sa voiture une barre à mine. Précisant «ne pas vouloir s’en prendre au personnel», l’homme a détruit la porte d’entrée, deux téléphones, cinq écrans d’ordinateurs, trois claviers et une borne interactive, a indiqué Luc Della-Valle, président du conseil d’administration de la CAF de l’Indre (quand la police est arrivée) il leur a tendu ses poignets, en précisant qu’on pouvait lui faire ce qu’on voulait, qu’il n’avait plus rien à perdre, et qu’on ne pourrait pas lui prendre ce qu’il n’avait pas “.
    http://www.leparisien.fr/centre/chateauroux-les-locaux-de-la-caf-saccages-par-un-homme-prive-de-rsa-18-06-2015-4873377.php

  10. entièrement d’accord avec vous ohlala, il faut essayer de voir et de faire ce qui est possible.
    A part le transport, le matériel pour camper, on le trouve sur le Bon Coin ou dans des oeuvres caritatives pour 3 fois rien.
    Mais je comprends que ce papa est surtout déprimé par cette situation humiliante …
    Pour trouver des “combines”, encore faut-il avoir le moral …

  11. En fait je pense qu’il faut voir le problème dans un cadre plus large qui est celui d’une guerre civile larvée faite au sexe masculin, depuis le début des années 70 dans les sociétés occidentales.
    Schématiquement avant les années 70 des situations conjugales insupportables pouvaient être rompues en droit civil grâce au divorce pour faute. Mais cette forme de divorce était encadrée. Il existait notamment un vieil adage latin “Nemo propriam turpitudanem allegans”, personne ne pouvait se prévaloir de sa propre faute. Si un Monsieur marié allait fréquenter les prostituées, il ne pouvait pas en tirer argument contre son épouse pour lui infliger le divorce. De même une épouse volage ne pouvait pas évoquer ses frasques pour divorcer de son mari.
    L’instauration des cas de divorce pour rupture de la vie commune, puis par consentement mutuel ont inversés ce principe. Désormais, et c’est le cas le plus fréquent une épouse peut tromper son mari, si elle est mère, une justice largement féminisée ne lui retirera jamais en pratique la garde de ses enfants, ce qui rendra le père redevable de pension alimentaire, sans qu’il puisse continuer à bénéficier d’une vie de famille. En pratique donc, il perdra le contact avec ses enfants, ce qui sera préjudiciable particulièrement aux jeunes garçons, privés de modéle masculin.
    Le domicile conjugal est affecté de même à l’épouse, puisque la garde de l’enfant lui aura été attribuée.
    La loi a par ailleurs verrouillé toutes les possibilités traditionnelles de réaction masculine à ce genre de situation. Qu’un homme se risque à donner à son épouse infidèle ne serait ce que quelques gifles, il est déjà assuré d’une inculpation pour violences conjugales, voire d’une peine de prison.
    La loi en fait ne tient compte que des besoins de vie familiales des femmes, même responsables par leur infidélité de la séparation et des enfants. Les hommes se retrouvent isolés dans la société.
    Celà se remarque également sous un angle: l’aspect sexuel. Je ne suis pas au plan moral un partisan de la prostitution, d’un autre côté comment jeter la pierre à un mari délaissé par son épouse et n’ayant pas déposé de voeux de chasteté pour entrer dans un ordre, où devenir prêtre? C’est pourtant ce que fait la société avec le projet de pénalisation des rapports avec une prostituée (alors que la prostituée restera elle impunie!). C’est un autre aspect de cette guerre civile larvée faite au sexe masculin.
    On peut naturellement objecter qu’à d’autres époques la condition masculine était bien pire. C’est exact lorsque l’on voit les deux guerres mondiales avec le nombre d’hommes tués, mutilés, prisonniers et séparés de leur famille pendant des années. Comparé à celà le problème des hommes actuels est certes mineur, celà ne veut pas dire qu’il ne faut pas en parler.

  12. Dans tous ces cas de conflits familiaux avec leur cortège de souffrance,n’hésitons pas, il ne faut pas rester seul. Il existe des lieux d’accueil chrétiens comme les sessions Cana du Chemin Neuf où la prière conduit à la paix et à la réconciliation. Avec le Seigneur tout est possible…

  13. Je tiens à rappeler que le camping sauvage est interdit et passible d’amende. Donc on peut peut-être s’entendre avec un paysan qui vous autorise à planter votre tente dans le pré à côté de sa ferme moyennant une faible somme mais sinon il faut s’installer dans un camping. Et même en admettant qu’emmener ses enfants en vacances ne lui coûtera que 400 ou 500 euros, qui vous dit qu’il a cette somme devant lui ? Dans beaucoup de ménages, même sans divorce, il ne reste rien à la fin du mois.

