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Tribune libre

De la Révolution et son Homme Nouveau

De la Révolution et son Homme Nouveau

La Révolution de 1789 est certes la matrice de tous les totalitarismes, certes elle est héritière de celles anglaise, qui eut lieu un siècle plus tôt, et avant elle de la révolution protestante. Celles-ci ne sont-elles pas les fruits « retour » au paganisme antique de la Renaissance italienne, contre-pied de la Renaissance française du siècle d’or ? La renaissance de l’orgueil humaniste en réaction à celle de l’amour divin qui souleva des montagnes de beauté à la gloire du Christ, qui sont aujourd’hui encore parmi les bâtiments les plus visités au Monde. La Révolution a pour starter l’orgueil et la colère, contre Dieu pour des dévots pour lesquels la mort est un scandale, et la vie aussi d’ailleurs. Réfugiés dans le nihilisme et le désespoir ; leurs carburants sont toutes les haines enveloppées de fausses charités désordonnées ; la finalité la mort de l’Homme, pour un Homme Nouveau sans Dieu, sans âme, « performant » et servile, un robot ?
La Révolution est une rupture anthropologique et eschatologique, elle est ce fruit de l’arbre défendu qui nous promet d’être comme des dieux mais qui fait de nous des esclaves du grappin, déchu de notre humanité, orphelin du Créateur, et qui nous conduit au Relativisme absolu, nous détournant de la Vérité. La Révolution, dites française et universelle, n’a pas eu lieu par hasard chez nous. Elle ne pouvait prendre son élan définitif qu’au cœur de la reine des Nations, au cœur du Christianisme ; pour se répandre partout comme une tumeur maligne qui répand ses métastases sur tous les corps, les cœurs et les esprits. Son antidote est né il y a deux mille ans.

La France est catholique par naissance (elle est née un jour de Noël 496 lorsque le premier de ses rois s’est fait baptisé), par essence et destinée en devenant la fille aînée de l’Eglise catholique (Universelle et bimillénaire). Certes la Gaulle était déjà largement christianisée puisque de nombreux parents et compagnons du Christ ont accosté en Camargue pour évangéliser toutes les Gaulles. La France est catholique, et la vraie Religion catholique est l’âme de ce pays, elle est l’authentique civilisation universelle ; tuez-la et le corps pourrira. Nos plus belles œuvres se sont réalisées avec l’Eglise, ses Saints, ses martyrs et nos rois ; les plus vilaines avec la République et ses suppôts ; il n’y a qu’à comparer la vie des premiers avec les cadavres du Panthéon pour constater ce qui les séparent jusqu’aux oppositions la plus irréductible.

Notre République est anti-catholique par naissance, essence et destinée, sa première mesure consista à abattre l’Eglise en promulguant la Constitution Civile de Clergé avant de procéder à des populicides, par la Terreur républicaine, où au nom de la Liberté et d’une vertu folle et totalitaire jusqu’à faire de désaccords des délits (d’opinion), puis des crimes sans appel, les colonnes infernales éventrèrent des femmes enceints par dizaine de milliers pour rôtir les fœtus ; voici les bonnes et grandes œuvres de la République et de sa Révolution tant célébrées aujourd’hui encore. L’avortement est aujourd’hui moins brutal, puisqu’il est volontaire et sans douleur (paraît-il) pour la citoyenne émancipée et affranchie de toute responsabilité et devoir à l’égard des « touts petits ». Ce qui compte c’est son droit, son choix, si tant est qu’elle soit capable de l’exercer puisqu’il est interdit à quiconque de la décourager par quelque argument que ce soit sous peine de graves poursuites pénales. Aujourd’hui son tout petit, demain ce sera son tour, et peut-être bien de manière volontaire. Une consommatrice consommable ?

La gauche (c’est-à-dire tous les républicains) l’a parfaitement intégré, en cherchant à exclure les catholiques du « pouvoir » ; d’ailleurs ses derniers n’ont adhéré à la répugnante que tardivement sur un malentendu après le toast de l’archevêque d’Alger, Lavigerie, le 18 novembre 1890, date à laquelle la République est depuis installée définitivement chez nous. En cherchant un compromis avec la République les Français, et leur Eglise, ont subi 15 ans plus tard la Loi anti-catholique de 1905 dites sur « la laïcité », avec la construction d’une première Mosquée, où on y apprend par cœur, dès le plus jeune âge, selon l’usage, des sourates, comme la 9-29 qui commande de tuer les Juifs et les Chrétiens jusqu’à ce qu’ils s’humilient et paient la dîme. On ne peut pas servir deux maitres à la fois. Et pourtant, l’Eglise cède parfois à la tentation d’un pacte contre nature avec des hérésies et des modes, alors que sa mission est de témoigner du Christ qui est seul Vérité, Chemin et Vie. Sa mission est de demeurer le phare indispensable pour toute l’Humanité dans ce monde de désordre et d’iniquité.

