Bruno Gollnisch commente l'actualité du Parlement européen, suite à la session de fin septembre :
"A l'ordre du jour, l'habituel inventaire à la Prévert : tourisme, protection civile, sécurité routière, politique commerciale, politique extérieure de l'UE avec le reste du monde (vaste sujet), orientation sexuelle et identité "de genre" à l'ONU, Sommet de la Terre à Rio, réfugiés libyens en Tunisie, suppression de l'aide alimentaire européenne aux plus démunis, écoles européennes, vive controverse sur la reconnaissance d'un Etat palestinien, scanners corporels… Jean-Claude Junker, Président de l'Eurogroupe et Premier Ministre du Luxembourg est également venu répondre aux questions des députés sur la crise de la dite souveraine."
Sur le plan de l'eurofédéralisme, l'UE poursuit sa course :
"Le « Six-Pack » adopté : hélas rien à voir avec la coupe du monde de rugby ou la bière. « Six-Pack » est le petit nom branché d’un paquet de six mesures législatives contraignantes qui va permettre de renforcer la surveillance et le contrôle de Bruxelles sur le budget des Etats (mais aussi sur leurs déséquilibres macro-économiques), de rendre plus contraignantes les recommandations politiques faites par la Commission, et d’automatiser les procédures de sanction contre les mauvais élèves. Pour mémoire, pour la France, l’UE recommande entre autres : une réduction drastique des exonérations sociales, un approfondissement de la réforme des retraites, l’assouplissement des procédures de licenciement, la remise en cause du salaire minimum…. […]
Discours sur l’Etat de l’Union : exercice annuel José Barroso, le Président de la Commission européenne, très content de jouer au Président des Etats-Unis. Il n’aura pas échappé à M. Barroso que la crise est toujours-là, une crise de confiance selon lui qui accroît le danger « populiste ». La solution ? L’accélération de la mise en place d’une « gouvernance » européenne (traduire : un gouvernement), dont le premier pas est la gouvernance économique (le « six-pack »), ainsi que l’approfondissement de la libéralisation des marchés, et notamment de la directive « services » dite aussi « Bolkenstein ». […]"
Enfin, dans le domaine de l'impuissance, cette information honteuse :
"Tensions entre la Turquie et Chypre : L’Union européenne ne s’est pas sentie obligée de soutenir un de ses Etats membres, qui de surcroit est dans son droit, contre la Turquie qui veut l’empêcher, par la force s’il le faut, de mener des explorations pétrolières et gazières dans son propre domaine maritime. Eloquent !"
PG
Il faut rappeler que Bruno GOLLNISCH vient de subir la confirmation par La CJUE (Cour de ”Justice” de l’U.E.) de la levée de son immunité parlementaire votée par le Parlement Européen en mai dernier pour un communiqué qu’il n’avait pas écrit publié sur le site du groupe régional qu’il préside : communiqué du groupe FN Rhône-alpin d’octobre 2008, et qui dénonçait notamment «l’invasion de notre patrie et la destruction de notre culture et de nos valeurs»…….
Liberté d’expression à l’européenne…….
brando
On a mentionné la Turquie et vraiment c’est un pays sous un gouvernement:
1.Islamiste
2.Et son president a dit que le Hamas n’est pas un groupe terroriste
3.Un pays qui nie avoir commis un genocide contre le peuple armenien
C’est degoutant.Lisez sur “Le Mythe qu’il y a des terroristes palestiniens qui sont chretiens”:
http://www.avraidire.com/2011/04/le-mythe-quil-y-a-des-terroristes-palestiniens-qui-sont-chretiens/
chouan 12
ce Barroso, quel impétrant, il se prend pour qui. Il devrait se méfier, à force d’asservir les peuples, ils pourraient bien finir par se réveiller!!!!
Garancière
La stratégie actuellement mise en oeuvre pour tuer les Etats européens est la suivante : les encourager à s’endetter au-delà de leur capacité de remboursement, puis, le défaut de remboursement produisant la faillite, les obliger à céder certains de leurs actifs pour compenser le défaut de remboursement. Donc la France devra céder d’abord ses installations militaires, sa force de frappe nucléaire, ses ports, ses aéroports, ses chemins de fer, puis le reste. Les céder à qui ? mais aux créanciers, pardi. Les créanciers, vous ne savez pas qui c’est ?