Suite à la décision du gouvernement, qui ne sera effective
qu’en septembre 2013, la secrétaire générale du Planning familial Marie-Pierre Martinet déclare :
«S’il y a un problème sanitaire, c’est tout à fait normal qu’on
dérembourse mais pourquoi on les laisse sur le marché dans ce cas?»«que va-t-il se passer pour les femmes qui prennent ces pilules ?»
Aussi, elle réclame le remboursement de tous les moyens (patches,
anneaux, toutes les pilules…).
Le président de la commission de transparence de la Haute autorité de
santé, le Pr Gilles Bouvenot, a réagi en estimant que les pilules de
troisième génération sont «plus dangereuses»que celles de deuxième génération, mais ne doivent pas pour autant être arrêtées immédiatement. Sic.