La Révolution est la plus grande farce historique, et la page la plus noire et sombre de notre histoire, le plus grand malentendu et le pire mensonge. Au nom de ses fameux principes, la République imposera la semaine à dix jours de son calendrier révolutionnaire aux ouvriers, supprimera les fêtes religieuses chômées, volera les biens de l’Eglise qui étaient pourtant mis à la disposition des plus pauvres pour les revendre plusieurs fois jusqu’à aboutir parfois à leur destruction, interdira des corporations (qui regroupées pourtant patrons et ouvriers), interdira aux ouvriers de se regrouper pour défendre leurs intérêts, instaurera un passeport ouvrier empêchant ceux-ci de quitter librement un patron, instaurera progressives de cadences de plus en plus infernales avec juste de quoi survivre au nom du progrès et de la liberté. Que d’interdictions au nom de la Liberté, que d’inégalités au nom de l’Egalité ! Un esclavage révolutionnaire comme plus tard en Union Soviétique, un servage républicain bien pire que ceux des anciens régimes au nom de la Fraternité. Les esclaves étaient parfois mieux traités. Aujourd’hui avec les mêmes principes pervers et cyniques, les nouveaux esclaves sont les migrants importés par des réseaux maffieux, pour notre économie et sauver nos retraites parait-il, en bonne intelligence avec les institutions européennes, le grand capital et des ONG financées elles aussi par nos impôts. Dénoncer les traites humaines de la Renaissance pour mieux distraire les Français du grand remplacement en cours actuellement. Certains déclament partout espérer la disparition du Français de souche sans que cela ne soit condamné par qui que ce soit. C’est la dénonciation du grand remplacement qui est condamnée par ce Droit injuste et cette Justice gauche.

La Révolution constitue une rupture anthropologique et eschatologique en ceci qu’elle voulut créer un Homme nouveau, orphelin de Dieu et du Père de la Nation, le Roy très chrétien ; c’est une sorte de redite de la chute d’Adam qui gouta au fruit défendu qui devait le faire comme Dieu. Emancipée du Décalogue, la République discute de tout, elle embrasse tous les sujets et totalement, elle est totalitaire. Elle produit des lois qui prétendent décider du sexe, des unions matrimoniales les moins naturelles, de l’éducation de tous, en promouvant les valeurs les plus destructrices. Il est interdit de discriminer l’homme de la femme, le Français de l’étranger, l’enfant de l’adulte ; la promotion de la pédophilie reviendra donc en force. Nous sommes tous égaux, même si certains sont plus égaux que d’autres ; il y a le génocide de l’Holocauste (holocauste signifiant sacrifice à dieu, de quel dieu s’agit-il ?) érigé en Religion universelle et obligatoire depuis Nuremberg et les génocides de secondes catégories (comme ceux commis par la Terreur Républicaine pourtant matrices de tous les autres), et puis il y a le droit d’Israël, un Etat officiellement raciste et en réalité antisémite, au nettoyage ethnique des vrais sémites qui se trouvent pourtant chez eux depuis des millénaires, par des talmudistes, kabbalistes, messianistes, qui n’ont plus rien de sémites, ni de Juif d’ailleurs puisque leur religion authentique a disparu avec la destruction du Temple après la résurrection du Christ, le remplacement de la Talnakh par le talmud (contenant des délires pédophiles, racistes et anti Christ), le Zohar, la kabbale ; le peuple Hébreux a largement été remplacé par une multitude d’autres peuples dont les Khazars. Le Peuple élu est le messie selon eux, à moins que ce ne soit le prince de ce monde, celui qui rejette le Christ. Il y a eux et nous, c’est-à-dire les autres, les goys, les animaux. Aucune discrimination entre nous, seulement eux et nous. Même les Américains évangélistes sont d’accord, au nom de folles interprétations libérales, contre l’Eglise et l’Esprit Saint.

