Le révolutionnaire Gustavo Petro, ancien maire de Bogota et sénateur, est devenu dimanche le premier président colombien de gauche.
Son passage à la mairie de la capitale a laissé un souvenir mitigé, l’image d’un homme autoritaire, médiocre gestionnaire. Un de ses conseillers à cette époque, Daniel Garcia-Peña, critique son “despotisme” et sa “difficulté à travailler en équipe”.
Gustavo Petro est marié et père de six enfants de plusieurs femmes. Dans une récente interview, sa fille adolescente Sofia s’est félicitée de
“considérer son père comme un homme en déconstruction, une grande victoire pour le féminisme”.
Gustavo Petro s’est engagé à renforcer l’Etat, à réformer le système des retraites et l’impôt pour faire payer les plus riches. Sa première mesure sera de suspendre l’exploration pétrolière et d’entamer la transition énergétique.
Gaudete
un révolutionnaire est forcément un despote, l’inverse n’est pas possible. Il faut bien déconstruire c’est à la mode et quand il aura un champ de ruines il se fera hara-kiri?
christianlair
Et …. un pays de plus à être dirigé par un nuisible ! ! !