220 membres du comité central du Front de libération nationale (FLN), parti au pouvoir en Algérie, ont appelé au départ du secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem (photo), accusé d'exclure "les symboles" du parti des listes des législatives du 10 mai. Ils accusent Belkhadem d'avoir élaboré des listes
"sur la base du népotisme, des allégeances et de l'influence de l'argent, lesquels ont suscité des foyers d'anarchie et de division dans les rangs du parti".
C'est la seconde crise qui secoue le parti (136 sièges sur 389) après celle de 2010 qui a vu l'apparition d'une dissidence comprenant des ministres.
Belkhadem, ministre d'Etat et représentant personnel du président Abdelaziz Bouteflika, est à la tête du FLN depuis 2005 après la chute de l'ancien secrétaire général et ex-Premier ministre Ali Benflis.
Les élections législatives auront lieu le 10 mai.
Daquin
Ils se libèrent de quoi, en 2012, au juste ?
Philippe Boehler
Les Algériens , libres depuis 1962 feraient mieux de développer leur Pays qui a été entièrement “construit ” par les Français entre 1830 et 1962…
Pour cela , ils pourraient rapatrier les millions d’Algériens qui sont en France, souvent à la charge de l’ancien *colonisateur*…dont ils profitent tout en le critiquant….
*Charité bien ordonnée commence par soi-même*
en arabe,dont je ne comprends pas le moindre mot, cela se dit (selon Reverso):
بازار ordonnee يبدأ الزوجان على غرار (التكنولوجية)-كلما