La République vous ordonne aussi ce que vous devez croire ! La République a ses Lois et elles sont au-dessus de celles du Décalogue donné à Moïse pour son Peuple et confirmé par le Christ pour toute l’Humanité. Les révolutionnaires légifèrent sur tout selon leurs caprices, leurs lubies, émancipés de toute morale vraie mais selon des règles « éthiques » extrêmement mouvantes et paradoxales, ainsi la peine de mort pour les pires criminels est abolie, après avoir permis à la République de s’installer sur des milliers de charniers, pour produire aujourd’hui 250.000 infanticides dans le ventre de maman par an, les fœtus finissent dans des fours crématoires, et le nombre augmente chaque année, contre 800.000 naissances dont le nombre baisse chaque année, particulièrement parmi les couples Français de souche, quel parallèle éblouissant avec les charniers des colonnes infernales de la Terreur républicaine ! Il est ainsi aujourd’hui interdit de considérer comme étant un crime une interruption volontaire de grossesse sous peine de risquer 2 ans de prisons selon l’article L2212 du Code Pénal, s’opposer aux 11 injections obligatoires de vos nourrissons vous fait prendre le risque que vos enfants vous soient retirés pour être placés dans des lieux généralement glauques des foyers gérés par la République où sévissent la prostitution à grande échelle des mineurs. Vous ne pouvez-vous opposer au changement de sexe de votre enfant, vous ne pouvez non plus vous opposer à ce qu’il ait des relations sexuelles, avec une majorité sur la question qui baisse continuellement, de la même manière qu’il vous sera prochainement interdit d’empêcher le suicide de vos proches, y compris d’un de vos enfants qui connaitrait un désespoir passager, un chagrin d’amour, un obstacle supposé insurmontable. Demain les dépressifs, les ratés, « les loosers », les improductifs, les inutiles déclarés pourront prochainement mettre un terme à leur existence minable, vidée de sens au sein de la « Start-up-Nation » du révolutionnaire Macron. Comme pour la première loi dépénalisant l’avortement, comme pour la première loi sur le PACS, nos « élus » ont commencé à entrebâiller le droit au suicide assisté ; nul doute que cette première disposition va permettre ce que la République appelle « le progrès », la porte ouverte aux quatre vents de la barbarie. Nous pouvons ensuite imaginer que ceux ne se fondent pas dans la République, les plus rebelles aux lois démoniaques de la répugnante, les ennemis de la République seront condamnés au suicide assisté un jour pour raisons économiques davantage que pour des motifs politiques officiellement bien sûr, ou parce que leur incarcération sera rendue suffisamment insupportable (une torture indicible mais totale d’un tout nouveau genre) pour qu’ils choisissent d’en finir de leur plein. Plus de foi, plus d’espérance, plus de Dieu, pas de Christ, on vous promet un sommeil éternel, vous ne vous apercevrez de rien, vous ne vous rendrez compte de rien ; les médecins vous accompagnent, ils vous soignent…A la façon républicaine ; et n’oubliez pas de vous faire vacciner contre le COVID pour devenir un héros républicain, pour avoir le droit de voyager, d’aller au cinéma ou dans un parc d’animation : le contrôle social partout sur la planète.

Les obstacles à la révolution et à l’émergence de son Homme Nouveau doivent disparaitre « déontologiquement ». Vous n’aurez plus rien, et vous serez obligatoirement heureux ou vous devrez choisir de mourir. Le bonheur sera obligatoire par simple décret, car « La Loi peut tout faire, la loi ne peut mal faire » prétendait Rousseau.

La Révolution a enfin son Homme Nouveau, après l’Homo Islamicus, le Citoyen de l’An 1, l’Homo-Sovieticus, la République mondiale et sa Révolution ont accouché de l’Homo Gregarius varietas Idiota, le Mougeon pour les intimes, hybride entre le mouton et le pigeon ; ce pourrait être aussi un perroquet, tant il répète les sottises de la boîte à image. C’est un eunuque déconstruit non genré. Le mougeon doit être aussi tolérant que son ignorance est crasse ; toutes les erreurs sont tolérées puisqu’elles s’opposent à la Vérité. L’Homme Nouveau doit aboyer avec ses maîtres et remuer du coccyx en clapotant des mains à la moindre injonction. Dominé par une peur qui ne le quitte jamais, même en usant des drogues de toutes sortes, vendues chez l’apothicaire ou le dealer, le mougeon est désespéré, sans foi, libre penseur, mais crédule à toutes les sottises et mensonges, le ministère de la ré-éducation antinationale s’étant chargée de l’éduquer en évitant de l’instruire, on lui a lessivé l’âme et le cerveau. Il aime le sport à la télé, particulièrement la balle au pied où il supporte des bandes d’ignobles crétins, jusqu’à se mettre la rate au court bouillon pour offrir à ses idoles des millions ; c’est le seul patriotisme qui lui est autorisé, le regard vitreux il défile, avec son drapeau, en sifflant dans une trompette, un peu comme les employés et ouvriers aux ordres de syndicats sociaux traitres.

