Le gynécologue de Pau, le Dr Victor Acharian, a été condamné par l’Ordre des médecins à deux mois d’interdiction d’exercer pour avoir refusé d’examiner un homme qui se prend pour une femme. Cet homme qui se dit femme était venu avec son « compagnon ». La secrétaire raconte :
« La dame (sic) m’a expliqué qu’elle était en transition. J’ai aussitôt prévenu le docteur par messagerie interne. Il m’a répondu : “Je ne m’occupe pas de ça ; il y a des spécialistes à Bordeaux ou à Toulouse”, message que je leur ai transmis. Mais ils sont devenus très agressifs, et m’ont traitée de transphobe. »
Le « couple » ayant laissé un avis Google incendiaire, le médecin avait répondu :
« Je n’ai aucune compétence pour m’occuper des hommes, même s’ils se sont rasé la barbe et viennent dire à ma secrétaire qu’ils sont devenus femmes. »
Alors les lobbies LGBT avaient alerté les médias et porté plainte devant l’Ordre des médecins et devant la justice pénale. L’enquête pénale est toujours en cours.
Le médecin avait expliqué au Figaro :
« J’aurais pu recevoir cette personne, lui faire payer la consultation de 80 euros, pour lui dire que je suis totalement incompétent : est-ce cela qu’elle voulait ? Ces personnes sont sous traitements hormonaux, prescrits par des services spécialisés. Je leur laisse le soin de les contrôler. »
Mais l’Ordre des médecins considère qu’il aurait du les arnaquer de 80€.
Collapsus
Pour être tranquille, ce médecin devrait se spécialiser dans le soin des prostates des femmes “transitées” en hommes.
Janot
On a toujours l’impression que cette fois c’est la bonne : on a touché le fond. Mais non, maintenant c’est l’ordre des médecins qui s’y met. Je crois que je vais me déclarer chien et poursuivre le vétérinaire qui ne voudra pas me soigner.
Ymauronpa
Avec le mal qu’on a à trouver des medecins, c’est une idée qui mérite d’être creusée…
EtiennedeVignolles
Ah ah ah ! Bravo à ce médecin qui a en plus un certain sens de l’humour :o)
On dirait une info du Gorafi !
Horace
Mais où allons nous avec une telle accumulation d’absurdités. Voilà un médecin logique avec lui-même, mais ” l’ordre” pense autrement. Plus de réponse possible.
Cipous
les hommes vont chez l’urologue
les femmes vont chez le gynécologue
tout le reste relève du psychologue
incongru
attention!!! remarque très très tendancieuse : quel “tout le reste” ????
ModTrebuig
ou du psychiatre !
Gaudete
Non du psychiatre. Mais pour en revenir à l’ordre des médecins une officine qui ressemble étrangement au Guépéou, dernier relent du communisme, bien sûr l’ordre des médecins, encore un truc qui ne sert à rien et qui reçoit sans aucun doute de l’argent de l’état, je dirai pour être à un tel niveau de con…… les ceux qui siègent dans cette officine doivent avoir sans doute un diplôme mais ne soignent pas parce qu’incapables et le tout doit forniquer chez les pères la Gratouille.
Enfin si la bonne femme est en transition qu’elle dit, il y a des passerelles pour les hôpitaux , vous voyez ceux dont je veux parler
PascaleBrebis
Il n’y a que deux genres et une multitude de psychopathologies. L’attirance «naturelle» vers les personnes de même sexe correspond à la définition d’une infirmité : l’homosexualité, avec ses limitations physiques et psychologiques. Quand ces comportements contrenatures ne sont ni des psychoses ni des infirmités, ce sont des «perversions» condamnées à raison par l’Église. Bien nommer les choses permet de les gérer convenablement, chacun dans la réalité de ses limitations, limitations à respecter ou a faire respecter notamment sur l’impossibilité d’avoir des enfants et encore moins de les élever. Avoir deux papas n’est le rêve d’aucun enfant, surtout s’ils fréquentent les gynécologues, car il y a aussi des cinglés chroniques.
AFumey
Je ne parlerais pas “d’infirmité”: certains facteurs peuvent les expliquer (et par ailleurs “mère Nature” fait à certains d’étranges ‘cadeaux’). Je vous renvoie à l’enquête “As Nature Made Him”, traduite en Français, qui relate l’histoire navrante des jumeaux Reiner sous la manipulation de l’indéfendable John Money.
Il se trouve qu’un biologiste, Milton Diamond, a découvert à la même époque les effets de l’intrusion d’une hormone dans le comportement des cochons d’Inde. Lorsqu’on voit les quantités d’hormones féminines rejetées dans les eaux usées et les contaminations qu’elle entraînent en s’accumulant depuis la création de la pilule…
Sachant qu’en se combinant à d’autres molécules du monde agricole l’effet est plus que décuplé, on obtient la remarque du rédacteur d’un rapport de l’UE: “on n’est pas dans la m…!” (lire Sabrina Debusquat, “J’arrête la pilule”)
Je salue tout de même votre expression “attirance vers une personne de même sexe” qui est la juste traduction. Les mots “homo…” ou autres variantes l…, g…, etc, ont pour conséquence d’emprisonner des personnes blessées (souvent) ou embarrassées (la plupart du temps) dans des catégories exiguës qui leur retirent tout ce qui constitue leur personnalité: leurs goûts, aptitudes, leurs générosités ou centres d’intérêt et tout ce qui constitue un être humain, l’attirance sexuelle n’en représentant qu’une infime partie. Au point qu’on est en droit de voir dans ce vocabulaire imposé la principale cause des TS des prétendus ‘protégés’.
PascaleBrebis
Hormone hors norme : le diabète est une dysfonction du pancréas relative à la gestion d’une hormone : l’insuline. C’est une infirmité, tout comme la myopie. Idem pour les dispositions hormonales qui gèrent la sexualité si elles perturbent les fonctions reproductrices. C’est d’ailleurs précisément dans cet imbroglio que nait l’homophobie : ne pas reproduire l’espèce mais uniquement jouir entre soi dans des pratiques stériles. Les GayPrides accentuent cette perception, chacun dans sa catégorie exiguë. Il n’y a pas de DiabètePride. Ainsi, la sexualité n’est pas une infime partie de l’ipséité, c’est même la principale sinon la seule, à l’origine de tous gestes créatifs et de l’affirmation de soi. Mais si l’on n’a rien d’autre à affirmer, c’est essentiellement «stérile», comme une grande partie de l’inauguration des JO de Paris 2024 où la seule créativité étaient l’exhibition de femmes à barbe, et ça, ça fait grincer l’ADN de l’espèce à travers le monde.
L’avènement de la pilule contraceptive a amené notre civilisation à confondre l’Amour et l’orgasme, si bien que toutes les déviances sexuelles sont aujourd’hui présentées comme des preuves d’amour! On n’offre plus son cœur, on offre son c.. Que cela perturbe biologiquement notre environnement est signe que nous le sommes tout autant.