Lu sur le blog d'Yves Daoudal :
"La dette publique moyenne dans la zone euro est passée de 88,2% du PIB à la fin de l’année 2012, à 92,2% à la fin du premier trimestre 2013.
La dette publique de l’UE tout entière est passée de 83,3 à 85,9% du PIB.
Elle ne doit pas dépasser 60% du PIB
selon les critères de Maastricht, qui sont censés être respectés par
tous les pays, tout particulièrement ceux de la zone euro. Or on
constate que parmi les 13 pays (sur 27) qui ont une dette inférieure à
60% du PIB, 5 seulement font partie de l’eurozone (et que 9 de ces 13
pays sont d’anciens « pays de l’Est »).Cinq pays ont une dette qui dépasse
les 100% du PIB (Grèce, Italie, Portugal, Irlande, Belgique). La France
est dans la moyenne de la zone euro : 91,9%.En un an, seuls trois pays ont réduit leur dette. Ces trois pays étaient déjà en dessous des 60%…"
C.B.
La Hongrie fait mieux que la moyenne des 27 pays de l’UE, cette moyenne étant sensiblement meilleure que celle des 17 pays de la zone euro http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20130723trib000777080/les-pays-qui-ont-applique-l-austerite-ont-vu-leurs-dettes-publiques-exploser.html
et la Hongrie a annoncé ce mois-ci
1) qu’elle rembourse avant la fin de cette année le prêt du FMI (donc avec un trimestre d’avance http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/reuters-00535818-la-hongrie-veut-rembourser-par-anticipation-sa-dette-au-fmi-586272.php )
2) suggère au FMI de fermer son bureau à Budapest (http://fr.euronews.com/2013/07/15/hongrie-la-banque-centrale-demande-au-fmi-de-fermer-son-bureau-a-budapest/ )
Éljen Magyarország (vive la Hongrie)
lève-toi
La meilleure façon de s’y retrouver dans ce capharnaum, c’est d’écouter Etienne Chouard sur l’arnaque des impôts, tout est limpide.
Antony Sutton et Eustace Mullins ont écrit et décrit la malfaisance des cosmopolites en 1913, avec la création de la Réserve fédérale, le plus grand piège à pigeons de l’histoire ( après la création de la Banque dite d’Angleterre) .
Un an après, la guerre artificielle éclatait au profit des crapules de la finance.
Regarder aussi : Attali menaçant discrètement un journaliste, çà vaut son pesant de cacahuètes.