Les députés ont approuvé samedi la création d’un délit d’entrave à l’accès à l’aide à mourir, contre le «fait d’empêcher ou de tenter d’empêcher» de «pratiquer ou de s’informer» sur ce sujet.
Ce délit est similaire au délit d’entrave à l’avortement. Les députés ont également alourdi la peine prévue, la portant à deux ans de prison et 30.000 euros d’amende.
L’article a été adopté par 84 députés contre 49. «Jusqu’où ira ce délit d’entrave dans l’interprétation ?», s’est inquiété le député Thibault Bazin (LR).
«Comment comprendre à l’avenir la prévention du suicide, voire même la non-assistance à personne en danger?»
D’autres parlementaires ont évoqué le cas de proches qui tenteraient de dissuader un parent.
Des députés ont tenté en vain d’introduire un «délit d’incitation» à l’aide à mourir. Cela a été rejeté.
TontonJean
“Seigneur Jésus, revenez….. revenez….. le monde devient fou.”
Horace
Ces penseurs “ivres” vont atteindre la fin de la boucle et se suicideront eux-mêmes.
France Fougère
On veut faire des économies puisqu’il paraît que ce sont les années “âgées ” qui coûtent cher. C’est pourquoi il avait été proposé que les ehpad payantes soient exclues du dispositif – je ne connais pas les termes exacts, veuillez m’excuser- par prudence, afin d’éviter les abus.
Cette prudence a été refusée.
Déjà, la mise sous tutelle est très facile – malgré la jurisprudence protectrice de la Cour de cassation – suivie de mise en ehpad – et très rapidement de mort, en moyenne dans les deux ans.