  14. @ MEIERS
    Je plussoie sur la justice féminisée.
    C’est le vrai problème mis en évidence par ce temoignage. Qui propose comme intelligente solution que ce soit celui qui déclenche les hostilités qui en assume le coût, et pas seulement des procédures judiciaires.
    Trois de mes cousins ont subi un divorce. Subi,car dans ces trois cas c’était toujours à l’initiative ou par l’adultère de leur femme. Qui s’en tirent pourtant dans tous les cas possibles à bon compte (garde des enfants, pen sion alimentaire, caf et autres avantages).
    Cette initiative féminine des divorces est incompréhensible pour moi. Que veulent ces femmes d’âge mûr? S’approprier leurs enfants i.e. faire comme si elles les avaient faits seules? Parce qu’elles n’ont plus l’âge de retrouver un prince charmant, et que leurs enfants y sont autant d’obstacles…
    La situation juridique actuelle repose clairement sur une négation de la complémentarité homme femme que je ne tiens pas à exacerber mais dont je constate les effets.

  15. la justice française n’est pas fameuse, mais en ce qui concerne les divorces :
    – j’ai pu constaté qu’elle est très féminisée et particulièrement —injuste.

  16. @MEIERS
    Ce que vous dîtes me choque beaucoup à propos de la prostitution, vous dîtes :”comment jeter la pierre à un mari délaissé par son épouse […] C’est pourtant ce que fait la société avec le projet de pénalisation des rapports avec une prostituée (alors que la prostituée restera elle impunie!).” mais vous oubliez que le mari délaissé peut très bien trouver une femme consentante pour assouvir comme vous le dîtes ses désirs sans être obligé d’aller voir une prostituée. Je trouve ça très choquant car finalement vous oubliez qu’il paie et qu’il utilise une femme ( le plus souvent sans défense, avec proxénète et situation extrêmement compliquée)comme un objet.
    Pour le reste, je suis d’accord avec vous, la société actuelle est beaucoup trop féministe et féminisée, et cela nuit à tout le monde !!!

  17. Oui, cette complicité perverse de l’État facilitant le divorce et la désagrégation des famille est bien réelle, et va s’amplifiant.
    Elle a même été étudiée par un sociologue qui constatait, voici déjà 25 ans, qu’il n’y a plus désormais que des ménages “à trois”, l’État s’immisçant dans tous les couples. Il précise : ” le mari a accepté de se voir dessaisi de certaines de ses anciennes fonctions maritales et paternelles par son concurrent le plus dangereux, l’État providence. La femme peut beaucoup plus facilement, aujourd’hui, suivre à son tour une double morale ou se laisser entraîner par ses passions. Elle sait que le troisième membre de ce trio qu’elle forme avec son mari, l’État, est là pour prendre en charge les conséquences matérielles et psychologiques de ses actes. ” (André Béjin: “Le nouveau tempérament sexuel”. Kimé, Paris, 1990.)

  18. @Louise,
    En fait je ne voulais pas justifier la prostitution, mais indiquer simplement que le projet de pénalisation des clients des prostituées est un autre exemple de cette guerre larvée menée par les sociétés occidentales à la sexualité masculine. Quand on regarde la situation d’un mari catholique, trompé et délaissé par son épouse, on se rend compte que sa situation s’apparente au plan moral à la célèbre quadrature du cercle.
    -Il peut agir moralement et pratiquer l’abstention sexuelle, mais il ne s’était pas marié pour mener une vie monacale.
    Il peut comme vous l’indiquez, trouver une femme consentante pour assouvir ses désirs, mais il y a deux cas de figure:
    -Soit il s’agit d’une jeune fille ou jeune femme non mariée à l’Eglise. Dans ce cas il ne brisera pas un second mariage, mais privera la jeune femme de la possibilité de contracter un mariage à l’Eglise puisqu’il reste marié. Il y a certes la possibilité de faire dans quelques cas annuler son premier mariage, mais c’est impensable au cas où il aurait des enfants. Il ne peut pas moralement les rendre illégitimes.
    Soit il s’agit d’une jeune femme divorcée, mais restant mariée du point de vue de l’Eglise catholique. Dans ce cas il ajouterais à l’adultère de son épouse, son propre adultère avec cette jeune femme mariée, même si la rupture du mariage de celle-ci n’est pas de sa faute. Dans ce cas également il serait moralement fautif.
    Il est également fautif en fréquentant des prostituées, mais ne cimenterait pas dans ce cas une seconde union illégitime.
    C’est cette quadrature du cercle qui m’avait fait dire que je me sens incapable de jeter la pierre.

  19. A lire les commentaires, ce témoignage semble difficile à entendre. Il est pourtant la vérité financière et morale de beaucoup de pères divorcés.

  20. C’est dur de se faire jeter, mais il faut réagir, tapez aux bonnes portes. On ne connait pas votre histoire, quel était votre projet de vie ensemble pour que vous en soyez arrivé là. Montrez vous digne devant vos enfants c’est le plus beau cadeau que vous pouvez leur faire, ne gémissez pas vous ferez fuir tout le monde, faites comme si finalement c’était la meilleure solution. Allez au cinéma voir des films drôle . Ne vous repliez pas sur vous même et lisez l’évangile d’aujourd’hui . Bonne route. Je prierai pour vous.

  21. @ MEIERS
    La présence d’enfants dans un couple n’est pas un motif de non-nullité pour le mariage. L’Eglise a une vision beaucoup plus large du mariage, notamment sous un aspect de liberté d’engagement.
    L’Eglise a d’ailleurs mille ans d’avance sur la justice… Elle a une vision profondément humaine lors d’étude des cas de nullité.

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