Un rapport issu d’une commission d’enquête lancée après l’assassinat de Samuel Paty pointe une «école de la République en danger». 38 recommandations ont été formulées par deux sénateurs.
Les deux sénateurs co-rapporteurs, François-Noël Buffet (LR) et Laurent Lafon (Union centriste) tirent la sonnette d’alarme après plusieurs mois d’enquête, 45 auditions et de nombreux déplacements. Les deux hommes ont déploré une «montée de la violence» dans les établissements scolaires privés et publics, tout en pointant un «décalage entre les chiffres de l’Éducation nationale et la réalité du terrain».
«La façon dont sont présentés les chiffres constitue une minimisation de la réalité». «Les chiffres de l’Éducation nationale nous disent que 0,2% des enseignants des collèges et lycées déclarent avoir été menacés par une arme sur une année scolaire (en 2021-2022, NDLR). Ça peut paraître très faible mais c’est près de 900 enseignants. Soit 4 par jour.»
François-Noël Buffet cite de multiples «formes de pressions et d’agressions», de l’«insulte misogyne» à l’agression physique. En sciences naturelles comme en histoire, de nombreux professeurs font le choix de l’autocensure, face à des parents et des élèves contestant leur enseignement.
«Les chefs d’établissement sont pris à partie directement par les parents, qui surgissent de manière inopinée dans leurs bureaux». «(Il y a aussi) les Conseillers principaux d’éducation (CPE) face à qui les élèves et de plus en plus leurs parents contestent le bien-fondé des sanctions – certains même viennent en rendez-vous avec leurs avocats.»
Autre point soulevé par les sénateurs, l’islam radical, qui «est en train de se banaliser». Ils ont ainsi constaté la multiplication
«de l’usage par certains élèves de la menace proférée à un enseignant de lui “faire une Paty”». «J’ai vu un professeur à la fin de sa journée, (qui s’est réjoui de) “ne pas avoir subi de Paty” aujourd’hui». «Voilà la situation telle qu’elle existe. La montée des revendications identitaires et communautaires, et la manifestation de l’islam radical et de certaines nouvelles formes de spiritualité ne doit pas être ignorée».
Les deux sénateurs ont prôné 38 recommandations, qui sont des pansements sur une jambe de bois (enseignement de la laïcité, tenues, caméras, signature d’une charte…). Il serait peut-être temps de dénoncer l’islam et l’immigration.
cadoudal
c’ était bien la peine, pour la République, de reconvertir ses hussards noirs en drag queens !
les hussards noirs ont réussi à détruire l ‘enseignement catho qui faisait la force de la France; à nous faire tomber au rang de pays sous développé dans le classement PISA.
avec les drags queens agrégés on peut espérer avoir des prix Nobel spécialisés en LGBTQ.
Gaudete
De toute façon tant qu’on glorifiera l’avortement comme le fait l’abruti qui nous sert de président ce sera la chienlit à l’école. C’est simple à comprendre, nous avons la communion des saints chaque fois que quelqu’un fait quelque chose de bien ça s’additionne . Inversement quand quelqu’un fait quelque chose de mal ça s’additionne en sens inverse. Par ex dans une famille si un des enfants se conduit mal toute la famille est impactée, inversement si un ou plusieurs enfants font quelque chose de bien la famille s’en trouve grandie. Plus on avorte et plus les jeunes deviennent méchants c’est automatique sans oublier qu’on laisse rentrer n’importe qui et on n’éduque pas , les valeurs de la ripoublique quelle bonne blague
philippe paternot
virer les élèves menaçant est une solution, les parents devraient alors aller mendier dans un autre établissement l’inscription de leur progéniture, ce qui leur imposerait un déplacement plus long, parfois couteux, de quoi faire réfléchir, non?