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France : Société

Déficit public du “tocard de la finance”

Déficit public du “tocard de la finance”

Selon l’INSEE, en 2023, le déficit public s’élève à 5,5 % du PIB, la dette publique à 110,6 % du PIB. Voilà les résultats du “quoi qu’il en coûte” et de l’argent gratuit… Mais surtout ne supprimons pas l’Aide Médicale d’Etat pour les immigrés clandestins, remboursons les 230 000 avortements annuels, distribuons gratuitement des milliers de préservatifs, finançons la presse et les associations gauchistes… Ce n’est pas l’option de Bruno Le Maire :

C’est bien plus que les 4,8% de déficit réalisés en 2022 et que les 4,9% initialement prévus par le gouvernement pour 2023.

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13 commentaires

  1. Il fallait quand avoir des tombereaux de merdes dans les yeux pour ne pas savoir que ces tocards n’ont jamais été des économes avertis

  2. Ouvert à tous les débats, vraiment?
    Que pense donc Le Maire de couper les vannes de l’immigration?
    En économisant sur l’AME, le remboursement de l’avortement ou de la pilule, la surpopulation carcérale, les aides diverses et variées à des personnes qui n’ont rien à faire en France pour commencer?
    Le Maire est d’une hypocrisie et d’un cynisme incroyable.

  3. Que la droite propose une alternative !
    Ce ne sont pas des dirigeants que nous avons, ce sont des spoliateurs compétents .
    Savez-vous que les élus coûtent à la France 186 milliards de salaires par an ?
    Le redressement économique est facile, diminuons le nombre d’élus par 10 , ce sera 167 milliards d’économisés, ces zélus produiront à la place des voitures ou des artichauts, créeront ainsi de la richesse et la France sera surtout mieux gouvernée.

    https://youtu.be/0UNtsYh9NOc?si=e85535mXjucka6vZ

  4. “Des remboursements médicaux selon les revenus” : en clair, ceux qui cotisent le plus seront les moins pris en charge.

  5. Quelques idées d’économies :
    – suppression des régions et des communautés de communes. J’ai connu jadis la structure “commune – département – administration centrale” ;
    – suppression des ARS et de tous leurs parasites ;
    – suppression du CESE, voie de garage pour recyclage des copains et des coquins ;
    – arrêt des subventions aux syndicats, aux journaux et aux ONG et autres associations subversives ;
    – AME réservée aux urgences avérées ;
    – suppression des centaines de comités théodule ;

    Liste non exhaustive, naturellement.

    • complètement d’accord sans oublier tout l’argent que macronor envoie à l’Ukraine , aux pays en voie de développement comme la Chine par ex. ou le milliard envoyé en Afrique du Sud pour qu’ils n’emploient plus de charbon. Et enfin proposer une loi qui oblige les responsables à rembourser à l’état l’argent qu’ils ont dilapidé, simplement les ex que je viens de donner et qui ne sont pas exhaustifs

    • Déjà,avec ce que vous mentionnez il y a presque de quoi rétablir l’équilibre !
      On pourrait aussi supprimer les aides aux pays qui se portent bien mieux que nous, ça ferait aussi beaucoup d’argent.

  6. Pauvre Mozart, être ainsi comparé à ces parasites nullards, sa musique ne serait que du rap …

  7. 2024 est le cinquantième exercice des finances publiques déficitaires.
    C’est le tandem Giscard – Chirac qui a inauguré ces comptes publics incessamment déficitaires et calamiteux en 1974.

  8. Ce que je trouve pharamineux c’est qu’on compare toujours le déficit budgétaire au PIB. Est-ce que je compare mon découvert à la banque au prix de mon logement ? 5,5 % de déficit par rapport au PIB masque que le budget de l’État n’est financé qu’à 65 % des dépenses ! Tous les trois ans il manque une année de budget ! L’État 598 Mds d’€ de dépenses et 442,7 Mds d’€ de recettes

  9. Nous sommes en théorie dans une démocratie où les dépenses publiques sont contrôlées par les Assemblées. Aucune protestation de leur
    part lorsque Macron dépense plusieurs milliards dans des cabinets de consultants sans demander l’avis à qui que ce soit. Explication :
    lq constitution prévoit que l’on ne peut juridiquement rien contre lui pour ses actions et dépenses passées, présentes et avenir.

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