Le mougeons est cerné et fataliste car nous sommes en liberté surveillée partout et tout le temps, jusqu’au moindre point de détail, et avec l’intelligence artificielle et les caméras les choses vont s’aggraver. La République extrapole déjà vos supposées pensées et vous amende si vous ne croyez pas en quelques vérités nécessaires et révélées par la gauche et soutenues par la droite républicaine, la seconde étant toujours à la remorque de la première.

Notre mougeon a donc peur et il masque sa peur sous une parodie de courage en allant au secours des victoires imposées du moment. Son seul crie autorisé est celui d’hurler contre le fascisme, pourtant disparu avec Mussolini, pendant que ses maîtres bâtissent le meilleur des mondes et 1984. Le mougeon a donc de la sympathie pour le marxisme et son paradis d’esclaves, l’islam et son paradis de vierge plus ou moins pubères, à l’image des obsessions de leur grand Momo, et bien sûr la Révolution, mais aucunement pour leurs victimes respectives jusqu’au jour où il se retrouve piégé à son tour par les conséquences dont il chérie pourtant les causes puisqu’il est capable de réclamer encore une révolution. Cet énergumène est une toupie, une girouette aussi. Tantôt bourreau, tantôt victime, le mougeon est versatile et conformiste, comme sous l’épuration, qui se poursuit aujourd’hui encore avec la Révolution culturelle, au travers wokisme, même s’il critique le conformisme, comme il se doit. Le citoyen Mougeon n’a qu’un parti celui des lâches, et tous nos partis politiques en France aujourd’hui sont ceux des lâches ; le pluralisme illusoire des partis politique est trahie par leur logorrhée commune. Il y a des malins qui vous affirment vouloir combattre le système de l’intérieur, ils sont déjà de l’intérieur. Ils se réclament d’ailleurs des valeurs de la République, ils voudraient marcher debout et droit après avoir rampé volontairement ; c’est peut-être cela les fameuses valeurs de la République ?

La Révolution a aussi son art, l’art dégénéré, et son public de parvenus mougeons, avides de promotion sociale et de carrière, en rupture totale avec nos anciens, et leur notion authentique du beau, du vrai, du bien. Le Mougeon méprise les Bidochon et se pique d’être ouvert, cultivé et intelligent, au point que vous lui feriez même acheter de la merde en conserve mise en boîte par « l’artiste BEN », avant une génuflexion devant un gribouillage hors de prix subventionné par nos impôts et étalé sur les murs de nos musées d’art CONtemporain. C’est l’art des copains et des coquins. Le mougeon a remplacé les bons principes de l’intolérance catholiques qui participèrent au meilleur de notre Civilisation par les idoles Tolérance et Relativisme, jusqu’à finir par considérer le cannibalisme ou la nécrophagie comme un point de vue acceptable, et déjà comme un art, mais pas encore culinaire, comme dans certaines “cultures” disent-ils, mais cela viendra car « on n’arrête pas le progrès », et puis il faut être « moderne », et quelques autres mantras qui autorisent tous les délires. On se sert déjà sur nos morts sans autorisation nécessaire, pourquoi ne pas les manger ? Après tout c’est un recyclage comme un autre, c’est bon pour la planète et pour l’économie ; ça pourrait même créer des emplois ; il faut vivre avec son temps, n’est-ce-pas ? Les révolutionnaires trouvent leurs “progrès” dans la barbarie des temps les plus reculés. Les mots annoncent leurs idéaux, et leurs maux, les conséquences qu’elles engendrent.

