Lu sur le blog d'Yves Daoudal :
"Le procès de Virginie Labrosse, accusée d'avoir tué puis congelé ses trois nouveau-nés, retrouvés à son domicile en 2007, s'est ouvert ce matin devant la cour d'assises de la Savoie. Virginie Labrosse comparaît libre sous contrôle judiciaire lors ce procès «au cours duquel sera à nouveau évoquée la question du déni de grossesse relevé par les experts» (AFP). Elle encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Mais elle sera sans doute condamnée à quelques mois de prison (avec sursis). Car ce négationnisme-là requiert la bienveillance du jury. Ce qui est logique, dans un pays où l’avortement est un droit."
En effet, l’avortement a été dépénalisé en 1975, avant de devenir un «droit des femmes». L’infanticide a été supprimé du code pénal en 1994: il n’y a plus de spécificité du meurtre du nouveau-né. On s’achemine vers une dépénalisation du meurtre du nouveau-né. Cela passera par la distinction entre infanticide et "néo-naticide", au moyen du concept de "déni de grossesse" (comme on parle de l'IVG au lieu du crime de l'enfant à naître).
mme
Bizarre les actes de ces femmes.
Qu’elles tuent le premier bébé on peut encore le comprendre (dénit de grossesse nous dit-on) mais pourquoi ne recourent-elles pas à une contraception au lieu de tuer les bébés suivants ?
Depuis quelques temps cette actualité nous fait oublier que celles qui tuent par “avorteur-interposé” ou “pillules-assassines” sont toutes aussi criminelles !
jeffmoveone
Au risque d’etre a la limite du correct, je dirais que c’est […]! C’est peut etre un etat d’ame mais quand je vois l’horreur de ces meutres sur des tous petits sans défense je pense que l’on est plus en mesure de condamner les fachos d’autrefois car maintenant ce neo barbarisme est devenu un mode de vie.Plus encore est à blamer ceux qui n’ont pas eu le courage de le dénoncer alors qu’ils en avaient les moyens.