L’Assemblée nationale a voté mercredi l’interdiction de la vente des chats et chiens dans les animaleries en 2024, la réservant aux refuges et éleveurs. Les députés ont également encadré la vente en ligne d’animaux de compagnie.
Pour les animaleries, cette interdiction est motivée par le « sevrage trop précoce des chiots et des chats » vendus dans ces lieux, un « approvisionnement par des “usines à chiots et chatons” » trop souvent, et encore « une mauvaise socialisation de ces animaux ». Il s’agit aussi de freiner les achats compulsifs dans ces commerces.
Et “en même temps”, les députés ont voté la fabrication à la demande de petits d’homme en laboratoire, à faciliter le recours à des mères porteuses, à autoriser la création d’embryons humains génétiquement modifiés, de chimères (embryons homme-animal) et légaliser l’avortement jusqu’à 9 mois.
Les animaux seraient-ils mieux protégés que les humains ?
F. JACQUEL
Au risque de me répéter, j’ai toujours été viscéralement opposé à l’avortement ( en 1974, élève de terminale, j’avais collé sur ma trousse un autocollant “Avorter tue”), et maintenant à la PMA, la GPA et l’euthanasie.
Et je suis aussi viscéralement opposé aux tafics, aux mauvais traitements et aux tortures des animaux.
Je ne comprends pas en quoi l’une de ces convictions devrait être exclusive de l’autre.
margot
Oui, en effet, les enfants des hommes sont moins protégés que les petits des animaux : on punit les fauteurs de la souffrance animale mais on autorise le déchiquettement des bébés dans le ventre de leur mère, on autorise le prélèvement d’organes sur les bébés encore vivants, retirés du ventre de leur maman pour la fabrication des vaccins.
DUPORT
Peut être que les chimères créées par ces malades mentaux se vendront demain dans les animaleries.
Gaudete
oui car ce sont bien des malades mentaux mais par contre il faudrait leur mettre la camisole pour ne puisse plus rien faire et surtout les lobotomiser