Discriminer est donc interdit car discriminer c’est choisir, et choisir c’est oser, aimer, réfléchir et agir. Il s’agit donc de nous abrutir, de nous affadir, de nous avachir pour mieux nous soumettre. Ceux qui braillaient autrefois ‘il est interdit d’interdire” sont aujourd’hui à la manœuvre. Il y a une association entre la liberté d’expression et celle de penser. Empêchez l’une, vous empêcherez l’autre. D’ailleurs le républicain se refuse de lui-même toute forme de discrimination, c’est un citoyen du monde non genré, c’est l’Homme Nouveau tant espéré.
“Tout est relatif, voici la seule vérité absolue” écrivait le père du relativisme Auguste Comte. Tout se vaut, tout est indifférencié, bourreaux et victimes, consommateurs et consommables jusqu’au libre arbitre des individus noyé sous la contingence sociale qui explique tout, qui justifie tout: c’est encore Rousseau, Marx, Freud, et les matérialistes, c’est-à-dire l’Homme sans Dieu, cet animal par hasard, un mort en permission, un amas d’atomes plus ou moins organisé, une machine si proche des robots que nous souhaiterions créer et un jour les considérer comme nos égaux, par tolérance sans doute. Baudelaire disait aussi que la plus grande ruse du diable est de faire croire qu’il n’existe pas. Son existence est en effet l’une des preuves de l’existence de Dieu. La Révolution n’a aucune limite, seulement celle d’en finir avec l’Homme (fait à l’image de Dieu).

La République veut d’abord extirper le Christ du cœur des Français, et particulièrement de celui des enfants pour les laisser nus, seuls, atomisés, séparés, vulnérables à tous les mensonges, peu importe lesquels, tant qu’ils sont suffisamment grossiers pour masquer la Vérité ! Nos enfants appartiennent d’ailleurs déjà à la République qui se charge de leur éducation, même sexuelle dès le plus jeune âge. La République a remplacé le Père après l’avoir tué. La République est hermaphrodite, elle va maintenant remplacer la mère.

Toutes les révolutions sont “bourgeoises” comme ils disent ; ce terme de bourgeois masque une réalité plus sombre, celle de l’argent pour l’argent. Et il s’agit toujours de s’emparer du pouvoir politique lorsque l’on détient le pouvoir économique. Autrefois nos rois très chrétiens qui soumettaient le Royaume au Décalogue, avec l’Église, empêchaient les usurpateurs et usuriers de s’emparer du pays et de ses sujets. La République, elle au contraire, s’est toujours chargée des intérêts de ses commanditaires ; et parmi les commanditaires il y a aujourd’hui aussi un peu nous tous. Le système nous a impliqués dans notre propre oppression, “l’oppression citoyenne” comme ils pourraient dire, au travers des fonds de placements, faussement éthiques et vraiment rapaces (fonds spéculatifs, fonds de pension, fonds de fonds, etc…). C’est finalement cela les fameuses valeurs de la République : l’argent, le CAC 40 et des placements qui participent à nos malheurs. Au nom de leurs valeurs les banques accompagnent l’épuration, comme la répression, et clôturent les comptes bancaires des opposants au régime, comme en Chine communiste ; c’est encore le crédit social partout !

Ce n’est donc pas une Révolution qu’il nous faut mais une Contre Révolution pour en finir avec la Révolution qui n’en finit pas de nous faire tourner en rond jusqu’à nous étourdir avant de nous occire. La Révolution est chez nous indissociable de sa République. La Révolution c’est le retour aux temps cycliques et barbares, la contre-Révolution est l’antidote nécessaire et vitale pour sauvegarder la Civilisation Chrétienne, c’est le temps linéaire, continue et progressif pour toute l’Humanité depuis la naissance du sauveur, du Prince de la Paix, toute l’Humanité est soumise à son temps alors qu’il est mort sur une croix après avoir enseigné 3 ans. Quel miracle ! Il faut être aveugle obstinément pour refuser de le voir. Et son Église a bientôt 2.000 ans malgré sa dimension humaine si imparfaite, qui nous ressemble à tous.

Si la Révolution a pénétré l’Église, la Contre Révolution, en son sein, lui a aussi immédiatement emboîté le pas avec l’Archevêque français Lefebvre, il ne fut pas français par hasard. Si vous ne vous défendez pas, si vous ne défendez pas votre pays et la vraie foi catholique qui est notre âme, d’autres continueront de détruire l’une et l’autre pour nous diluer dans un gouvernement mondial qui nous asservira tous jusqu’à notre destruction et extermination. Ceux qui nous dirigent n’aiment ni Dieu, ni les Hommes. Ils adorent l’adversaire.

Nicolas ZAHAR

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3 commentaires

  1. bonjour à tous ,
    Celui qui a écrit l’article, Nicolas ZAHAR est vraiment génial , bravo et merci .

  2. À bas la gueuse.

    Vive le Roy !

  3. Pas mal – un peu trop long et beaucoup trop de fautes d’orthographe, de grammaire, de français.

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