Ainsi, 65% de ces jeunes déclarent que les résultats de leurs examens académiques furent en majorité affectés négativement, alors que 44% de ces derniers avaient un niveau excellent (A). 15% des élèves durent changer d’école suite à la séparation de leurs parents, ce qui affecta aussi les notes.
Les jeunes de parents séparés ou divorcés reconnaissent que cette rupture occasionna chez eux un stress émotionnel qui se manifesta en excès alimentaires, excès d’alcool et de drogues. 13% de ces jeunes admirent avoir tenté des expériences avec la drogue.
Une autre question préoccupante qui ressort de ce rapport est que beaucoup d’adolescents se sentent impliqués par leurs parents dans le processus de rupture. L’un des parents monte le jeune contre l’autre ou bien tente de l’immiscer dans le conflit.
19% ont perdu complètement contact avec l’un ou plusieurs des grands parents.
Et Jeanne Smits nous apprend qu'au Royaume-Uni, 40 % des enfants de 11 ans ne vivent pas avec leurs deux parents.
ABC
C’est heureux que de telles études puissent avoir lieu dans certains pays. Elles montrent en particulier les terribles conséquences négatives de la déchristianisation de la société. Et merci au Salon Beige de nous en faire part.
Je crains que ce type d’études ne puissent pas avoir vraiment lieu en France. Si ma mémoire est bonne, il y a une dizaine d’années, il avait été refusé à un auteur/chercheur (de mémoire je dirais : Élisabeth Bourgois) l’accès à des documents/statistiques de l’INSEE (ou/et à d’autres endroits officiels), car ce qu’il voulait écrire aurait significativement contribué à montrer, chiffres à la clé, combien sont néfastes et destructeurs les choix/lois contemporains, choix/lois faits au nom de la “liberté” (ou plus précisément de conceptions idéologiques de la liberté, loin de la réalité), dans le domaine de l’éthique de la vie humaine et de la famille ; choix/lois qui s’avèrent dans les faits, comme c’était évident a priori pour les véritables penseurs et véritables responsables (ceux qui n’ont jamais la parole dans nos grands médias), catastrophiques au plan des conséquences ; mais “nos chers” “pompiers-incendiaires” qui nous gouvernent et “nos chers” “pompiers-incendiaires” qui cherchent à nous conditionner/“formater” dans les grands médias, l’Éducation Nationale, etc., ne veulent surtout pas voir/comprendre, et/ou que l’on voit et comprenne, les liens de causes à effets dans ces domaines fondamentaux.
Le plus important c’est évidemment les conséquences directes sur la vie des personnes, des êtres humains. Mais il serait intéressant aussi, car c’est à peu près les seules choses que “ces gens–là” comprennent, de mettre en lumière le coût économique astronomique, et à croissance exponentielle, du non-christianisme (et en particulier du non-catholicisme), ce qui se traduit notamment par la multiplication des contrôles, et des contrôles des contrôles, etc., du fait notamment de la disparition d’une morale individuelle chrétienne ( = morale qui est suivie par amour ; et non pas une morale non chrétienne, alors de type kantien ou autre, —serait-elle même “laïque”…—, qui serait alors uniquement, ou au moins premièrement, contraignante).
Sebastien Wolf
Une grande consequence de la séparation des parents, est que suite à cette fracture, les parents, ayant brisé une loi naturelle et divine, n’ont plus aucun droit d’authorité sur leurs enfants. Un enfant devient son propre parent avec, bien sur, les conséquences qui en découlent
pauline
la souffrance silencieuse et niée de ces enfants est un crime aussi grand que celui de l’avortement.
ce silence est monstrueux.
leurs larmes étouffées sont heureusement entendues et les prémices d’un nouveau monde restauré.
Herge
Les coupables sont les parents qui se déchire et ne cherche pas le bien de l’enfants…
Pour ma part, séparé et 2 enfants, ils tiennent la route.
