La cérémonie d’hommage rendu dimanche dernier à Charlie Kirk n’était même pas terminée que nos politiques et nos journalistes déversaient déjà des torrents de haine dans les principaux médias français !
Thomas Snégaroff, journaliste à France Inter, a ainsi présenté à Judith Perrignon les images des funérailles de Charlie Kirk réunissant plus de soixante mille personnes dans un stade en Arizona. En découvrant ces images, cette dernière a exprimé son inquiétude face à un tel rassemblement en mémoire de l’influenceur de droite assassiné. Cela lui rappelait soi-disant ces rassemblements nazis qu’il y avait aux États-Unis dans les années trente. A part la foule des participants, on peine à trouver un lien entre les deux évènements !
Sur LCI, Abnousse Shalmani, chroniqueuse et écrivain, a pour sa part déclaré :
« Nous avons assisté à une messe évangélique d’illuminés qui n’avait rien à envier aux Talibans. »
Un autre journaliste a de son côté décrit l’hommage rendu à Charlie Kirk de manière légèrement plus explicite mais tout aussi virulente :
« Dans un spectacle qui était un mélange toxique de fondamentalisme chrétien et de nationalisme américain, le président Donald Trump et ses principaux collaborateurs ont transformé une cérémonie commémorative à Glendale, en Arizona, en l’honneur de Charlie Kirk, le leader du groupe étudiant d’extrême droite Turning Point USA, tué au début du mois, en un rassemblement fasciste. »
Déjà le lendemain de l’assassinat de Charlie Kirk, un journaliste du « Parisien » avait écrit :
« L‘influenceur d’extrême droite Charlie Kirk s’est fait tirer dessus ce mercredi 10 septembre aux Etats-Unis. L’activiste ultra-conservateur âgé de 31 ans, a ainsi été tué par balle lors d’un meeting organisé à l’université Utah Valley aux États-Unis. Il était à la tête d’un mouvement de jeunesse « Turning Point USA ». Cette association est devenue en une décennie le plus gros groupe de jeunes conservateurs. Elle comprend une armée de militants enthousiastes, dont certains ont été envoyés en bus à Washington à la manifestation du 6 janvier 2021 qui a débouché sur l’invasion du Capitole. »
Alors que la grande majorité des français n’avaient jamais entendu parler de Charlie Kirk dans la presse avant son assassinat, un journaliste du « Parisien » savait déjà le lendemain de sa mort qu’il était d’extrême droite, ultra conservateur, et que ses adhérents avaient participé à l’invasion du Capitole. Il le tenait certainement de sources sûres !
Sous couvert de publier de l’information, tous ces médias de propagande cherchent en réalité à influencer leurs lecteurs. Ils collent discrètement des étiquettes aux personnes qui les dérangent pour les discréditer aux yeux du public. A coups « d’extrême droite », « de fasciste », « d’ultra conservateur », ou en les associant à des actes répréhensibles comme « l’invasion du Capitole », ils arrivent peu à peu à les diaboliser.
Face à ce déferlement de haine, les témoignages de Erika Kirk et de JD Vance durant la commémoration ont été un vrai bonheur à écouter. En France, nous ne sommes plus habitués depuis fort longtemps à de tels discours où des personnes n’ont pas peur d’afficher publiquement leur foi en Jésus-Christ.
Erika Kirk a choisi dans son discours de privilégier le pardon :
« Charlie voulait passionnément atteindre et sauver les garçons perdus de l’Ouest, ces jeunes hommes qui ont l’impression de n’avoir aucune direction, aucun but, aucune foi et aucune raison de vivre. Ces hommes qui gaspillaient leur vie dans des distractions et ceux qui étaient rongés par le ressentiment, la colère et la haine. Mon mari, Charlie, voulait sauver les jeunes hommes comme celui qui lui a ôté la vie. Sur la croix, notre Sauveur a dit : « Père, pardonne leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. » Cet homme, ce jeune homme, je lui pardonne. La réponse à la haine n’est pas la haine. La réponse que nous connaissons grâce à l’Évangile est l’amour, toujours l’amour : l’amour pour nos ennemis et l’amour pour ceux qui nous persécutent »
De son côté, JD Vance a préféré souligner l’importance de punir l’assassin et tous ceux qui ont armé son bras :
« Cette violence ne vient pas de nulle part. Il n’y a aucune unité possible avec des journalistes qui mentent sur ce qu’a dit Charlie Kirk pour justifier son crime, il n’y a aucune unité possible avec les personnes qui se réjouissent de l’assassinat de Charlie Kirk, et il n’y a aucune unité possible avec les personnes qui financent les journalistes qui ont écrit que Charlie Kirk méritait la balle qu’il a reçu parce qu’ils n’étaient pas d’accord avec ce qu’il disait. Nous ne pouvons obtenir l’unité qu’avec des personnes qui reconnaissent que la violence politique est inacceptable. Notre gouvernement œuvre à démanteler ces institutions qui encouragent la violence et le terrorisme. Nous croyons à la civilité, et il n’y a aucune civilité dans un assassinat politique. Nous devons à notre ami que son assassin soit non seulement poursuivi mais aussi puni. »
Certains pourraient être surpris devant des positions aussi contradictoires de deux chrétiens face à une même situation. Comment l’une se réfère-t-elle au pardon quand l’autre réclame une condamnation exemplaire du meurtrier ?
En réalité, Erika parle en son nom, en épouse de Charlie et son choix de pardonner ne peut venir que d’elle, que de ses propres convictions. JD Vance parle en responsable d’une population qu’il doit protéger de personnages malfaisants. Leurs démarchent sont diamétralement opposées en apparence mais pourtant, elles sont inspirées par le même amour des autres. Refuser d’accepter cette apparente contradiction, c’est s’exposer à vivre le chaos que nous connaissons en France suite au laxisme de nos derniers gouvernements. En effet, nos dirigeants confondent allègrement depuis des décennies leurs bons sentiments avec leur devoir de rendre la justice comme j’ai déjà eu l’occasion d’en parler dans un précédant article. * *
* * Journal d’un croyant de 2024 – Un pape mondialiste
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ExtraEcclesiamnullasalus
Les activistes de l’extrême-gauche génocidaire, propagandistes débordant d’une haine viscérale, déguisés en journalistes, ont franchi un cap supplémentaire dans l’ignominie informationnelle : ils sont passés de l’information (en réalité, leur propagande émétique) à la diffamation la plus vile, la plus exécrable, la plus condamnable.
Le vice-président américain JD Vance a parfaitement raison : il ne peut y avoir d’unité avec cette partie des EUA, complètement wokiste, LGBTiste, hystérique, ensauvagée et profondément haineuse et liberticide. Il ne peut y avoir d’unité avec des psychopathes assassins intolérants qui ne supportent pas le débat contradictoire, la confrontation des idées, qui sont les ennemis déclarés de la liberté d’opinion et d’expression, garantie par le premier amendement à la constitution américaine.
Les idées gauchistes constituent une erreur suicidaire, un danger existentiel permanent pour la société et un crime contre Dieu et contre l’Homme.
L’erreur n’a aucun droit. Il faut l’éliminer.