De quoi provoquer la colère des pseudo-féministes :
"Cette année, l’année du 20ème anniversaire de la Conférence de Beijing sur les Femmes, des milliers de délégués et de représentants de la société civile se sont réunis à New York pour faire le bilan des 20 ans de progrès sur les sujets concernant les femmes.
Plutôt que de négocier jusqu’à tard dans la nuit, comme cela se fait chaque année à la Commission sur le Statut des Femmes aux Nations Unies, les pays ont adopté une déclaration politique le premier jour de la conférence qui dure deux semaines. Cette déclaration ne fait pas mention de la santé ou des droits sexuels et en matière de reproduction, termes liés aux questions sur la sexualité et sur l’avortement.
Les groupes féministes se sont fâchés contre le fait que cette déclaration (qu’ils ont qualifiée de « fade ») se soit terminée avant qu’ils n’arrivent à New York. Ils ont appelé cela un « échec politique » car elle ne prenait pas en compte les organisations féministes parmi les autres requêtes. […]
Dans leur déclaration d’ouverture, les nations africaines ont souligné qu’elles « rejettent la promotion de l’avortement en tant que méthode de planning familial » tout en appuyant « la compréhension consensuelle entre les partenaires du couple » sur le nombre d’enfant à avoir ainsi que l’espace entre chaque naissance. Mais elles sont également “préoccupés par la diffusion et l’utilisation de contraceptifs nocifs pour les femmes africaines » et veulent des méthodes « qui ne sont pas néfastes pour la santé des femmes ». […]"