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Tribune libre

Commentaire suite à la réaction de la CEF après la cérémonie des jeux olympiques

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La réaction où plutôt cette remontrance de la CEF vient abonder et démontrer cette réflexion de Saint Augustin :

« A force de tout voir, on finit par tout supporter… A force de tout supporter on finit par tout tolérer… A force de tout tolérer on finit par tout accepter… A force de tout accepter on finit par tout approuver »

Pourtant les évêques peuvent tout-à-fait condamner, mais ils se sont abstenus afin de ne ne pas déplaire au monde ….

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9 commentaires

  1. Exactement.
    D’abord, nos évêques n’ont parlé ni de blasphème, ni de péché, ni d’offense à Dieu ou à Jésus-Christ.
    Ils se préoccupent des chrétiens “blessés par l’outrance de certaines scènes”, mais aucunement de l’offense à Dieu.
    N’y a-t-il pourtant pas un commandement de Dieu à ce sujet ?

    Ensuite, nos évêques n’ont même pas osé “condamner”.
    Ils se contentent de “déplorer”.
    Quand il s’agit des autres religions, l’épiscopat “condamne fermement” (ex. : toute forme d’antisémitisme – 20 février 2019).
    Mais quand Jésus-Christ est offensé de façon publique en mondiovision, on se contente de “déplorer”.

    Enfin, rien sur les nécessaires cérémonies de réparation.

    Je ne veux pas faire l’examen de conscience des évêques à leur place, mais ils pourraient tout de même se demander s’ils ne sont pas une grande responsabilité dans ce nouveau scandale.
    S’ils avaient réagi plus fermement les fois précédentes, en serait-on là ???

    • Entièrement d’accord ! La soumission de nos évêques au monde est la preuve de la dégénérescence de l’Église de France, le clergé chargé de nous guider n’a visiblement plus la Foi…

  2. Il faudrait toujours avoir en tête cette pensée lucide de Saint Augustin. Merci

  3. Ce n’est pas les chrétiens qui sont les premiers offensés, c’est Dieu. Et comme d’ab, Le mot Dieu semble être un gros mot pour la CEF. Qui à dit quoi sur les tièdes ???

  4. Nos évêques ont tellement peur de déplaire au monde qu’ils ne condamnent pas mais déplorent, non l’outrage à Notre Seigneur Jésus-Christ. mais au christianisme… Piètres successeurs des apôtres…

  5. La CEF n’a même pas été capable d’accomplir le minimum syndical !

    C’est dire l’esprit de lâcheté, de soumission, de démission, de capitulation envers l’esprit du monde qui l’anime et sa trahison inexcusable de NSJC et de Son l’Eglise !

    Nos évêques sont un ramassis de Judas, d’indignes bergers mais d’authentiques mercenaires et de vils prédateurs.

    Inutile de m’envoyer un courrier me rappelant mon “devoir de catholique” de soutenir l’Eglise. Je ne donnerai pas un centime !

    • « La CEF n’a même pas été capable d’accomplir le minimum syndical ! »

      Ce qui est drôle est que la défense vient de l’extérieur de nos frontières. La fronde qui monte va obliger le CEF à se dédire et à contre-attaquer. Les lâches moutons vont devoir se transformer en lions.

      Le Seigneur est parfois taquin avec les plus frêles de ses brebis…

  6. Les évêques savaient depuis bien longtemps ce aui se tramait mais ils ont peur !
    Ils agissent en jureur et préfèrent porter allégeance à un système politique dont les “valeurs” sont nées dans le sang et les massacres des défenseurs du Christ et de sa royauté.
    La CEF agit comme le sanedrin (Jn 19, 14-15)
    “C’était le jour de la Préparation de la Pâque, vers la sixième heure, environ midi. Pilate dit aux Juifs : « Voici votre roi. » Alors ils crièrent : « À mort ! À mort ! Crucifie-le ! » Pilate leur dit : « Vais-je crucifier votre roi ? » Les grands prêtres répondirent : « Nous n’avons pas d’autre roi que César. »

  7. Nous savons, hélas, depuis trop longtemps que le CEF préfère l’eau tiède à l’eau bénite.
    Heureusement quelques uns de nos évêques font encore preuve de courage en organisant des messes de réparation, ce que Monseigneur AILLET a d’ores et déjà fait aujourd’hui même !
    Ce sont d’ailleurs, par une curieuse coïncidence, les mêmes prélats qui font l’objet de toutes les attentions vaticanes, sous la forme de “visite fraternelles”…
    La réaction du CEF, apparaît d’autant plus minable, que de nombreux prélats de toutes les régions du monde ont manifesté leur douleur face à ce blasphème qui frappe tous les chrétiens, terme que les évêques de France n’ont pas même eu le courage d’employer !

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