C’était en juillet 2016, l’islamiste Adel Kermiche assassinait le père Jacques Hamel en pleine messe dans son église de Saint-Etienne-du-Rouvray. Son parcours chaotique, tourné vers la destruction, a anéanti une vie tournée vers l’autre et le sacré. Pourtant de cet anéantissement a jaillit mondialement un témoignage de bonté, celui du père Jacques. Un prêtre, discret, dont la vie d’engagement était tournée vers son prochain. Un sujet délicat dont la réalisatrice indépendante Cheyenne-Marie Carron n’a pas hésité à se saisir pour proposer son film Que notre joie demeure. Il qui sera projeté en avant-première au cinéma Pathé d’Angers ce vendredi 12 avril à 20h. Sa réalisatrice le présente au micro de Thomas Cauchebrais sur RCF Anjou.