C'est une des propositions faites par Adeline Hazan, le nouveau contrôleur général de lieux de privation et de liberté (CGLPL) dans son premier rapport d’activité portant sur l’année 2014 :
"Pour remédier aux risques de transmission de maladies sexuellement transmissibles ou de grossesses non désirées, il est recommandé que les détenus aient librement accès à des préservatifs au sein des unités sanitaires, des unités de vie familiale mais aussi aux parloirs familiaux."
logorrhée
Pratique le préservatif pour ne pas identifier les viols entre détenus en prison…
Jean
Et des assistantes sexuelles, tant qu’on y est ? Car, va-t-on nous dire, s’ils sont empêchés de coucher comme ils le désirent, c’est la faute de la méchante société qui les a privé de liberté, et qui doit donc “faire un geste”…
AML
Avec cette “gauche” au pouvoir, on va vraiment toucher le fond… Pauvre France !
gautier
Les prisons seraient-elles mixtes ?
Et si ce n’est pas le cas, pour les parloirs familiaux, il suffit que les visiteurs amènent ce qu’il faut !
On voit bien ici l’hypocrisie sous-jacente ! On se doute bien que cela serait bien plus utilisé dans les prisons pour hommes et pas pour empêcher les grossesses (d’autant qu’au point où ils en sont, que font-ils de la légalisation/banalisation de l’avortement ! puisqu’ils refusent d’admettre qu’il y a des traumatismes à cet acte…)