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Culture de mort : Avortement

Enquête sur le traumatisme post-avortement

Un sujet tabou en France. Liberté politique publie un article, synthèse de 112 articles parus de 1985 à 2002 dans 43 revues
médicales de haut niveau scientifique en provenance de Grande-Bretagne,
États-Unis, Finlande, Canada, Belgique, Danemark, Australie. Au-delà
des témoignages, la réalité objective est accablante. Extrait :

"Il faut prendre la mesure de la véritable « conspiration du silence »
qui entoure en France ce «traumatisme post-abortif ». Que ce soit au
Planning familial, dans les Centres sociaux des quartiers et des
banlieues, dans les services d’orthogénie des hôpitaux, le discours est
toujours le même
: « Madame, si vous avez un problème avec votre
grossesse, la seule solution est l’IVG et elle est sans danger pour
vous !
» Combien de temps va-t-on encore tromper les femmes sur ce
sujet grave entre tous ?"

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5 commentaires

  1. On veut bien le croire, mais si c’était la réalité, aucune femme ne subirait un deuxième avortement ni n’en ferait l’apologie.
    Or certaines ont jusqu’à 3 avortements, et d’autres – ou les mêmes – défilent dans la rue pour en demander encore plus.
    Explication ?

  2. IVG? AVE!
    Assassinat volontaire d’enfant!

  3. Le syndrome post-abortif ne se manifeste pas dans tous ses effets juste après l’avortement.
    http://www.libertepolitique.com/respect-de-la-vie/5841-enquete-sur-le-traumatisme-post-avortement.
    Je pense que le commentaire “AVE” n’est pas constructif et n’appelle pas au dialogue qui seul peut permettre d’avancer

  4. A l’attention de Jean Theis et d’autres, légitimement surpris par le fait qu’une femme puisse avorter à répétition.
    Vous sous-estimez grandement la pression implicite qui pèse sur les femmes: les féministes qui se révoltent contre le poids d’idées reçues que les femmes ont pris l’habitude de supporter n’ont pas totalement tort; elles ne choisissent pas nécessairement les poids les plus traumatisants, car elles sont elles aussi conditionnées (l’idéologiquement conforme “marche” bien!).
    Combien de femmes osent dire qu’une fausse-couche (a fortiori plusieurs), ça démolit, et pour longtemps (on ne s’en rend d’ailleurs pas compte tout de suite, car on prend sur soi pour faire face).
    Non, ça n’est pas aussi anodin qu’une ecchymose.
    Combien plus un avortement.
    Mais ça, “ça” ne se dit pas, donc “ça” n’existe pas; et à force de répéter que “ça” n’existe pas, toutes celles qui savent que ça existe, n’ont pas beaucoup d’autre solution que de faire semblant…

  5. à jean Theis,
    le refus de voir le mal , cela existe.
    le blasphème ou la révolte contre Dieu , cela existe.
    Le fanatisme idéologique , cela existe.
    Le diable qui peut inspirer tout cela, existe bel et bien qui peut même conduire
    au suicide , lui aussi contre nature, et qui pourtant se produit hélas si fréquemment, non seulement individuellement,mais même, on le voit aujourd’hui quant à notre civilisation, collectivement.
    Puisque telle est la perspective inéluctable des effets de l’avortement.
    Soit autant, me semble-t-il, de graves possibilités “d’explication” sans être assurément exhaustives.

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