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Culture de mort : Avortement

Chronique des cinglés

Chronique des cinglés

Antoine Bueno est chargé de mission au Sénat pour le groupe centriste (Union centriste, UC-UDF, UDI-UC) et il a participé comme plume politique à la campagne de François Bayrou pour la présidentielle de 2007. Il publie un livre dans lequel il propose d‘instaurer un “Permis de procréer” (c’est le titre du livre). Bienvenue en Chine ! Et il explique dans l’Obs :

Le dispositif s’inspirerait des entretiens préalables que les parents candidats à l’adoption d’un enfant passent. A chaque nouvelle grossesse, les parents rencontreraient un assistant social chargé de vérifier que le lieu d’accueil de l’enfant à naître et les ressources du foyer sont propices. Ils consulteraient également, au moins deux fois, un psychologue. A l’issue de ces rencontres, un “contrat de parentalité”, avec des droits et des obligations, serait alors proposé aux parents en fonction de ces entretiens. Mais je ne veux pas laisser tout le pouvoir aux psy – je sais à quels excès cette concentration des pouvoirs pourrait conduire. Je propose donc qu’un “conseil de procréation territorial” soit mis sur pied, afin de vérifier que tout refus d’accorder un “contrat de parentalité” est fondé.

Et si les parents refusent de se soumettre à ces séances ?

Ils seront possiblement déchus de leur autorité parentale. C’est-à-dire que leur bébé pourra leur être retiré, dès sa naissance, pour être confié à une autre famille. De toute façon, il faut bien comprendre que ces séances conditionnent l’accès aux droits sociaux, notamment les allocations familiales. Personne n’aurait donc intérêt à s’y soustraire.

[…]

Et si, malgré tout cet accompagnement, les risques de maltraitance pour l’enfant semblent trop importants ?

Si ce risque semble grand, les femmes seront invitées – pas contraintes, mais bien invitées – à pratiquer une IVG. Je souhaiterais que l’IVG puisse être pratiquée jusqu’à la 24e semaine – au début du 7e mois.

C’est quand même très tard !

Cela a été pratiqué en Grande-Bretagne dans les années 1990. C’est donc faisable.

Et si les femmes refusent cette IVG ?

Dans ce cas, c’est le système du contrat de parentalité qui s’applique. Si l’on constate que les parents sont incapables de respecter leurs engagements contractuels, le bébé leur sera retiré dès sa naissance et confié à une autre famille. Je souhaite que nous mettions fin à cette sacralisation absurde du lien biologique. […]

Vous évoquez même un “redevance de procréation”, autrement dit un impôt que les couples devraient verser à chaque enfant…

Il s’agit d’appliquer la logique du principe “pollueur-payeur” et de dissuader les désirs de procréer les moins forts. Mais rien n’empêche de moduler cette redevance selon les revenus des familles. Les moins riches en seraient exemptes, comme elles le sont actuellement de l’impôt sur le revenu. Mais les “familles nombreuses versaillaises”, elles, financeraient le système. […]

Voilà, vous pouvez aller vomir, comme on dit.

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18 commentaires

  1. Quand un régime érige en système institutionnalisé la folie humaine en déni de la loi naturelle, alors il n’y a plus de retenue aucune au délire collectif. C’est la surenchère du mauvais génie humain, celui qui nie tout droit à Dieu et à son ordre supérieur et où l’on voit apparaître les sabots fourchus du Grand Inspirateur “porteur de la lumière”.
    Les frères la gratouille sont encore et toujours à la manœuvre.

  2. Encore un taré, mais qu’avons nous fait pour mériter de telles crevures parce qu’on ne peut les appeler autrement, j’aimerai bien le voir aller se frotter à ses amis muzz pour voir comment il fait, je pense que là il terminerait comme dans les camp de daesch!

  3. Dans cette fin de cycle historique sordide que nous sommes en train de vivre l’on voit des personnes pouvoir dire les “pires horreurs”, – de celles qui ont accompagné des régimes mortifères comme celui de la Terreur révolutionnaire, le communisme et le socialisme national allemand, sans avoir le moindre problème, et bien sûr le tout enrobé d’arguments “humanistes”. Pendant ce temps des personnalités politiques qui tentent de raison gardée, sont attaqués, traînés en justice avec une demande d’expertise psychiatrique, quand elles disent simplement la réalité.

  4. Le titre « Chronique des cinglés » ne peut mieux porter son nom en ce cas.
    Il est inquiétant de voir ce type de personnage dans les allées du pouvoir.
    Plus inquiétant encore est de le voir chargé de mission pour un groupe politique historiquement démocrate-chrétien.
    Le pouvoir est fou et rend fou.
    Après Benalla voilà un autre égaré. Combien d’autres se cachent encore ?

  5. Adolph Hitler lui même n’y avait pas pensé.
    Il y a des monstres comme Karl Marx qu’on a eu tort de laisser parler au nom de la liberté d’expression…
    Il y a des monstres comme Antoine Bueno qu’on ferait mieux d’enfermer !

  6. Le totalitarisme en marche ! Avec ce taré, on va bientôt se retrouver comme en Chine sous la révolution culturelle. Quant à François Bayrou, qui avait pris ce cinglé pour plume politique de sa campagne électorale, on s’effraie rétrospectivement à la pensée qu’il aurait pu être élu et appliquer un programme fondé sur les divagations de ce dangereux zigoto : on attend qu’il dénonce vigoureusement ses élucubrations sociétales et eugénistes, si proches des thèses nationales-socialistes…

  7. Ces gens sont dangereux.
    Le devoir de la société est de se protéger de ces fous…

  8. A-t-il entendu parler des “Lebensborn”? Pourtant, il y en a eu en France (Lamorlaye, dans l’Oise). Ce qu’il propose n’en diffère pas fondamentalement, il n’y a que des nuances de détail.

  9. Eh ben moi qui ai fait des mini dépressions à chaque grossesse… je n’aurais jamais pu avoir mon “permis”!!!
    Bon, là où il est franchement stupide, c’est que lesdites familles versaillaises (et, je suppose, par extension ce qui reste de familles nombreuses catholiques) ont encore quelque pouvoir, quelques moyens, quelques réseaux, et quelques convictions. Sera-t-il bien heureux quand la plupart seront partis élever leurs enfants ailleurs?

    • Des millions de déportés ou des millions de morts cela ne dérange pas du tout ce genre de personnage…
      On est de gauche ou on ne l’est pas.

  10. Nous sommes en URSS. On boit le thé avec le docteur Lyssenko.

  11. Les c… ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît

  12. Il faut dégager de la place pour les nuées innombrables du Grand Remplacement.

  13. Il est urgent de l’euthanasier ! (2e degré !)

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