La Commission européenne de Jean-Claude Juncker veut renforcer la gouvernance économique et politique de la zone euro d'ici à 2025. La Commission européenne a donc présenté le 21 octobre une proposition pour que la zone euro possède une voix unique au Fonds monétaire international.
Pour atteindre cet objectif, la Commission propose un processus graduel dans lequel un ou plusieurs groupes de pays de la zone euro seront créés, pour au final établir un seul siège. Ce siège de l'euro n'empêchera pas les États membres d'être éligibles pour un prêt du FMI, puisque les gouvernements nationaux resteront des membres à part entière du Fonds.
Mais les grandes économies européennes qui siègent au Conseil d'administration du FMI (Allemagne, France et Italie) considèrent qu'elles ont plus de chances d'influencer le processus décisionnel et de protéger leurs intérêts nationaux en agissant seules.
A.F
Au train où s’effondrent les économies européennes, on peut douter que l’euro existe encore en 2025…
yf
Evidemment cela ne plaira pas aux barbonsqui regrettent que la France foute le camp. Cela se comprend. Pourtant ce sont les Etats-Unis qui s’y opposeront car ce projet ferait de la zone euro le premier actionnaire du FMI compte-tenu du mode de calcul de l’actionnariat ; ipso facto, l’Europe récupérerait le siège de l’institution, ce que prévoient les statuts et cela évidemment est inacceptable pour le Congrès…
amical
2025, sans sursaut, nous serons dirigés par les socialistes après l’alternance UMP. Comme d’habitude depuis cinquante ans.
De plus en plus de politicards seront musulmans et dans certains endroits de France, on appliquera la charia.
Conclusion : renverser la table.