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En Israël, sur la base des données de santé de 2,5 millions de personnes, la survenue d’une infection à covidés chez des personnes vaccinées et récupérées a été méticuleusement enregistrée et évaluée scientifiquement sur une période de 17 mois. Les résultats sont frappants et jettent un doute considérable sur les arguments actuels des « experts » et des autorités.
L’étude (à consulter ici) intitulée « Comparaison entre l’immunité naturellement acquise contre le SRAS-CoV-2 et l’immunité induite par le vaccin : réinfections contre percées vaccinales » a été préparée par une équipe de dix médecins et épidémiologistes dirigée par le Dr Sivan Gazit, le Prof. Gabriel Chodick et le Dr Tal Patalon. Il ne s’agit pas de « francs-tireurs » ou d’obscurs « théoriciens du complot », mais de la crème de la crème de l’élite médicale israélienne. Il s’agit de scientifiques de haut niveau des services de santé Maccabi, le deuxième plus grand fournisseur de services médicaux d’Israël, qui dessert plus d’un quart de la population du pays, de l’hôpital universitaire d’Ashdod et de l’université médicale de Tel Aviv.
Résultat de l’étude : le risque d’infection par le Covid-19 chez les personnes vaccinées est 13 fois plus élevé que chez celles qui se sont remises d’une maladie liée au SRAS-CoV-2 et qui ont acquis leur immunité naturellement. Cela incluait explicitement la nouvelle variante delta ; tous les individus vaccinés étaient entièrement vaccinés avec BioNTech/Pfizer (BNT162b2). La probabilité d’une maladie symptomatique grave était 27 fois plus élevée chez les vaccinés que chez les guéris.
Il y a cependant un gros problème avec l’immunité naturelle : elle est gratuite.