C'est ce que pense Alexandre Devecchio sur Le Figaro :
"La visite de François Hollande au chevet de Théodore, dit Théo, 21 ans, blessé jeudi 2 février à la cité de la Rose-des-Vents d'Aulnay-sous-Bois lors d'une interpellation d'une extrême violence n'a rien apaisé. C'était pourtant un geste fort et rare. Pour mémoire, le président de la République n'avait pas rendu visite aux policiers gravement brûlés par une attaque au cocktail Molotov à Viry-Châtillon le 8 octobre 2016. Quatre agents des forces de l'ordre ont été mis en examen, et, si bavure il y a eu, celle-ci doit être sanctionnée de manière exemplaire. Pour autant, en quoi la #justicepourthéo passe-t-elle par la destruction de la gare routière de Bobigny? En quoi justifie-t-elle les voitures incendiées, les bus caillassés ou les commerces vandalisés à Argenteuil? Est-ce bien pour Théo que retentissent les «Allah akbar»? Au-delà des dysfonctionnements de la police, l'affaire Théo est révélatrice des fractures françaises. Elle met en lumière la sécession de certains quartiers et la désaffiliation d'une partie de la jeunesse. Elle témoigne de l'enracinement d'une sous-culture de la haine qui rend possible l'embrasement de la violence à la moindre étincelle. Les casseurs ne se vengent pas seulement des policiers, ils marquent leur territoire et expriment leur ressentiment alimenté par le discours victimaire. Aidé en cela par les professionnels de l'antiracisme. Ceux-là mêmes que le premier ministre, Bernard Cazeneuve, recevait hier à Matignon après deux jours d'affrontements.
[…] Depuis les émeutes de 2005, les fameux territoires perdus de la République n'ont cessé de s'étendre et les fractures de se creuser. «Il y a un toboggan dans lequel on est installé depuis plusieurs années qui nous amène à l'irréparable, puisque maintenant ces quartiers produisent des terroristes», constatait Malek Boutih en 2015, lors du dixième anniversaire des émeutes. «Comment peut-on éviter la partition?» s'interrogeait Hollande dans un incroyable aveu rapporté par Gérard Davet et Fabrice Lhomme. La partition avec la France des cités, mais aussi avec la France périphérique. Les «petits Blancs», victimes de l'insécurité physique, économique et culturelle, chassés des grandes métropoles comme des banlieues sensibles, font eux aussi sécession. Au cri de «Justice pour Théo!», ils risquent fort de répondre, dans les urnes, par «On est chez nous!»."
Patricia
J’y étais en novembre 2005, dans la cité sensible dont je vous ai parlé à plusieurs reprises…
Je peux vous dire que j’ai vu de l’intérieur ce qui allait se passer dans tout le pays, un peu plus tard, dans les années à venir.
J’ai vu au sens premier du terme qu’il s’agissait en fait d’une répétition…
J’ai demandé au Bon Dieu de me sortir de là le plus vite possible.
Seule, je ne le pouvais pas ; je n’en avais pas les possibilités matérielles ni l’énergie vitale suffisante pour structurer seule un déménagement pour partir de la région parisienne déjà bien sinistrée.
Six mois après je rencontrais cet ami de cœur, ce frère spirituel, qui a vu ma situation dans sa globalité et qui m’a permis de sortir de là quelques temps après…
Qu’on ne me dise surtout pas que Le Ciel n’existe pas et que le Bon Dieu n’est que de l’imagination sentimentale!
Je me suis dis qu’une fois sortie de cet enfer, et dans une sécurité relative, je témoignerais et c’est ce que je fais maintenant, sur ce site.
Beaucoup de gens ne veulent pas voir la réalité telle qu’elle est : par peur, par lâcheté ou parce qu’ils sont formatés depuis l’enfance ou encore qu’ils ont mal interprété le sens profond des textes sacrés… et sont devenus des “bisounours.” Ce n’est pas ce que j’ai vu chez Jésus, qui n’a pas hésité de chasser les marchands du temple, par exemple!
Je ne parle même pas des adeptes du-vivre-ensemble… des gauchistes et des libéraux ; ceux là sont irrécupérables.
Peut-être un jour seront-ils concernés directement après un électrochoc… après qu’il y aura eu un drame dans leur famille ou dans leur entourage, du fait de la violence des envahisseurs?! Peut-être?!
Mais, je ne me fais pas d’illusion ; ils n’ont plus aucun discernement ni de capacité pour faire des choix en conscience et de poser des actions cohérentes…
Ils rêvent leur vie et ne sont plus dans Le Réel depuis fort longtemps… et pour beaucoup, ils ne sont jamais sortie de leur prison mentale. Ils sont nés ainsi et mourront ainsi, sans jamais rien comprendre à La Vie.
Ils sont déjà les larbins de la matrice et les soumis de l’islam… et n’attendent plus que la puce RFID pour leur faciliter le quotidien, croit-il… Je n’exagère pas : des soirées sont déjà organisées pour implanter la puce dans la main de ces pauvres ères.
A un moment donné, je n’en parlerai plus de tout çà… j’aurais fait mon devoir et alertés suffisamment les gens et les consciences, à ma façon et à partir de mon vécu.
incongru
“Les «petits Blancs», victimes…., font eux aussi sécession.”
je n’ai pas vu cela aux dernières élections, loin de là, au contraire, nous en revoulons.
à quand les automobilistes,(entre autres) qui se comportent ainsi lors de tout controle?
la vidéo qui n’est disponible que maintenant montre une bagarre, pas une interpellation, et encore moins un controle d’identite, et on veut demander aux officiels d’être dignes, respectueux, etc? de qui se moque-t-on?
San Juan
Patricia vos témoignages sont excellents.
San Juan
Continuez…
Patricia
Voici un entretien du Père Boulad qui résume la situation de La France et de l’Occident face à l’islam qui, par nature, est conquérant.
https://www.youtube.com/watch?v=3OwF6BTXMEE
Papon
Depuis toujours la force prime le droit, l’avocat Ciceron l’a appris à ses depens.
Irishman
Il y a eu pourtant une époque où la république ne se posait pas de questions sur les zones où sa loi était contestée…
Les Vendéens, les Nantais et les Lyonnais (pour ne citer que ceux-là) l’ont appris à leurs dépens !
patphil
un président qui cherche les votes des “quartiers” quelle honte