Le Centre hospitalier Annecy Genevois vient d’obtenir l’accord de l’Agence de la Biomédecie pour prélever des organes vitaux dans le cadre d’un arrêt volontaire de traitement.
On comprend mieux l'excitation des vautours à l'approche d'une loi sur l'euthanasie. Non seulement il s'agit de faire des économies en éliminant les malades qui coûtent cher, mais cela permettra aussi de récupérer les denrées rares que sont les organes.
senex
Pour améliorer vos retraites, amis seniors, vendez vos organes “en viager”: un rein, une oreille, et plus si affinité…. Société Rapax and Co. NY Usa
En promo de Noel , bébés M/F, couleur selon catalogue en provenance de l’est.Bio garanti; sans OGM. Réduction Par lots de 6. S a v .
ID
Vous vous trompez, Senex, les promos de bébé, c’est après Noël sauf pour les jumeaux. Mon fournisseur me signale des invendus pour défaut de conformité au cahier des charges, saisie des douanes hongroises etc.
Quant aux organes, sachez que j’ouvre une boutique en ligne appelée uncorpspourtous.com
gallifet
Si la Suisse a un petit côté sympathique grâce à sa culture référendaire, il n’en reste pas moins que ce pays pratique des abominations, en voilà encore une illustration.
Alpin
Qu’en pensez-vous ,mon bon docteur Kouchner?
https://www.youtube.com/watch?v=kP5P5uoeQXs
Levi
Peut mieux faire.
En Belgique tout qui n’a pas fait enregistrer à l’état civil son refus de prélèvement d’organe est réputé l’accepter.
Donc en cas d’euthanasie active, et non seulement arrêt des soins, les organes sont prélevables d’office.
seb
Nul besoin d’une loi sur l’euthanasie pour réaliser ce type d’actes.
Si la majeure partie des prélèvements est réalisée en France sur des donneurs en état de mort cérébrale (principalement décédés du fait d’AVC ou d’accidents de la route), les personnes qui font un arrêt cardiaque et n’ont pu être réanimées – ainsi que les personnes en état de mort cérébrale qui font un arrêt cardiaque irréversible – peuvent faire l’objet d’un prélèvement d’organe.
Depuis 2007, les médecins ont aussi l’autorisation de pratiquer de tels prélèvements sur les personnes qui, suite à un accident (une noyade, une intoxication au monoxyde de carbone, certains troubles du rythme cardiaque…)ont vu leur cerveau subir des dommages irréversibles, conduisant les médecins à juger inutile l’acharnement thérapeutique.
Il y a, néanmoins, un bon encadrement :
-L’équipe de réanimation qui assure le traitement et y met fin doit être indépendante de celle qui effectuera les prélèvements sur le défunt
-Celui-ci doit avoir 60 ans au maximum et ne pas s’être opposé au don de son vivant
-Il ne doit pas se passer plus de trois heures entre la mort et le prélèvement et un délai de cinq minutes entre l’arrêt du cœur et le début des opérations de prélèvement doit être respecté
ATTENTION toutefois : pour refuser un tel don de ses organes, il faut s’inscrire au registre national des refus. Certes, ce n’a rien d’obligatoire, mais c’est quand même une bonne assurance, pour éviter les mauvaises surprises, si l’on est hostile à un tel don ou si l’on souhaite faire un “don partiel” de ses organes.
Pour info : http://www.dondorganes.fr/046-comment-exprimer-son-refus
MagikBus
Le cannibalisme médical se porte bien avec l’euthanasie à l’hopital ,pour finir en pièces détachées et alimenter le rentable business d’organes prélevés ….mais on peut l’interdire en faisant une demande écrite au “Registre National des Refus aux prélèvements” car on n’a pas à accepter de se soumettre automatiquement à ce genre de cause moralisatrice et manipulatoire .
Etienne
L’euthanasie de masse va résoudre le problème insoluble des retraites et permettre des gains rapides sur les successions pour l’Etat.Ces petits consommateurs retraités et très âgés ne présentent plus d’intérêt économique mais un coût trop important surtout s’ils décident de vivre encore plus longtemps.
Pourquoi ces arguments ne sont-ils jamais mis en avant alors qu’ils sont aussi l’un des motifs secrets ?
200000 avortements par an, 100000 euthanasiés par an. Les autres n’ont plus qu’à bien se tenir.
DUPORT
Rappelons inlassablement qu’AUCUN prélèvement d’organe n’a jamais été fait et ne sera jamais fait sur un patient mort.
LES ORGANES SONT TOUJOURS PRÉLEVÉS SUR LE PATIENT VIVANT.
Le prélèvement d’organes vitaux EST et a toujours été une euthanasie effective.
zézé
Très bon “senex” – et comme le dit “DUPORT” : donc en un mot : ASSASSINAT !!!!!!!
gautier
@ senex
est-ce qu’il y a remboursement de la marchandise si elle ne nous plait pas ?