Communiqué de Laissez Les Vivre SOS futures mères :
"Hier, 25 novembre, on célébrait "la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes". Aujourd'hui, 26 novembre, on commémore le 40° anniversaire du discours de Mme Veil à l'Assemblée Nationale pour présenter le projet de loi d'avortement Giscard-Chirac qui a généré, à ce jour, selon les chiffres mêmes de l'INSEE près de NEUF MILLIONS d'exterminations d'enfants dans le ventre de leur mère.
Assurément, le rapport est direct : Premièrement, l'avortement constitue par lui-même une double violence envers la femme et l'enfant tué en son sein. En second lieu, dans près d'un cas sur deux, l'avortement est imposé à la femme enceinte par tous : famille, proches, ou amis, le père, les grands-parents, le proviseur, l'employeur, les camarades, les collègues, le médecin et/ou l'infirmière scolaire, tout le corps médical et les services sociaux alliés pour supprimer le petit être sans défense.
L'oeuvre SOS FUTURES MERES en est le témoin direct plusieurs fois par jour depuis 1971. Tout d'abord, l'odieux chantage : "l'avortement ou la porte" (en fait, souvent les deux successivement et même en pleine hiver pour celles qui n'ont pu y résister). Dans 25 à 30% des cas, les violences physiques extrêmes tels que fractures ou lésions internes quand ce n'est pas le meurtre de l'enfant, ou, même ensemble, de la mère et l'enfant. Parfois même empoisonnement de l'enfant à naître par pilule abortive (dissimulée dans un jus de fruit)
Sur tous les plans, l'avortement ne constitue-il donc pas la plus ignoble des violences ? Aussi LAISSEZ-LES-VIVRE SOS FUTURES MERES vous invite à participer à la 10° grande Marche Nationale pour la Vie le dimanche 25 janvier 2015 à Paris."