Cette République est lunaire et morbide. Alors que plus de 250 000 petits d’homme ont été légalement massacrés l’an dernier en vertu de la loi sur l’avortement et que les gouvernements éphémères qui se succèdent veulent légaliser l’euthanasie avant de se pencher sur le budget de l’Etat, la République va honorer en grande pompe l’abolition de la peine de mort en la personne de Robert Badinter.
Nous vivons un moment orwellien : la mort c’est la vie, tuer c’est sauver, le crime c’est le bien, la vie c’est le mal…
Le tout manipulé par les loges maçonniques, qui ne s’en cachent pas :

