Au sortir de sa rencontre avec Dominque de Villepin, Dalil Boubakeur a demandé à Nicolas Sarkozy "des paroles apaisantes". Le recteur a pris garde de ne pas légitimer les violences, mais il sous-entend que ce sont d’autres paroles, moins apaisantes, du ministre de l’Intérieur qui portent la responsabilité des événements.
Un lecteur, commentant ce post, renvoie d’ailleurs à un intéressant éclairage de Daniel Schneidermann sur les circonstances dans lesquelles M. Sarkozy a employé le mot "racaille", et au rôle trouble de France 2 dans l’écho qui lui a été donné.