Le président de la République Emmanuel Macron interviendra le 28 octobre devant le Grand Orient de France, qui célèbrera son 250e anniversaire, l’occasion d’évoquer son projet de loi criminel sur la fin de vie.
Il déposera aussi cette semaine au Conseil d’Etat un projet de loi visant à inscrire dans la Constitution l’interruption volontaire de grossesse.
Le texte devrait être présenté en Conseil des ministres “d’ici à la fin de l’année”, a confirmé le chef de l’Etat. Et examiné au Parlement au cours des “premières semaines” de 2024.
Ce projet de loi, contrairement à la proposition de loi sur le sujet actuellement en navette parlementaire, permet d’éviter la délicate étape d’un référendum. Et donc “de donner aux opposants au texte, qui seraient en réalité des opposants à l’IVG, une tribune totalement disproportionnée par rapport à ce qu’ils représentent en réalité”, justifiait l’Elysée.
Sur France 3, Marine Le Pen a jugé l’initiative “complètement à contretemps […] de ce que vivent les Français”. Pour elle, “ça ne sert à rien, puisqu’aucun mouvement politique […] ne demande la remise en cause de l’IVG”. Sic.
Reste à savoir si la rédaction retenue par le chef de l’Etat séduira au moins trois parlementaires sur cinq lors du Congrès — la réunion du Sénat et de l’Assemblée nationale, indispensable étape pour modifier la Constitution.
Entre le “droit” à l’IVG, retenu par l’Assemblée nationale, et la “liberté” préférée par le Sénat, Emmanuel Macron tente le “en même temps”. Dans sa proposition, l’article 34 consacrerait “la liberté” d’une femme à avoir recours à l’avortement, “qui lui est garantie”.
Alors que la France a battu en 2022 son record du nombre d’enfants massacrés, avec plus de 234000, les partisans de ce génocide en veulent encore plus.
Gaudete
Ce type est un fou dangereux, il n’est pas capable de faire un gamin tout comme la plupart de sa clique de dégénérés qui l’entoure et il nous gonfle avec ce droit des femmes . Est-ce qu’il a demandé à l’enfant à naître s’il était d’accord pour qu’on le tue? Non pourtant l’enfant lui il a bien le droit de vivre. Et évidemment il va se réfugier près de la secte des ténèbres d’ailleurs n’est-il pas le diable incarné? C’est sûr qu’il n’y a rien de plus important que de tuer des enfants est de se préparer à tuer les vieux. Pauvre type, normalement il faudrait prier pour lui mais c’est tellement difficile
Collapsus
Eh la Marine, si les partis savaient représenter l’opinion de l’ensemble des Français, ça se saurait !
colcombet
Cela confirme que le Grand Orient est bien le commanditaire de ces lois et Macron est son … valet.
Contrepartie pour Macron : une police totalement infiltrée par le GO, qui continuera à se comporter en garde prétorienne de ce pouvoir bien fragile qui est celui de Macron, face à une majorité écrasante de français qui n’ont pas confiance en lui.
POMMIER
Le problème n’est pas la séparation de l’Eglise et de l’Etat mais de la séparation de la franc-maçonnerie et de l’Etat.
MarcAntoine
Quelques personnalités se sont inquiétées, à raison, au moment des discussion sur la retraite qu’il manquait de cotisants … en effet près de 8 millions de bébés manquent à l’appel depuis le vote de cette loi….
christianlair
Ce ” malfaisant ” va prendre ses directives auprès de ses copains-la-truelle !… Mais ça , tout le monde le sait !!! Il est totalement incapable de diriger seul un pays , lui qui ne saurait même pas diriger un camp de scouts !!!……………… Impensable…….
Garde67
Qu’il me soit permis de rappeler ici l’origine du mal qui ne cesse, hélas, de gagner du terrain.
Diderot dans son Encyclopédie écrivait : « C’est à la volonté générale que l’individu doit s’adresser, pour savoir jusqu’où il doit être homme, citoyen, sujet, père, enfant, et quand il lui convient de vivre et de mourir. »
C’est le programme révolutionnaire de 1789 qui s’applique dans toute son horreur. Avortement, euthanasie, homosexualité, transhumanisme trouvent dans cette déclaration leur “légitimité”. Cette volonté générale, qui n’est pas autre chose que celle des groupes de pressions (maçonnique en autre), décident qui “doit vivre” et “qui doit mourir”, qui doit parler et qui doit se taire, qui est “digne” d’être père ou enfant ou qui n’en n’est pas digne.
Peu importe que l’on s’appelle Macron, Sarkozy ou Hollande, que l’on soit de droite ou de gauche. Tous se sont soumis à cette dictature démocratique dans laquelle la vie humaine n’a aucune valeur, autre que celle du marché.
La seule différence entre la gauche et la droite, est que la première assume la révolution alors que la seconde s’y soumet servilement. Mais le résultat final est le même.
Il ne sert à rien de vociférer contre l’actuel locataire élyséen.
Il ne paraît, en revanche plus constructif, de mobiliser toutes les bonnes volontés pour remettre d’aplomb notre belle France.
Je laisse à la méditation de tous cette belle déclaration de Cicéron (homme politique et philosophe romain mort assassiné en 43 avant JC) :
« La loi dans son essence n’est ni une invention issue du génie des hommes, ni une décision arbitraire des peuples, mais quelque chose d’éternel qui règne sur le monde entier par la sagesse de ses commandements et de ses défenses. Son origine n’est autre que la pensée de la divinité édictant selon la raison des obligations et des interdictions qui s’étendent à toute chose. Elle régit toutes les nations et tous les temps ».
Cinquante ans plus tard, cette divinité, évoquée par Cicéron, prendra chair de la Vierge Marie pour le grand bonheur de l’humanité.
Il est urgent de revenir à cette source de Vie et de Vérité.