Une patrouille a été appelée vers 21h30. A leur arrivée, les forces de l’ordre ont été la cible de jets de projectiles de la part de 2 personnes qui ont rejoint un groupe d’habitants. Les forces de l’ordre ont répliqué à coups de tirs de flash-ball et de gaz lacrymogène. Le gyrophare de leur véhicule a été brisé par un projectile.
Vingt minutes plus tard, la même patrouille s’est rendue au stade Pierre Brossolette pour un véhicule en feu. Une trentaine de personnes attendaient les policiers qui ont dû faire une nouvelle fois usage du flash-ball et du gaz lacrymogène. Même scénario, peu après 22H00, lorsque les forces de l’ordre se sont déplacées pour un conteneur en feu. Elles ont une nouvelle fois été prises à partie par une dizaine d’habitants. La police n’a pas fait état d’interpellations.
senex
Admirons les prudences de langage qu’il faut observer dans ces cas.Il n’est parlé que de “personnes” et “d’habitants”.Mais c’est déjà trop dire car qui dit que ces “personnes” “habitent” dans ce quartier.???
trahoir
“La police n’a pas fait état d’interpellations.” !!!!!!!!!!
Raoul
Dans ce cas, on parle fort pudiquement de “jeunes” même si cela va de 7 à 77 ans.Cela évite de donner trop de précisions.
Pois Chiche
Ce qui est toujours stupéfiant, c’est que les policiers appartiennent à des syndicats de gauche, les mêmes qui soutiennent les “jeunes” de toutes les façons.
Maso, qu’est-ce que cela veut dire ?