Le grand en 6ème l’an dernier a décroché 2 fois les félicitations du conseil de classe.
Le second en CM1, avec la résidence alternée présente toujours de bon résultat.
Nous continuons à échanger sur leurs scolarité et en relation avec le corps enseignant, nous leurs montrons le chemin a suivre.
L’important, c’est l’amour et l’attention que nous leurs portons, sans critique de l’autre parent. l’autorité parentale est maintenu avec toujours la présence des 2 lors des réunions.
logorrhée
Quand l’enfant n’est plus un devoir, mais un droit, on le “recompose” à la sauce ” divorce réussi ou “intelligent”(DR ou DI) et bientôt on ne sera pas “divorcés” mais démariés ou DR ou DI! Et “c’est tellement mieux que d’être élevés par des parents en conflits dans ambiance de haine (comme mieux que des hétéros qui ne s’occupent pas de leurs enfants ou pédophiles).
La société s’en moque à chaque rupture c’est la société de consommation qui en profite et encaisse : Nouvel appartement, nouveaux équipements et nouveau baby!
Mieux que les équipements ménagers à carte mères programmés pour x utilisations, jetables, la famille jetable vous connaissiez ou la famille zappée…
Circulez il n’y a rien à voir et surtout pas de rapport avec le suicide chez nos jeunes qui monte qui monte ! Par contre le suicide des ado homosexuels là c’est le rejet des parents qui est en cause bien sûr…et même le regard de la société entière !
Les enfants divorcés, ils ne peuvent plus rien dire, plus de souffrance , la société applaudi !
Maintenant on est “in et branché” quand on a des “beaux”-parents avant d’être mariés! Les autres sont des “moches parents”…vous savez les imbéciles qui restent ensembles au lieu de s’éclater !!!
Tant pis si les enfants ramassent les morceaux de cet “éclatement”..
nicolas vallon
Étant séparé depuis maintenant 4 mois, mon épouse et moi ne sommes il faut bien le dire, pas en bons termes et nos 2 enfants en souffrent. Mais nous avons l’intelligence de ne pas parler en mal l’un de l’autre. Pourtant, j’ai fais beaucoup d’erreurs, mais en aucun cas j’ai trompé mon épouse ou ne lui ai levé la main dessus. Elle a fais passé son travail avant tout et a négligé notre mariage, quand de mon côté j’assumais le quotidien (ménage, préparation des repas, s’occuper des enfants, etc). En effet, notre modèle sociétal veut que le père est “diabolisé”, représentant l’oppression faite aux femmes. M’étant isolé au sein même de mon couple et voyant mon épouse qui ne se battait pas pour ce que nous avions construit, j’ai commencé a être d’humeur changeante et ce de manière de plus en plus régulière. Au moment où ne supportant plus les cris et disputes, j’ai dû partir pour me remettre en question et sauver notre couple. Bien lui en a fait, car j’ai pris une décision qu’elle ne voulait pas prendre, depuis je lutte pour récupérer ma vie de famille, car j’aime mon épouse du plus profond de mon être et ne pas voir, ne pas vivre sous le même toit que ma famille est un crève coeur. De plus la politique familiale en France fait que l’on aide pas les familles. Vous voulez tuer une nation, tuer la famille d’abord.
creoff
ON oublie que parfois, il en va de la survie des enfants de se séparer d’une personne dangereuse et incontrôlable. Ils y perdent certes un parent, mais y gagnent le droit de vivre en sécurité physique et morale.
Ou est le devoir du chrétien?
emmanuel2
Pour davantage de rigueur, il faudrait savoir quelle proportion des jeunes de 14 à 22 ans ont recours à l’alcool et à la drogue (et de quelle manière), parmi eux, combien vivent avec leurs deux parents et combien ont vécu la séparation de leurs parents. Autrement, l’on ne prouve pas grand-chose (cela vaut également des difficultés scolaires : combien de jeunes ayant des résultats corrects, voire bons ou très bons, finissent par chuter ?)