Elon Musk, le patron de X, l’a exprimé brièvement, suite à la victoire de Trump :
You are the media now
— Elon Musk (@elonmusk) November 6, 2024
“Vous êtes les médias maintenant”
Il a ajouté plus tard :
The reality of this election was plain to see on 𝕏, while most legacy media lied relentlessly to the public.
You are the media now.
Please post your thoughts & observations on 𝕏, correct others when wrong and we will have at least one place in the world where you can come… https://t.co/OcC3SKWHzA
— Elon Musk (@elonmusk) November 6, 2024
La réalité de cette élection était évidente sur 𝕏 , alors que la plupart des médias traditionnels mentaient sans relâche au public. Vous êtes désormais les médias. S’il vous plaît, postez vos pensées et observations sur 𝕏 , corrigez les autres lorsqu’ils se trompent et nous aurons au moins un endroit au monde où vous pourrez venir trouver la vérité.
H16 décrypte :
[…] Eh oui : comme l’avaient prévu les vilains complotistes – il s’agit essentiellement de ces individus qui sont parvenus à se décrocher des médias mainstream – ces élections ont duré longtemps après la fermeture des bureaux de vote. Si une vérité fait jour à la suite de ces dernières heures, c’est que le peuple américain semble incapable d’organiser des élections à la fois sûres, transparentes et bornées dans le temps…
Ou plus exactement, il apparaît – là encore, comme prévu tant ici que par la plupart des complotistes précédemment cités – que tous les moyens furent bons pour le camp démocrate pour rendre l’ensemble du processus aussi chaotique que possible, à tel point que toute déclaration de victoire d’un candidat quelques heures après la fin des scrutins revient à déclencher d’homériques batailles de chiffres et, inévitablement, juridiques (sans même évoquer l’ingérence étrangère, dont le leitmotiv semble coller à Trump dans la bouche de tous ses opposants avec une sorte d’obsession véritablement pathologique).
Cependant, toutes les gesticulations et les manœuvres observées n’ont un sens que dans un seul cas, celui où Harris a perdu et où Trump va retrouver le pouvoir dans deux mois et demi, quoi qu’en disent les médias de grand chemin.
Bien évidemment, à l’heure où paraissent ces lignes, rien ne permet encore de l’affirmer, mais la panique clairement affichée par les Démocrates et déjà largement perceptible chez eux quelques jours avant le scrutin, les mines grises et déconfites des analystes et des commentateurs médiatiques, les réactions gênées des dirigeants occidentaux ne permettent guère de doute : si Kamala Harris l’avait emporté ou si elle avait des chances sérieuses et surtout crédibles de décrocher la timbale, les mines seraient plus détendues et les teints moins gris.
Dès lors, il apparaît clair que les prochaines semaines seront particulièrement agitées aux États-Unis, que tous les moyens, légaux et moins légaux, seront convoqués pour interdire à Donald Trump de retrouver son fauteuil à la Maison-Blanche, mais que, compte-tenu du soutien populaire dont il jouit, il le retrouvera quand même.
Ceci ne surprendra que deux catégories de personnes.
La première est composée de ceux qui sont restés campés sur l’idée que la presse, la radio et la télévision du XXe siècle apportent une information sûre et non biaisée. Ceux-là vivent dans une époque révolue et deviennent les outils de résistance aux changements que l’internet et les médias alternatifs ont apportés ces 20 dernières années. Ils représentent le point d’ancrage à la fois des vieilles technologies et des techniques de manipulation psychologique mises en place sur ces dernières par les gouvernements au cours du siècle passé. Cela fait des décennies que ces médias et ces méthodes ont été employés, avec grand succès, pour orienter les opinions et les tendances dans la société, et ceux qui leur accordent encore de l’importance et de la crédibilité, bien que de moins en moins nombreux, comptent encore beaucoup dans ce qui forme « l’opinion publique ».
Cependant, cette « opinion publique » l’est déclarée essentiellement… par ces mêmes médias dont la confiance s’étiole visiblement chaque jour davantage :
Dès lors, à mesure que les populations les moins jeunes parviennent elles aussi à se détacher des médias menteurs de grand chemin, ne reste plus que la deuxième catégorie de personnes qui seront encore étonnées de l’issue inévitable de ces élections : celles qui ont un intérêt bien compris à ne surtout pas voir Trump revenir en poste. […]
zongadar
CQFD : Quand un chef d’état nomme le responsable du tri des infos à diffuser et celui du contrôle des infos diffusées….dans quel pays est-on ? En 7 lettres.
zongadar
euh, pardon, en 6 lettres !
Bernard Mitjavile
Bon, penser comme cela permet de dormir plus tranquille sans se poser trop de questions après ou pendant sa lecture du Monde ou l’écoute des journaux télévisés.
EtiennedeVignolles
Il est évident que la majorité des médias grand public sont non seulement aux ordres mais de plus fonctionne avec une idéologie de gauche qui les amène à déformer les informations.
Deux exemples récents en sont emblématiques :
1/ les élections américaines où selon la presse française Trump était honni des américains.
2/ le conflit Russie / Ukraine, où toujours selon la presse française Poutine avait un cancer, allait être renversé par son peuple, ou encore que l’armée russe perdait des milliers de combattants par jour…
Toutes ces informations se sont révélés fausses au cours du temps, mais sans jamais un mea culpa des organes de presse.
Et que dire de la crise Covid durant laquelle a peu près toutes les Unes se sont révélés être des fake news comme dise les “progressistes” !
Cro-Magnon
fonctionneNT et diseNT peut-être…