Jean Sévillia est interrogé dans Permanences, qui consacre un dossier sur l’Histoire et la Politique. Extrait :
Vous pouvez commander ou vous abonner à Permanences ici ou le retrouver chaque mois sur Le Club de la Presse.
Jean Sévillia est interrogé dans Permanences, qui consacre un dossier sur l’Histoire et la Politique. Extrait :
Vous pouvez commander ou vous abonner à Permanences ici ou le retrouver chaque mois sur Le Club de la Presse.
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.
cadoudal
ne pas oublier la responsabilité européenne de Voltaire dans la rage anti chrétienne qui a empoisonné le 18ème , s’est poursuivie dans la Révolution française, puis chez les F.:.M.:. et les rad soc du 19ème.
le rire de Voltaire – expression de sa haine- a fait d’ énormes dégâts.
cadoudal
ne pas oublier aussi la contribution de Nietzsche , le sinistre prophète de la “mort de Dieu ” et du Surhomme;
Nietzsche réduit le christianisme à un complot contre la civilisation ,résultant d’une haine contre “la vie”;
au moyen d’un poison pernicieux mais subtil, que lui seul a été capable d’ identifier et dénoncer.
curieusement ce “poison ” ressemble beaucoup aux valeurs de la République et de la Licra.
pire que Marx.