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France : Politique en France / Valeurs chrétiennes : Education

Christine Boutin demande la suppression du Ministère de l’Education nationale

au profit d’un nouveau Ministère de l’Instruction publique.

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12 commentaires

  1. Houla. Elle sort l’artillerie lourde.

  2. on y vient.
    petit a petit.
    it’s long to….

  3. Elle a raison. Comme quoi il ne faut pas désespérer.

  4. Premier pas dans la bonne direction, en attendant une totale subsidiarité donnant aux familles les moyens d’exercer leur responsabilité en la matière par un système de financement dédié (“sécurité instructionnelle”, chèque-éducation, ou autre à imaginer).
    Ni l’éducation ni l’instruction ne constituent des fonctions régaliennes.

  5. @ Andrepaul
    Madame Boutin, à l’instar de tous ses collègues, ont toujours raison… avant les élections : ça s’appelle un attrape-nigaud (j’ai mis nigaud pour respecter la bienséance qui prévaut sur le SB).
    Le problème est « après » les élections.
    Si encore on peut légitimement laisser planer le doute pour un prétendant n’ayant jamais exercé un mandat électif, il n’en est pas de même pour cette dame.
    À l’instar de tous ses collègues « catholiques avant », elle est avant tout « républicaine après ».
    Et c’est hélas dramatiquement incompatible.

  6. J’aimerais être sûr que c’est plus qu’un effet d’annonce.
    Pour moi, dans le petit milieu professionnel qui m’est confié, je prends garde de ne pas changer le nom d’une réalité qui doit changer mais d’abord d’en changer le contenu. Comme ça je suis sûr de ne pas m’arrêter en chemin ou de satisfaire à bon compte ma conscience. Après, quand la chose a réellement changé, je change le nom en rapport avec le contenu, ce qui ne choque personne.
    Mais peut-être qu’en politique il faut en passer par des effets d’annonce…
    Comme j’aimerais y croire !

  7. C’est une idée que j’avais développé devant elle voila quelques année, elle ne semblait pas convaincue!

  8. Ce n’est pas changer le nom du Ministère, mais le faire éclater qui serait nécessaire : il n’y a pas de ministre de l’Education ou de l’instruction publique dans certains pays, mais des agences nationales ou des ministères ou agences décentralisés dans les régions ou les provinces ou états ou länder.
    Cela fonctionne d’autant mieux : en Allemagne on a gardé les humanités classiques dans le secondaire, mais on a aussi développé l’apprentissage professionnel en alternance. Cela nuit-il à la recherche allemande et à son industrie ?
    Les besoins de la Corse ne sont pas ceux du Nord Pas de Calais ou de l’Ile de France : que chaque région gère à sa façon le sujet.
    Un programme national pour l’enseignement jusqu’au bac classique, avec label national, et autrement la liberté totale des filières, formations, ainsi que pour le recrutement des enseignants.
    Et que partout les familles retrouvent un droit de vote éducationnel, par le chèque scolaire : ce sera la mort des syndicats oppresseurs et des pédagogues totalitaires.
    Un vaste espace de liberté retrouvée et reconquise sur le monopole de la caserne jacobine et monopolistique napoléonienne !
    Actuellement dans un lycée ”catholique” des Pays de la Loire en Mayenne, le professeur de philo étant en congé maladie, son remplaçant a été importé de Brest où réside sa famille (300 km et 3 h et demi de voiture) : le rectorat des Pays de la Loire n’avait pas prof de philo disponible et plus proche……. Le planisme soviétique à l’état chimiquement pur.

  9. C’est évident !

  10. Pour une fois que l’on peut suivre Madame Boutin les yeux fermés, nous aurions tort de nous priver !
    Quant à lui donner nos voix, nous attendrons des preuves de plus de fermeté et de stabilité sur le chemin du bon sens qu’elle ne pourra nous en donner avant 2012…

  11. Un changement de nom ne sert à rien ; baptiser fauteuil la chaise ne la rendra pas plus confortable ! Que n’a-t-elle agi quand elle était ministre ?

  12. Ca, c’est une idée à l’origine d’Alliance Royale ! En effet, nulle dénomination n’est anodine, mais en république, que le nom soit “Instruction publique” ou “Education nationale” ne changera rien, vu que la première mission de la république est d’éduquer nos enfants pour en faire de bons sans-culottes cathophobes. Il faut un Roi à la France ! Tant que nous n’aurons pas de Roi légitime en l’Aîné des Capétiens, rien ne changera !

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