L’économiste Olivier Demeulenaere montre que les chiffres de morts du covid-19 sont surévalués – et parfois même volontairement truqués, avec ordre officiel de surévaluation!
Il y a quelques semaines, nous avons rapporté que, selon l’Institut italien de la santé (ISS), seuls 12 % des décès signalés en Italie mentionnaient en fait le Covid19 comme cause du décès. Étant donné que 99 % d’entre eux présentaient au moins une comorbidité grave (et que 80 % d’entre eux avaient deux maladies de ce type), cela a soulevé de sérieuses questions quant à la fiabilité des statistiques italiennes déclarées.
Le 20 mars, le président de l’institut allemand Robert Koch a confirmé que l’Allemagne compte comme décès de Covid19 toute personne décédée qui a été infectée par un coronavirus, qu’elle ait ou non causé la mort.
Cela ignore totalement ce que le Dr Sucharit Bhakdi appelle la distinction vitale entre « infection » et « maladie », ce qui conduit à des histoires comme celle-ci, partagée par le Dr Hendrik Streeck :
A Heinsberg, par exemple, un homme de 78 ans qui avait déjà été malade est mort d’une insuffisance cardiaque, et ce sans que le Sars-2 n’affecte ses poumons. Depuis qu’il a été infecté, il apparaît naturellement dans les statistiques du Covid 19.
Combien de « décès Covid19 » en Allemagne tombent dans cette fourchette ? Nous ne le savons pas, et ne le saurons probablement jamais.
Mais au moins, l’Allemagne se limite en fait à tester les cas positifs.
Aux Etats-Unis, une note d’information du service national des statistiques du CDC se lit comme suit [c’est nous qui soulignons] :
Il est important de souligner que la maladie à coronavirus 19, ou Covid-19, doit être signalée pour tous les décès où la maladie a causé ou est présumée avoir causé ou contribué au décès.
« Présumé avoir causé » ? « A contribué » ? C’est un langage incroyablement doux, qui pourrait facilement conduire à une surdéclaration.
DUPORT
En France c’est la même chose.
Il faut faire croire à tout prix à une épidémie alors que c’est un coronavirus comme les autres.
Il faut donc gonfler les chiffres pour qu’on ne stagne pas autour des 15000 morts comme la grippe ou 2 à 3 fois plus pour des coronavirus
Prout
Tout ça on le sait très bien. C’est utile de le clamer bien sûr mais on le sait.
Pas grand monde ne meurt de ce virus “seul” en réalité et c’est même à se demander maintenant si ce n’est pas moins dangereux que la grippe annuelle…. en tout cas il n’y aura pas de surmortalité en 2020 et moins que celle de 2018 c’est certain (sauf dû au confinement genre suicides etc)
mouette
Puissiez-vous avoir raison ! moi, j’ai peur d’être pucée à la sortie !
Reine Tak
Le matraquage, à la télé,des décès dus au virus, la surévaluation de ce nombre, les consignes contradictoires, les masques commandés, pas livrés, pas distribués mais réquisitionnés par les préfets, les morts des Ehpad …tout cela tend à créer un climat de peur destiné à rendre les gens plus dociles, permettant ainsi à ceux qui sont au pouvoir d’en faire ce qu’ils veulent.
Un régime comme ça, ça porte un nom !
Haffner
commode ce virus… on jurerais qu’il est arrivé là comme par “hasard” pour permettre à nos gouvernements de se débarrasser des vieillards non productifs, de passer “en douce” des lois pour permettre l’avortement plus longtemps et à terrifier les gens en les monopolisant sur ce virus, en annonçant déjà une deuxième vague de pandémie plus meurtrière que la première. … en tous cas, si j’étais à certains postes “clefs” j’irais me réfugier dans une “république bananière” avant la fin de l’épidémie, parce que les survivants vont demander des comptes et peut-être qu’on considérera les gilets jaunes comme une douce plaisanterie. La, trop c’est trop … si vous avez une mammy ou un papy en Epad, sortez-les vite avant qu’il ne leur arrive malheur. Claire