Partager cet article

Institutions internationales

Défendre et promouvoir la primauté éducative des parents à l’ONU

Défendre et promouvoir la primauté éducative des parents à l’ONU

Communiqué des Juristes pour l’enfance :

Aujourd’hui 8 septembre 2025, Juristes pour l’enfance collabore à un évènement parallèle à l’occasion de la 60e session ordinaire du Conseil des droits de l’homme, sur le thème :

« Donner aux parents les moyens de protéger la santé et le bien-être des enfants ».

Cet évènement se déroule de 13 h 00 à 14 h 00Salle de conférence V, Palais des Nations, Genève

Co-organisé avec la Mission permanente de la Hongrie auprès de l’Office des Nations Unies à Genève et ADF International, cet événement veut mettre en avant les meilleures pratiques pour garantir que les parents soient reconnus, soutenus et responsabilisés dans leur rôle et leur responsabilité essentiels de protection des droits et du bien-être de leurs enfants, avec un accent particulier sur les domaines de la santé et de l’éducation.

Après l’organisation le 13 juin dernier à Paris d’un colloque sur le principe « Parents, premiers et principaux éducateurs », Juristes pour l’enfance souhaite contribuer à conforter et restaurer des parents dans leur primauté éducative : sauf dans un cas de défaillance ou une situation déviante exceptionnelle, les parents sont en effet les mieux placés pour prendre soin de leurs enfants et la responsabilité de l’éducation de ces derniers leur incombe au premier chef.

L’évènement portera une attention particulière au rôle des parents de protéger leur enfant en questionnement de genre et en difficulté avec son identité sexuée, avec les prises de parole de :

Chloe Cole, une jeune détransitionneuse américaine engagée pour préserver les enfants de la transition de genre, afin (voir la chaîne Youtube de Chloe ICI).

Reem Alsalem, Rapporteuse spéciale pour l’ONU sur les violences faites aux femmes et aux filles, qui a notamment dénoncé dans son rapport présenté le 16 juin 2025 au Conseil des droits de l’homme à Genève, la confusion entre sexe et identité de genre, et recommande aux États de « Veiller à ce que les termes « femmes » et « filles » ne soient utilisés que pour désigner les personnes de sexe biologique féminin et que cette définition soit reconnue par la loi » (§ 62 a.) (voir le rapport ICI).

L’évènement donnera encore la parole à :

  • Madame Zsófia HAVASI, Représentante permanente de la Hongrie auprès des Nations Unies à Genève,
  • Monsieur Giorgio MAZZOLI, Directeur du plaidoyer auprès des Nations Unies pour ADF International
  • Docteur Fanni LAJKÓ, analyste, du Center for Fundamental Rigths.

Juristes pour l’enfance est engagé de longue date pour préserver les mineurs du mirage des parcours de transition de genre, et plaide en faveur d’une prise en charge globale de leurs différentes difficultés, comme le recommandent aujourd’hui de nombreux pays qui mettent un coup d’arrêt aux transitions de genre chez les mineurs.

« Nous nous réjouissons de porter au sein de l’ONU la reconnaissance du rôle primordial des parents pour protéger et accompagner leurs enfants, dans ce domaine spécifique des questionnements de genre comme en ce qui concerne l’éducation de l’enfant en général. Le statut des parents comme premiers et principaux éducateurs de leurs enfants est en effet universel », commente Aude Mirkovic, Présidente de Juristes pour l’enfance.

Partager cet article

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services