Directrice du théâtre de la Gaîté-Lyrique , « lieu culturel » de la ville de Paris, Juliette Donadieu avait proclamé que son théâtre entendait répondre « à l’urgence culturelle, sociale, démocratique » et même « climatique». Ce lieu – refait (avec l’argent des contribuables) au terme d’un long chantier –, elle voulait le « mettre en partage et l’ouvrir», pour l’offrir « à destination de personnes en situation de précarité », en faire
« une première pour que ces personnes (venues des banlieues) se sentent bienvenues et légitimes au cœur de ces murs »…
Le 10 décembre, des militants de Seine-Saint-Denis lui envoient 100, 200, puis 450 immigrés, qui se prétendent mineurs, non accompagnés. « Leur revendication est légitime», dit Juliette Donadieu, avant que son théâtre (qui n’est pas le sien) ne soit entièrement occupé.
Mais la cohabitation devient intenable et Juliette ne rigole plus. Le gauchisme immigrationniste, ça va bien derrière la télé ou dans les manifs… Elle fait signer des pétitions et appelle « les pouvoirs publics à sauver la Gaîté-Lyrique, en trouvant une solution urgente de relogement »… Le 21 février, la Gaîté-Lyrique compte 446 occupants.
Elle dénonce la « promiscuité intenable », les « violences», les « alertes incendie », au point de faire appel aux pompiers et à ces fachos de la police nationale. Le mardi 18 mars, le préfet de police fait évacuer les lieux.
Foudras
Evacuation assez incompréhensible compte tenu de la promiscuité (sic!) intellectuelle et politique de ces gens-là avec leurs envahisseurs consentis. Bien des petits propriétaires sincères et envahis aimeraient bénéficier de la part des pouvoirs publics de la même détermination leur permettant de récupérer leurs biens illégalement occupés.
julaurdine
Quel succès pour ce théâtre ! Elle a ce qu’elle voulait … Elle ne s’est pas encore fait un peu violée … avec une petite machette sous la gorge ! ?
Michel
C’est toujours la même chose avec les gauchiasses : ils demandent d’aider et d’accueillir les immigrés, mais chez les autres et avec l’argent des autres…
Autrement dit, ils ont, paraît-il, les idées généreuses, mais seulement les idées, ce qui ne leur coûte pas grand’chose… Tartuffes, en somme !
EtiennedeVignolles
Le mur de la réalité…
AFumey
Ôtez-moi un doute: l’argent (des contribuables) pour la rénovation des lieux avait bien pour bénéficiaires – en intention, finalité – les spectateurs? Ou les invités de cette dame?
Collapsus
J’imagine qu’elle a été évacuée définitivement du théâtre avec tous ses potes parasites.
Fernand-SergeDujardin
être de gauche correspond à un esprit de ressentiment hors des eéalués